Culte, vraiment ?

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Kitsch déjà à sa sortie, Lambert joue comme une supra quiche, c'est moche et carton pâte au possible, Connery cabotine, c'est très mal écrit, et ça a engendré un tas de suite et de séries de merde.

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Je déteste le cinéma poseur, prétentieux, m'as-tu-vu et fabriqué de Ritchie. C'est du "film culte" qui prétend l'être, chaque scène est conçue dès l'écriture pour être citée et reprise, et le pire c'est que ça marche. Du sous-sous-sous Danny Boyle (époque Trainspotting of course).

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Je n'adhère pas, je me sens totalement étranger à cet univers, pourtant Reiner me parle d'habitude.

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Un film écrit par Tarantino mais qui ressemble à un film écrit par quelqu'un qui voudrait parodier le style de Tarantino, ses tics, ses manies (arts martiaux + comic books + références cinéphiliques toutes les deux phrases, pitié). Un scénario grotesque et infantile. Ajoutez le style clinquant 90's de Tony Scott et c'est, pour moi, insupportable.

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Un mauvais film de SF qui n'exploite pas le pouillème du millionnième du potentiel génialement philosophique et moral de son concept, pour nous balancer une course poursuite débile avec Tom le héros. Mentions spéciales aux scènes les plus connes de l'histoire de Spielberg depuis 1941 (jetpacks grilleurs de steak et autres yeux qui roulent), et à la fin tarte à la crème dans laquelle certains s'évertuent (méthode coué ?) à voir un truc bien plus intelligent que ce qui nous est réellement proposé.

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Film à côté de la plaque qui tombe dans tous les travers qu'il dénonce (la violence c'est pas bien ces salauds de média pourris nous sommes tous des monstres c'est dég... POUM AH PUTAIN DANS TA GUEULE TROP JOUISSIF HAHAHA). Comme d'hab chez Stone le montage force le respect, les idées visuelles pullulent, mais le fond est con à bouffer de l'avoine.

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Un bon gros défilé de clichés et de platitudes assez lourdingues sur la guerre. Quand on a vu Apocalypse Now ça fait un peu pitié, non ? Enfin je veux dire, j'en ai rien à cirer qu'il ait vécu cette guerre le petit père, comme quoi les acteurs directs ne font pas forcément les meilleurs témoins...

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Cf Snatch, en un peu moins pire (la chance des débuts).

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Encore une fois je ne vais pas me faire d'amis, mais la provoc insipide pour choquer le bourgeois et Keitel qui ne fait que geindre pendant tout le film : insupportable.

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Besson + Lambert + les années 80, quoi. Et pourtant, j'adore les années 80. C'est sans doute parce que j'ai trop de respect pour cette période pour supporter ça.

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Moui. Dupontel, je ne suis pas client. Et la fin est vraiment chiante.

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Re-scénario puéril et infantile, re-volonté de choquer le bourgeois, ni fond ni forme (que c'est moche et mal filmé), le prototype du film que je fuis.

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Voui bon. Voir critique détaillée.

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Que les choses soient claires, j'adore Tarantino, mais en sortant de la salle je n'avais qu'une seule envie : lui défoncer la gueule.

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Oh je coupe du bois, attention, haaaa.

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Puisque je vous dis que je DETESTE les films hystériques, bordel. L'hystérie ne remplace pas le rythme, à la fin. Et ce film n'en a aucun.

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Hystérie (ter) + prétention à tous les étages + scène de couple insupportablement chiantes - une bonne idée qui aurait fait un chié de court métrage = je suis tristesse et ennui. Tout ce que Gondry a su génialement réussir dans Eternal Sunshine, ce film le rate.

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Déjà à sa sortie c'était un peu dépassé, non ? Pas super bien joué, encore une fois la provoc à sa mémère (enfin, même si ça ne tient pas la route 2 secondes face à un Cronenberg de la bonne époque), des moments d'un ridicule incroyable... ça ne vaut que pour ses effets gores, en somme. Et pour son score, signé Christopher Young, pour le coup un des plus magistraux et magnifiques du genre.

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Que c'est chiant. Que ça fait pas peur...

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Révolte un peu pré-machée pour teens pré-Twilight. Pour le coup la scène de Friends (oui, je cite une SITCOM pour basher le Cercle) résume bien ma pensée. Pourtant, Weir, merde, quel cinéaste...

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Besson. Absence de goût. Absence de style. Pompage intégral d'une scène et d'une idée d'Abyss. Voir la scène avec Chris Tucker et avoir envie de crever sur le champ.

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Que c'est putain de chiant, que c'est putain de prétentieux, que c'est putain de vide. Et c'est un fan de Barton Fink et de No Country for Old Men qui vous le dit... :'(

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Grosse merde prétentieuse et outrageuse qui veut se torcher le cul avec "l'establishment". Bref, deux claques, et au lit sans déssert. Ptit con.

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Kitsch, outrancier, vulgaire, clinquant, tout ce que je déteste. Enfin, sauf dans les autres De Palma.

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Détesté le style graphique, et trouvé ça atrocement chiant. Petite consolation, je pensais être le seul, mais le pote avec qui on a été le voir en est arrivé à la même conclusion à la sortie de la salle. Ouf.

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Du (mauvais) Disney qui se déguise en "je tape sur Disney". Mais au final c'est la même soupe, et ça n'a vraiment pas la classe des Disney de la grande époque. Et les prout ça ne me fait rire que chez John Hughes.

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Videodrome pour les nuls. Sérieusement.

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Ohlalala je suis un grand cinéaste, ouuhhh attention mes acteurs déclament des dialogues intelligents écrits par 60 scripts doctors. Oui Ridley, tu sais magnifiquement filmer, tu nous a fais un bon produit consensuel, mais c'est à peu près tout.

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Pas fan de Woo sorti d'Une balle dans la tête et de Hard Boiled (pour le côté too much), mais ça dégouline de niaiserie, de musique kitsch, de moments ringues... Pour ce qui est du cinéma HK, j'ai choisi mon camp : ça sera Tsui Hark.