Critiques des albums de 2014

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Springsteen de retour deux ans après Wrecking Ball, mais cette fois-ci avec un album "hors-série". Composé à la fois de reprises et d'enregistrement studio de compositions qu'il avait mis de coté ou qu'il ne jouait qu'en Live.
Le plus de cet album c'est bien évidemment l'apparition de Tom Morello (que j'adule), qui donne une toute autre dimension aux compositions originales.
À écouter: "High Hopes", "American Skin (41 Shots)", "Just Like Fire Would " et ma favorite "The Ghost of Tom Joad".

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En ce début d'année les Pixies nous font une petite surprise avec cet EP.
Certes on peut leur reprocher un changement stylistique par rapport à leurs précédents albums devenus cultes mais si l'on prend cet EP tel qu'il est, il fait vraiment plaisir, il ne faut pas se priver de ces 4 titres.
À écouter: "Blue Eyed Hexe" et "Greens and Blues".

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Après une superbe année 2013, Buckethead ne fait pas de pose et sort dès ce début d'année un nouvel album.
"You Can't Triple Stamp a Double Stamp" est composé de 13 morceaux très courts pour un total d'une demi-heure. Alors clairement ce n'est pas un album transcendant mais j'ai apprécié des petites nouveautés comme l'introduction de l'album avec de l'orgue. Après ça reste un album de shred metal, avec la batterie qui va avec.
À écouter: "You Can't Triple Stamp a Double Stamp", "Silent City", "Snow Owl".

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Warpaint est un groupe pur, qui dégage quelque chose d'envoutant, de sexuel, de captivant...
Cet album est beaucoup plus cohérent dans ses titres que leur précédent, ou que leur premier EP. Les titres nous sortent hors du temps, vers un imaginaire paisible, loin du quotidien.
À écouter: "Intro + Keep It Healthy", "Love Is to Die", "Biggy", "Son".

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Avec son second album "Post Tropical", James Vincent McMorrow met à la porte sa guitare pour laisser place aux claviers.
Cet album se veut très intimiste avec seulement quelques cuivres en plus d'une boîte à rythme et d'une légère basse. Mais l'instrument le plus important reste sa voix, à la fois légère et puissante lorsqu'il descend dans les aigus.
Bien sûr il est impossible de ne pas penser à Justin Vernon alias Bon Iver, mais ici pas d'escapade électronique, l'artiste reste authentique.
À écouter: "Cavalier", "The Lakes", "Gold" et "Repeating".

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Apparemment ce groupe est méconnu chez nous, comme beaucoup de petit groupe californien j'ai remarqué. Peut-être est-ce parce que l'on retrouve souvent la même recette chez beaucoup de monde.
Ici ce groupe se dit chrétien et passionné de surf. Ils n'en sont pas à leur premier album mais je n'ai pas été écouter les précédents.
Le son de l'album reste classique, pas d'expérimentations, des choeurs sur les refrains, pas de solo de guitare: un album qui tent vers de la pop.
Le chant se rapproche de Chris Martin de Coldplay mais peut aussi être associé a Good Charlotte.
À écouter: "Who We Are", "Slipping Away" et "Back To The Beginning Again".

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Seconde album de 2014, The Coats of Claude est encore un album de shred.
L'album se concentre sur le premier titre de presque un quart d'heure qui est lui beaucoup mélodique que la suite.
Comme toujours avec Buckethead, un album représente un univers très spécial que l'on devine grâce aux titres des morceaux. Ici l'album est dédié à Claude Coats un ancien animateur de chez Disney.
À écouter: "The Coats of Claude" et "Animatronic Party Goers".

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L'écoute de cet album d'ambiant est une expérience que l'on vit mais qui ne laisse pas forcément de trace. Comme les morceaux ne contiennent que très peu de mélodies, il est difficile de se rappeler un certain morceau après l'écoute. Ce n'est pas un album que l'on écoutera des dizaines de fois mais comme tout disque d'ambiant il sera parfait comme fond sonore pour diverses activités au calme.
À écouter: "Forgiven", "Gaze" et "Rap".

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Pour ce nouvel album, exit le metal et bonjour la Dream pop comme le montre déjà la pochette.
Ici les morceaux sont très calmes et bercent nos oreilles par ses mélodies et son chant hypnotique.
Les paroles (en français et quelques fois en anglais) ne sont pas forcément compréhensibles si l'on y prête pas attention mais elle sont très mélodiques.
La plupart des titres sont assez longs (environ 5 min) mais cette durée ne se fait jamais ressentir. Les titres s'enchaînent donc jusqu'à l'apogée lors du dernier morceau de 10 minutes.
À écouter: "Wings", "Opale", "Shelter" et "Délivrance".

