Découvertes musicales en 2016

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Un double-album taillé d'un seul bloc, le plus cohérent des Stones à ce niveau-là. Si certains accompagnements frôlent parfois la cacophonie, on a affaire la plupart du temps à un rythme d'enfer, l'ambition d'étirer les morceaux pour déployer tout le potentiel mélodique du groupe. Ce n'est peut-être pas le plus marquant des Stones, mais c'est néanmoins un monument du rock, tirant toute sa force de sa longueur (le deuxième CD est encore plus abouti que le premier).

En le réécoutant, il s'agit finalement du meilleur album des Stones.

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L'aboutissement des deux précédents albums des Clash. Rythmé plus que jamais, "London Calling" est pourvu d'une énergie communicatrice, un désir d'en découdre réjouissant. Si les partitions s’essoufflent quelque peu vers les derniers moments du double-album, il reste plus inventif et mieux construit que les précédents albums du groupe. Un peu moins énervé, peut-être, mais indéniablement maîtrisé. Du rock qui glisse et rebondit avec maestria.

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Le mec, il a 21 piges, une guitare, un harmonica et une voix de fermier texan, et il te combine ces trois éléments invariablement sur 13 morceaux sans m'endormir. Il faut bien avouer qu'il se répète parfois un chouia, le bougre, (on a aussi du coup du mal à distinguer les meilleurs moments de la masse) mais de manière générale, l'épure est maîtrisée sans conteste. Il me tarde de découvrir ses albums suivants !

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Je dois dire que proposer des versions modifiées (et nettement inférieures !) de "Let it be" et "I've got a feeling", c'est pour le moins gonflé pour ce dernier album des Beatles. Il y a quelques bonnes surprises comme "Two of us", "Across the Universe" ou "The Long and Winding Road", mais le reste est plutôt anecdotique. Le segment le moins abouti des fabs four à mon sens...

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Grosse tarte dans ma tronche. Jimi Hendrix signe peut-être ici le plus flamboyant premier album de l'histoire du rock. Tant d'audace, de fièvre, j'en suis tout retourné. Cette virtuosité orgasmique, ce dialogue déchaîné entre guitare électrique et batterie... Une expérience sonore hors du commun, entêtante, d'une cohérence rare, au point qu'aucun morceau ne se place au-dessus des autres (ils sont tous parfaits, putain !). D'une sensualité tellement enivrante que je ne risque pas de décrocher du disque avant longtemps.

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Ce n'est pas exactement une découverte (j'ai vu le film il y a quelques mois) mais la bande-originale est à elle seule un chef-d'oeuvre, plus d'une heure de transe mémorable. Mon morceau préféré de Philip Glass reste l'Act II de son album "The Photographer", mais cet album-ci forme un tout tellement cohérent, tellement dense qu'il est le plus abouti que j'ai écouté de l'artiste. Je conseille d'ailleurs de l'écouter en plusieurs fois, c'est plus facile à digérer.

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L'ardeur du premier album semble être quelque peu retombée : ce deuxième opus est nettement moins rebondissant dans ses accords, et Bob nous prête une voix moins enjouée. Cela donne d'excellents morceaux ("Blowin'in the wind", et les deux qui suivent) comme d'autres plus anecdotiques. Clairement pas l'album de la maturité donc, même si on sent avec des morceaux comme "A Hard Rain’s A‐Gonna Fall" une ambition supplémentaire.

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Après un "Physical Graffiti" en double-album touffu et souvent mémorable, ce "Presence" peut paraître bien maigre. Je le redoutais autant que je l'attendais pour tout dire, cet album sonnant pour certains le début de la fin de Led Zeppelin. Et s'il est l'album le moins abouti du groupe que j'ai pu entendre, il n'en reste pas moins que le boulot est remarquable. La légendaire batterie fait toujours tout le sel de bon nombre des morceaux de l'album, qui ne manquent pas d'ambition dans leur longueur et leur déroulement.

Il y a certes un certain manque d'énergie (dans la voix de Plant notamment) et de renouvellement, mais les partitions font toujours des étincelles, le rythme enivrant est bien présent à défaut d'être mémorable. Les deux derniers albums du groupe semblent marquer un véritable déclin, je verrais bien ce qu'il en est réellement. Pour celui-ci, je persiste et signe : un album mineur, mais loin d'être négligeable.

