Décembre 2017 / Cinéma

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J'attendais plus ce DBZ que "Battle of Gods". Malheureusement, celui-ci compile les clins d’œil aux fans et, d'un scénario guère mieux chiadé qu'une fanfic, se contente de faire le job et de caresser l'amateur dans le sens du kamehameha.

Vu sur Netflix

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Un des 3 meilleurs Pixar. Pour son scénario comique écrit au cordeau. Pour sa critique précise des excès du corporatisme. Pour le rapport sensible et profond aux sentiments de l'enfance, préludant la psyché de "Vive Versa".

Vu sur Netflix

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1e des 3 longs-métrages de Depardon sur la psychiatrie, cette visite de l'hôpital vénitien se contente d'observer les déambulations déraisonnéess des pensionnaires, en tentant de glaner des moments iconiques. Avec réussite parfois, souvent en vain.

Vu en DVD

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Dix ans après, sous la commande de Klein, Depardon revient sur son reportage photographique à San Clemente en commentant ses planches contacts. Closant le tout par "La douleur, c'est le cadre, la lumière, c'est le bonheur" !

Vu en DVD

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Après l'assez maladroit "San Clemente", en campant sa caméra dans le rapport des malades psychiatriques et la prise en charge institutionnelle, Depardon rend saillant une part de la détresse humaine. Terrassant !

Vu en DVD

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Dans une suite de saynètes qui orchestre un crescendo tendu entre la haute bourgeoisie culturelle et la sphère du réel, peuplé d'une classe moins aisée, cette comédie cadre sans fioritures l'hypocrisie de nos sociétés "développées".

Vu au Lumière Fourmi

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Après Uderzo, Chabat s'attèle à Franquin et adapte, dans un film clairement grand public qui brasse large, la figure iconique du Marsupilami. En enchaînant les saynètes baignées dans l'humour Canal, une petite friandise joliment sucrée.

Vu sur Netflix

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En faisant croiser dans cette villa aux accents de cerisaie les personnages qu'il a cultivés, Guédiguian inaugure son film avec un carcan de droite pour le faire glisser vers des valeurs de gauche. Sans que la mise en scène ne se déploie.

Vu au Lumière Terreaux

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Avec ce 3e pan autour des hôpitaux psychiatriques, Depardon systématise son dispositif (champs - contrechamps ponctués de séquences de coupe) et en prenant le contrepoint de "San Clemente" perd de la vitalité.

Vu au Lumière Terreaux

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Ce par quoi Pixar s'est fait connaître (la succession de chefs-d’œuvre d'émotions profondes) est devenu l'exception : "Coco" est un grand film sur la filiation et l'accomplissement de soi, une exception donc dans le commun du studio.

Vu au Pathé Bellecour

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L'enjeu de cette comédie est de réconcilier les différentes classes sociales de notre société. Or, pour que le prodige de cette réconciliation soit rendu sensible, encore faudrait-il que le film n'utilise pas des ficelles aussi grossières.

Vu sur Netflix

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Ce qui devait apporter beaucoup de réponses posées par l'épisode VII se contente de prolonger à couteaux tirés une fuite en avant de l'aventure spatiale en s'empêchant, contrairement à son prédécesseur, de renouveler la mythologie.

Vu à UGC Ciné Cité Confluence

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Une plaie faite film. Basé sur deux personnages totalement antipathiques à force d'être filmé dans leur inébranlable orgueil (que Baker ne sait jamais anoblir par de la dignité brutale) cet drame édulcoré exaspère au plus profond.

Vu au Lumière Terreaux

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Bergman signe avec ce grand oeuvre (réduit à 3h dans sa version cinéma, contre 5h12 pour sa version télévisée) un film somme qui, dans son amplitude généreuse, couvre le spectre plein, entier et altier, de son cinéma.

Vu en DVD