Cycle Stanley Kubrick

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Le premier court-métrage de Stanley Kubrick à 22 ans nous montre déjà le talent qu'il a derrière la caméra et son côté technique très maîtrisé.
Maintenant ce court-métrage en lui-même est tout juste sympa à voir mais il n'est pas très intéressant, en racontant la journée d'un boxeur jusqu'à son combat du soir.
Cela dit même pour un premier essai le maître ne décevait déjà pas.

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Second court-métrage et encore plus court et moins intéressant. Tout juste passable sur ce coup-là, sauvé par la technique encore une fois maîtrisée.

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Troisième et dernier court-métrage et heureusement. C'est hélas le pire sauf si votre passion va pour les marins. Un petit documentaire de propagande sur la SIU, l'union de syndicats des marins américains. Un peu longuet avec ses 30 min surtout dû au fait qu'on nous narre tout ce qu'on voit à l'écran du coup ce n’est vraiment pas intéressant pour un sou je trouve. La technique de Kubrick est toujours présente pour ses débuts avec des longs travellings, marque de fabrique du cinéaste qu'il utilisera à merveille par la suite dans ses longs métrages.

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Revisionnage, avis et note inchangés.

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Revisionnage, avis et note inchangés.
Récompensé par 4 Oscars en 1961 dont l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour Peter Ustinov, l'Oscar de la meilleure création de costumes, l'Oscar de la meilleure photographie et l'Oscar de la meilleure direction artistique.

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Revisionnage, avis et note inchangés.

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Revisionnage, avis et note inchangés.
Récompensé par un Oscar en 1969 avec l'Oscar des meilleurs effets spéciaux.

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35ème Mostra De Venise en 1972.
En compétition officielle.
Prix Pasinetti.
Revisionnage, avis et note inchangés.

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Revisionnage, avis et note inchangés.
Récompensé par 4 Oscars en 1976 avec l'Oscar de la meilleure direction artistique, l'Oscar de la meilleure photographie, l'Oscar de la meilleure création de costumes et l'Oscar de la meilleure adaptation musicale pour film.
Que des oscars techniques plus celui pour la bande son absolument magnifique, évidemment tous mérités, et même dommage qu'il n'en ai pas eu un de plus, mais au final quand on regarde les autres films en compétition cette année là, les choix n'étaient pas simples tant les films étaient bons.
Deuxième visionnage, et je dirais que je l’ai encore plus apprécié.
Barry Lyndon est une pépite qui ne prend pas de rides malgré son âge. Avec 2001, L’Odyssée De L’Espace, difficile de les départager sur le plan technique, car ce sont tous deux des joyaux du 7ème art. On peut ne pas apprécier ces films mais il faut leur reconnaître leur travail d’orfèvre ni plus ni moins.