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Écouté dans sa version US, contenant le monument "Let's Spend the night together", restant l'un des meilleurs morceaux du groupe à mon sens. Un très bon album globalement, qui n'a pas l'homogénéité et l'ambition du marquant "Beggard Banquet" (qui sortira un an après celui-ci), mais enchaîne les morceaux sans fausse note. La plupart des compo sont certes trop courtes, mais rythmées avec justesse. A mettre dans le haut du panier de la période pré-âge d'or du groupe (commençant justement avec "Beggars Banquet").

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Un premier album vraiment remarquable pour les "Brian Jonestown Massacre". Laissant place aux expérimentations instrumentales (avec un dernier morceau virtuose de ce point de vue) ses compositions sont remplies jusqu'à plus soif de dissonances psychédéliques (nettement plus appréciable que celles des derniers morceaux de "Velvet Underground & Nico", d'ailleurs) sans pour autant délaisser la partie vocale tantôt discrète, tantôt omniprésente (dans le très bon "Kid's Garden" et l'ambitieux "Spacegirl" notamment). Au final, c'est un premier album qui n'échappe pas complètement à ses influences, mais trouve une voie inédite et salvatrice, rafraîchissante, envoûtante, une "force tranquille" qui porte tout l'album avec brio.

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Un Souchon qui me partage curieusement. Alors qu'il commence sur les chapeaux de roue, avec trois premiers morceaux remarquables (même si je préfère largement la version live de "Foule sentimentale" avec Vanessa Paradis <3) et notamment le superbe "Sous les jupes des filles", le gros milieu de l'album me laisse plutôt indifférent. Heureusement l'album finit sur une bonne note avec le notable "Le fil" et surtout la magnifique conclusion "C'est déjà çà". J'ai rarement vu un tel mélange d'excellent et de médiocre dans un seul album.

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Ma première approche de David Bowie. Dire que j'avais réservé ses CD à la médiathèque quelques semaines avant sa mort... Toujours est-il que ce deuxième album est pourvu d'une ambition assez remarquable : des morceaux longs (souvent trop), ponctués de ruptures de ton et de genre (on passe du psychédélique au folk quasi sans transition). Cette musicalité foisonnante est certainement réjouissante, mais je dois bien remarquer que le tout n'est pas assez maîtrisé pour me passionner de bout en bout. "Space Oddity" est en tout cas un morceau exceptionnel, et il y a cette voix si particulière de Bowie, qui lie les morceaux avec un certain brio.

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J'ai un rapport particulier à Cyndi Lauper : ses deux tubes "Girl just want to have fun" et "Time to time", j'ai dû les écouter des centaines de fois (et je pèse mes mots) quand j'étais gosse. Du coup, impossible de pas prendre mon pied à l'écoute de cette pop irrésistiblement niaise, et mine de rien plutôt entraînante.

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Deuxième David Bowie écouté. Je dois dire que je trouve celui-ci nettement plus maîtrisé que le précédent, les morceaux sont plus homogènes, mieux réfléchies tout en étant toujours aussi foisonnants dans les registres musicaux. La voix de Bowie est plus que jamais envoûtante, et ses envolées parfois aigus étonnamment impeccables. Du rock déchaîné, avec "The Width Of A Circle" et "Black Country Rock", et quelques percées quasi-expérimentales par-ci par-là, pas piquées des hannetons. La suite en est d'autant plus alléchante !

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Je suis consterné. Que s'est-il passé entre 1976 et 1979 pour une tel descente aux enfers ? Autant je pourrais défendre bec et ongle l'imparfait mais remarquable "Presence", autant ce septième album des Led Zeppelin sonne le véritable glas du groupe. Errant vers des sons encore jamais utilisés (le synthé, le piano bordel !) Led Zep' nous refourgue un amoncellement de patchwork insensé, passant de compos quasi expérimentales déjouées par des ruptures déconcertantes (je parle notamment du premier morceau) à des morceaux rock beaucoup plus classiques, sans pour autant être plus marquants. Les morceaux sont trop longs, et même la voix de Plant dysfonctionne !