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J'attendais cet album depuis la sortie du singe "Only One" en novembre, qui est vraiment un petit bijou avec plein d'affluence.
Je ne rêvais pas, je sais que je n'aurais jamais un album dans le style du tout premier, mais celui-ci est vraiment riche. Il mélange Rock, Reggae, Blues ou encore Country en alternant guitare folk et guitare électrique. On a même le droit à un morceau au rythme Hip-Hop, limite rappé avec "Livin' In The City".
L'album s'en sort donc très bien et est très varié tout en restant homogène.
PS: Entre la fin de l'enregistrement et la sortie de l'album le trio a changé de batteur mais les lives que j'ai vus n'y changent rien.
À écouter: "Livin' In The City", "Cold Wind", "Spring to Come" et bien sûr "Only One".

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Je vais essayer de rester positif face à ce que nous a servi The Glitch Mob.
Le single "Can't Kill Us" laissait pourtant présager quelque chose de bon, tout le monde espérait entendre le successeur de "Drink The Sea" mais il n'en est rien, ici on a seulement à faire à de l'électro pour boîte de nuit j'ai l'impression. Après en soi ce n'est pas à vomir mais la déception est grande.
À écouter: "Mind of the Beast" et "Can't Kill Us".

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Et oui déjà un quatrième album cette année pour Buckethead (Il est sorti en même temps que "Hide in the Pickling Jar")!
J'ai préféré écouter celui-ci en premier car ce n'est pas un album de shred et que j'ai adoré tout les albums calmes, ambiants et mélodiques du gars masqué.
Cet album est dans la ligné de "Pearson's Square"ou encore "Rise of the Blue Lotus". Il est constitué de seulement 4 titres pour seulement une demi-heure. Chacun des titres possède un coté progressif et ne se contente pas de répété un motif, ils ont une évolution continue, on s'en qu'une histoire est raconté et l'on se laisse bercé dans son monde.
À écouter: "Monument Valley", "Fembot" et "Lirtson Nostril".

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Apparemment ce crew n'a pas encore une grande notoriété, c'est dommage car après deux EP réussi, ils se lancent dans leur premier album dont ils peuvent être fier.
Ils nous servent un disque de Hip-Hop expérimental avec des sonorités rappelant Kanye West ou Massive Attack. Le tout dans un univers assez Dark. Les membres altèrent entre paroles et rap, pour créer avant tout une expérience unique. Certains titres restent quand même assez difficiles d'écoute.
À écouter: "Low" et "War".

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Découverte complète pour moi, je n'avais jamais entendu parler de Stephen Malkmus avant. Je m'aventure donc sur son disque avec l'angoisse d'être déçu, mais il ne faut pas avoir peur. L'artiste s'en sort très bien et les morceaux sont meilleurs au fur et à mesure que le disque avance, et heureusement car la recette reste pourtant la même. Il faut cependant se forcer à écouter le disque entier pour se faire un avis. Je ne pense pas que l'on peut avoir le coup de foudre dès la première écoute.
À écouter: "Lariat", "Chartjunk" et "Surreal Teenagers".

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C'est parti pour un second groupe féminin après l'album de Warpaint. Ici il s'agit plus de pop, avec des sons plus électriques rappelant les productions des 80's. Sans faire dans le sensationnel, cet album est tout à fait plaisant même s'il manque d'originalité, et l'album est trop court (31 min).
À écouter: "Rimbaud Eyes", "Lost Boys And Girls Club" et "Under These Hands".

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Ce disque était très attendu par les amateurs d'indie, tout le monde le voyait comme le successeur du "Lonerism" de Tame Impala.
Il en ressort un disque allant vers le folk-rock des années 60, à tendance psychédélique. L'album voudrait rajouter quelque chose à ce style perdu mais il ne fait que le remettre au bout du jour, mais c'est déjà ça! Ca fait vraiment plaisir de retrouver encore aujourd'hui des groupes qui osent faire du neuf avec du vieux, même si cela devient une mode.
PS: Il n'y a que moi qui trouve une ressemblance avec la pochette de Who's Next?
À écouter: "Shelter Song", "The Golden Throne", "Mesmerise" et "Colours To Life"

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Tient un Français! Et celui-ci nous prouve encore une fois que la scène française n'est pas morte, loin de là.
La première fois que j'ai écouté cet album je n'ai pu m'empêcher de penser aux deux Versaillais d'Air, à la fois pour le chant très féminin avec ses choeurs, et les instrumentaux recherchés et très bien orchestrés.
L'album est assez long mais s'en sort très bien. J'ai été assez surpris d'entendre la voix du chanteur de Tindersticks sur "The Crossing" mais ça passe très bien.
Maintenant il me reste à découvrir son premier album.
À écouter: "Casino", "Ghost Surfer", "Kisses", The Crossing" et "Collector".

