Déambulations iconographiques

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Dans la digne lignée de Scott Pilgrim.

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J'ai mis du temps à en venir à bout (difficile de trouver les tomes pas réédités), et flemme d’exprimer mes opinions, mais ça vaut la lecture, bien entendu.

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Enfin lu. J'avoue c'est de la boule.

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Tous plein d'idées de partout, et j'aime bien, mais cette BD est tellement vendue comme géniale, chaque sent la case faite exprès pour être perçue comme géniale que ça en devient lourd. Non ce n'est pas la meilleure BD de tout les temps. Oui, tu as lu l'art invisible, mec, on a compris, mais ça ne suffit pas. Et ce héros est un vrai connard.

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Relecture des Donjon, histoire d'enfin les noter.

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Ce qui est chouette avec Potron-Minet, c'est que c'est du haut niveau dès le début. Ce bouquin est particulièrement cool, avec notamment le trait de Blain qui s'affirme et l'apparition de la pipe du destin, ainsi que certain personnages essentiels comme Horous.

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Le top de Potron-Minet. Le personnage d'Eustache est génial. L'histoire palpitante paraît, comme trop souvent, s'arrêter trop vite.

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Un album de grande qualité mais qui ne laisse néanmoins en rien présager l'excellence de la suite.

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Un sous-texte intéressant, mais niveau histoire et graphisme, c'est déjà très bien mais c'est pas encore ça.

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Ça commence à être vraiment chouette à partir de là (our la série Zénith, en tout cas). Humour et narration au top, c'est bien simple, cette BD paraît bien trop courte. Apothéose à venir.

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Premier tome de Donjon a atteindre la perfection, à mon sens. Que ce soit au niveau de l'histoire, de l'humour, de l'action, du développement de l'univers (apparitions de Cochonville et de Guillaume De la cour, informations supplémentaires sur l'épée du destin), des relations entre les personnages (les rapports entre Herbert, Marvin et Isis commencent à être vraiment passionnants), ou même le trait de Trondheim qui, sans être exceptionnel, devient tellement rodé et adapté à l'univers qu'on regretterait presque son départ du dessin de la série (mais pas tant que ça, puisque Boulet le remplace).

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Ne vous fiez pas aux numéros, cet album fait suite au précédent. Même si les intrigues sont espacées de quelques années...

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Un tome de grande qualité, bien qu'il soit peu apprécié des fans. Il est drôle, le trait de Menu change radicalement de ce qu'on a pu voir sur la série, et on voit s'y dérouler des événements importants au tournant de la série Zénith.

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Mon parade préféré.

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Je trouve vraiment que la série des Crépuscule est la moins bonne, et également celle qui met le plus de temps à se mettre en route. Et c'est bien dommage, vu la foule de personnages chouettes qu'on y trouve (Marvin Rouge en tête).

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Sans ambition (narmol, c'est un parade (quoique le sage du ghetto soit au dessus de la mélée)). Il reste néanmoins très drôle et inventif (notamment grâce à Herbert, c'est vrai que pour le coup il y en a vraiment que pour sa gueule).

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Mon crépuscule préféré. Dommage que cette voie n'est pas plus été exploitée : c'est sur ce tome plus centré sur le personnage du roi Poussière que la série prenait son envol, et pas quand elle prenait son histoire trop au sérieux. C'est également celui où le dessin de Sfar est le plus libre et personnel, ce qui était ben dommage sur les autres tomes.