Seul entre tous "All my love" est bien le seul morceau à se distinguer des autres, à porter un vrai rythme enivrant et mémorable. Le synthé et la guitare sont plutôt bien utilisés, tandis que Plant se réveille et tente autres choses que des pathétiques exercices vocaux. Reste que, pour moi, ceci n'est pas un album de Led Zeppelin. A voir si leur huitième et dernier album redresse la barre, mais j'ai peu d'espoir...

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Avec "Hunky Dory", David Bowie signe son premier album majeur, il m'a fallu plusieurs réécoutes pour l'assimiler, preuve du génie de ces quarante minutes. Plus on le réécoute, plus on l'apprécie : si "Life on mars ?" est très clairement au-dessus de tous les autres (le meilleur morceau de Bowie jusque-là, avec "Space Oddity") il n'y a finalement que "Andy Warhol" et "Song for Bob Dylan" qui se démarquent moins que les autres. Comme si lorsque Bowie voulait citer d'autres artistes, il perdait un peu de son talent. Pour le reste, c'est du grand rock, plus reposé que son précédent "The Man who Sld the World", et d'autant plus maîtrisé. Il y a toujours ces quelques passages plus expérimentaux appréciables, mais qui ne prennent jamais le pas, et restent assez rares.

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Un album complètement à part dans la disco des Stones : du psyché bien perché au milieu d'une oeuvre qui fut comme nous le savons tous dominée par le rock, blues, etc. Il y a dans cet album des sonorités très intéressantes, quelques morceaux très réussis, on sent que le groupe cherche une unité et y parviennent plutôt bien. Reste qu'ils comblent les trous avec des digressions sonores qui rappellent les Pink Floyd sans les égaler, loin de là. Du coup, l'album à beau contenir quelques fulgurances, il reste pas mal longuet.

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Encore une fois, il m'a fallu plusieurs écoutes pour digérer un tel monument. Ici, pas de "Space Oddity" ou "Life on Mars ?" pour sortir du lot, seulement un enchaînement de maîtrise sans fioriture. En taillant son album d'un seul bloc, Bowie continue sur sa lancée et nous livre un album encore plus délectable que les précédents. Je ne saurais résumer "The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders From Mars" à quelques morceaux tellement ceux-ci s'enchaînent avec grâce et fluidité. Quarante minutes de virtuosité dans les oreilles, peu de chance que Bowie monte encore plus haut dans mon estime avec "Aladdin Sane"...

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Premier album des "Beach Boys", très mineur. Je comprends mieux pourquoi ils étaient comparés aux Beatles (ça se rapproche beaucoup). Ce premier segment est surtout l’étalage de petit tube sympathique mais plutôt anecdotique. De la pop attachante mais sans l'ombre de la moindre audace.

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Un deuxième album des Beach Boys plus agréable à l'oreille, plus varié dans les sonorités, qui évite parfois ce côté monocorde, tout en restant dans un registre pop très convenu. Je vais vite passer à "Pet Sounds" !

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Du bruit. "The Velvet Underground" développe dans ce deuxième album ce que je n'aimais pas dans leur premier qui restait néanmoins très bon : des expérimentations fumeuses et assourdissantes, désagréables et qui rendent l'écoute vraiment longue. Sans le moindre répit, ces longs solos donnent une dimension systématique, quasi robotique à cet album qui manque cruellement d'âme, de présence, d'humanité presque.

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Papy Carpenter a plus d'un tour dans son sac ! Un album qu'on imagine autant (voir plus) comme une OST de jeu vidéo qu'une OST de film, maîtrisé presque de bout en bout. Cette langueur minimaliste, ce panache synthétique presque intimiste, n'atteint pas les plus grandes compo du bonhomme ("Assaut", "Escape from New York", etc.) mais se place comme un digne substitut à une filmographie que j'aurai bientôt entièrement explorée, et qui est mise en stand-by depuis quelques temps par Big John. Quelques longueurs, certainement. Mais quelques fulgurances, aussi.