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Que dire de cet album? Il est plus proche de Sea Change que des derniers.
Il s'agit d'un voyage folk mais la batterie et le piano constituent la présence la plus forte tout au long de l'album.
Comme son nom l'indique, l'album est fait pour être écouté en début de journée. Donc l'ensemble il est très calme et très lent, sans réelles variations stylistiques. Mais l'ensemble fonctionne très bien et avec un minimum de volonté on arrive à se plonger dedans.
À écouter: "Morning", "Heart is a Drum", "Unforgiven" et "Waking Light".

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Je découvre le groupe en début d'année avec "Tassili", et à peine après avoir eu le temps d'avoir les chansons qui rentrent dans la tête, j'apprend qu'ils prévoient un nouvel album (le sixième apparemment) pour le mois prochain.
Le groupe a donc été contraint de quitter le Mali pour aller en studio à Los Angeles. Mais le son nous amène quand même en plein désert saharien, loin de tout ce que l'on connait, porté par ce blues planant et ce chant touareg presque hypnotisant.
On signalera aussi la participation de Josh Klinghoffer le guitariste des Red Hot Chili Peppers sur cet album.
À écouter: "Toumast Tincha", "Arhegh Danagh" et "Sendad Eghlalan".

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L'album était pas mal attendu après le succès de la B.O. des Revenants.
Et je trouve que ça fonctionnait car c'était justement une B.O., là sur un album entier, les arrangements sont certes bien trouvés mais les morceaux sont rallongés pour pas grand-choses. Il n'y a pas de réel monté en puissance sur les titres et l'ensemble paraît long. L'album passe bien si l'on fait autre chose à côté qui ne demande pas d'être concentré.
Malgré tout la formule reste efficace.
À écouter: "Heard About You Last Night", "Remurdered" et "No Medicine for Regret".

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Je comprends que beaucoup soient fâchés que Gramatik ait pris un léger virage dans son style. Et même moi qui n'apprécie pas spécialement le/la Dubstep j'ai adoré cet album. Je dois dire que ce concept de mélanger du Blues avec du Dubstep (dit Bluestep) ça m'a vraiment intrigué. Et oui je vous le dis le tout fonctionne étrangement bien. Les sons dégagent une vraie puissance et chaque titre ne ressemble en rien au précédent. Pas besoin d'être défoncé non plus pour apprécier les grosses basses ou au contraire ces solos de guitare crunch. Il reste quand même des morceaux moins Rock et plus dansant. Je ne ferrais que conseillé l'expérience qui pour moi était ultime pour une musique du genre.
À écouter: "Brave Men", "Torture", "Bluestep", "Pardon My French", "Faraway" et ma favorite "Expect Us".

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Cinquième album pour Skindred, et beaucoup de changements depuis Babylon il y a 12 ans. Le groupe avait la particularité de mélanger du metal et du reggae! Ici ils ont rajouté de l'électro comme sur "Ruling Force" et "Playing With The devil" qui part vers de la Dubstep. Les morceaux suivants perdent le côté metal du groupe pour arriver à quelque chose que l'on pourrait entendre sur MTV. Mais le disque se rattrape avec les 5 derniers morceaux. Le dernier était pour le coup une ballade reggae acoustique assez plaisant. Ce disque déplaira à ceux pour qui le premier album était l'essence du groupe, ici Skindred essaye un plus grand mélange des genres, à vous de voir si c'est réussi.
À écouter: "Kill The Power", "Playing With The devil", "Proceed With Caution" et "More Fire".

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Attention ce n'est pas un album comme Bill Callahan a l'habitude de faire. Seulement un an après le superbe Dream River, il nous sort un album que l'on peu dire expérimental, car ici tout est remisé façon Dub. Et le résultat est très étrange, mais intéressant. Mais pas assez pour supporter cela pendant 40 min. Après ce genre n'a jamais été ma tasse de thé, mais sur cet album il faut vraiment être patient pour l'apprécier.
À écouter: "Thank Dub" et "Expanding Dub".