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Les flamands roses nous gratifient d'un premier album foisonnant, rugueux au possible, organique, parfois pop, parfois assourdissant, bref, pas grand chose à voir avec leurs compo suivantes. Il y a malgré un manque global de cohérence un mouvement, presque une fureur artistique qui rend l'écoute troublante, mais jamais lassante comme peu l'être un "The Wall". Vu la sortie de l'album, on peut dire sans sourciller que c'est une des pierres fondatrices du rock psychédélique.

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Sans être la claque absolue de "Are You Experienced", ce deuxième album de Jimi envoit du très lourd : inutile de citer des morceaux tellement une fois encore l'unité est compacte, constante. Les genres s'entrechoquent avec grandiose : si un passage psyché fait vraiment mal aux oreilles, le reste est foutrement cohérent, dans une surenchère jouissive, indélébile.

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Un Stones avec un poil de longueurs mais globalement c'est du très bon. Il est dans la veine de 'Exile on Main St." (en moins bon, quand même) dans sa manière de déverser un flot ininterrompu et monolithique, avec toutefois le superbe tube "Angie" qui se démarque clairement. Peut-être un peu plus classique, un peu plus convenu, mais foutrement réjouissant.

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J'avais vraiment pas aimé le deuxième album des Velvet, assourdissant et vainement expérimental tellement il avait fait souffrir mes petites oreilles (j'assume le blasphème, c'est pas un album absolument mauvais, mais quand même). J'avais lu que ce troisième était immaculé de ces dissonances tortueuses, je m'attendais donc à nettement mieux. Car en l'état, les quatre premiers morceaux de ce troisième album sont intéressants, tout en étant relativement mou... Le reste est nettement plus anecdotique, encore plus endormis. Bref, brûlez-moi vif, mais pour moi, les Velvet ont pas passé le cap du premier album.

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Une partition plus mineure pour Bowie après ses sommets "Hunky Dory" et "The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the spiders from Mars" (inlassable, ce titre !). Toujours est-il que ce "Aladdin Sane" est bien construit, contient de très bons morceaux mais à l'image de cette reprise des Stones "Let's Spend the Night Together" : un peu convenu. Et certains passages sont un peu longuets, à commencer par le morceau donnant son titre à l'album, je trouve. Rien de bien décevant cependant : cela reste un bon cru !

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Dans la même veine foutraque, mi-pop mi-psychédélique, toujours expérimentale de leur premier album, ce deuxième opus des Pink Floyd est encore plus abouti. Plus maîtrisé dans ses sonorités et dans sa continuité, sans véritable fausse note, il distille des ruptures de tons délectables et entraînantes. A mon sens, il est même supérieur à "Animals", "The Wall" ou "Atom Heart Mother", qui se perdent parfois dans des longueurs plus ou moins soporifiques. Ici, les flamants roses vont droit à l'essentiel.

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Un deuxième opus des Brian dans la droite lignée du précédant, avec un poil d'ambition supplémentaire (l'album fait quand même plus d'une heure 10). Les morceaux s'enchaînent avec une force tranquille vraiment remarquable, j'ai été littéralement happé par cette immersion psychédélique qui ne manque certes pas de longueurs, mais surtout de panache ! Il n'y a presque rien à jeter, si ce n'est ces quelques légers passages à vide, et cette impression de déjà-vu en début d'album (deux morceaux de leur premier album sont greffés à ce deuxième, inexplicablement). C'est en tout cas du très bon rock, et il me tarde de me jeter sur leur troisième "Take it from the man !", le plus apprécié et connu de tous... Celui qui a probablement fait véritablement connaître ce groupe si particulier.

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L'album s'enchaîne de manière très fluide, avec quelques bons morceaux qui sortent du lot (As Tears Go By, notamment) mais il faut bien avouer que le tout sort difficilement des clous, manque d'audace. La faute à un album (30 minutes) et des morceaux trop courts, qu'on aimerait souvent voir se déployer dans la longueur. C'est néanmoins extrêmement rafraîchissant (je suis très proche du 7, à vrai dire) mais n'en reste pas moins frustrant, surtout que les Stones venait de sortir le réussi "Out of our heads". Cette démarche de rythme effréné est en tout cas exaltante.