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Deuxième album pour Young The Giant, avec encore ici de l'alternatif gentillet qui tend vers de la pop, un peu dans le style de Fall Out Boy. Rien d'impressionnant donc mais l'écoute de l'album fait quand même plaisir. Après je voient pas quoi leur demander de faire de plus, ils se limitent eux-mêmes dans leur genre.
À écouter: "Anagram", "Daydreamer" et "Waves".

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Voilà déjà le troisième album cette année pour Buckethead (Il est sorti en même temps que "Monument Valley"!
Et quelle ne fut pas ma surprise avec l'intro de cet album! Un vrai son à la Stevie Ray Vaughan, que l'on retrouve un peu plus dans le troisième titre "Squirrel On A Perch". Franchement je n'aurais jamais cru entendre Buckethead avec une Stratocaster, mais bon il est tellement imprévisible...
Après une partie de l'album reste une utilisation ingénieuse mais répétitive de power chords, même si cela reste intéressant, le tout est quand même un peu lourd.
À écouter: "Hide in the Pickling Jar" et "Squirrel On A Perch".

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J'ai découvert cet artiste avec cet album. Le son est très sombre sans être agressif pour autant. Le disque pourrait faire penser à une B.O. de film ou de jeux vidéo car il laisse imaginer des scènes grâce à une ambiance très prononcée et pesante.
Mais il est vrai que ce n'est pas le genre d'album que l'on réécoute de nombreuses fois, cela n'empêche que l'on ne voit pas les 45 minutes passées.
À écouter: "Hadès I, II et III" et "We Watched The End".

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C'est certainement un des albums les plus attendus de ce premier trimestre.
Ce quatrième a fuité 3 semaines avant sa sortie, j'ai donc pu directement voir s'il était à la hauteur d'English Riviera. Pour moi non, après la première écoute je n'ai pas retrouvé ce qui avait fait le succès de titres comme "The Look" ou "She Wants". Mais l'album reste bien, pas mal de choeurs, une alternance boîte à rythmes/batterie, et des mélodies sympas. Mais tous les morceaux restent très calmes et lents, sans réelle montée en puissance.
Sur certains morceaux comme Love letters ou The Upsetter, Joseph Mouth prend une voix proche de l'icône David Bowie ce qui est toujours un petit plus. À voir si après plusieurs autres écoute j'accroche à d'autres morceaux autres que le single et le titre éponyme.
À écouter: "I'm Aquarius", "Love Letters" et "Never Wanted".

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Pour moi ce fut une surprise je n'étais pas du tout au courant qu'ils sortaient un nouvel album. Je retrouve donc pour une bonne heure cette bande de reggaemans qui s'est déjà fait un nom dans le roots français.
C'est surement leur meilleur prod à ce jour, les compos sont propres et soignés. Mais chez Danakil ce sont les textes qui comptent, et ici ils restent très engagés et dans l'actualité: le Mali, le pétrole au Nigeria...
On retrouve aussi deux zics en anglais et de l'espagnol dans "Le Rêve".
L'album est très plaisant même si ça reste du roots classique.
À écouter: "Poupées Russes", "Le Rêve" et "We Drop".

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Après sa participation à des singles qui ont explosé les ventes. Pharrell Williams nous fait la surprise avec son deuxième album qui sera dans la continuité du titre "Happy", loin devant son premier album "In My Mind" en 2006.
Oui il s'en est écoulé du temps, et Pharrell délaisse ici le Hip-Hop pour de la Pop légère, parfois funky, parfois reggae.
J'avais un peu peur en voyant des featuring comme Justin Timberlake ou Miley Cyrus, mais ces titres passent très bien et ces invités ne gâchent pas les morceaux. Il y a au contraire des featuring très réussi comme l'avant-dernière piste avec Alicia Keys et bien sûre celui avec ses amis les Daft Punk, qui lui renvoi l'appareil après le succès de "Get Lucky". Je ne pense pas que ce titre fera un aussi gros carton car il est plus difficilement exploitable en radio mais reste très réussi.
À écouter: "Happy", "Gust of Wind" et "Know Who You Are".

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Oui on peut encore faire du Punk en 2014, et du bon, du vrai, sans pop.
Against Me! n'en est pas à son premier fait, il s'agit de leur huitième album.
Comme le veut la tradition, punk égal morceaux courts. Ici la règle est respectée avec dix titres qui s'enchaînent en quasiment une demi-heure.
Pas d'inquiétude ça reste du punk basique mais les morceaux ne se ressemblent pas et le chant est intéressant. En bonus le 8ème morceau "Two Coffins" casse le rythme de l'album avec une chanson acoustique.
À écouter: "Transgender Dysphoria Blues", "Two Coffins" et "Black Me Out".