Découverts en 2014

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Un vieux vinyle de mon père, étonnant, mélange tantôt mal vieilli et un peu kitsch et tantôt très "moderne", un peu à la façon d'un "Testarossa Autodrive"... On comprend bien pourquoi il suscite l'admiration de Franck Rivoire.

Le tout est assez "cinématographique", surtout la face A... "Ouverture" est sublime, mais "Revolutions, Revolutions" a plutôt mal vieilli par exemple. Remarque que son côté kitsch garde un certain charme. September est vraiment nul par contre, gna-gna-gna...

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Entendu dans un disquaire à Bruxelles, et immédiatement séduit.

Après une ou deux réécoutes, je trouve que les interludes cassent un peu le rythme, mais il y a quand même des moments agréables un peu partout.

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Celui-là ça faisait longtemps qu'il était dans ma liste d'attente, et le fait qu'une amie me le recommande au disquaire susmentionné m'a décidé à finalement y jeter une oreille.

Ambiance très immersive, j'apprécie même si je ne suis pas de base féru de post-rock...

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Écouté pour un morceau entendu dans le Fact Mix de Kudeo, c'est assez... vieux. Mais pas mauvais pour autant.

Un mélange étonnant de rock psyché, de musique électronique, de soul/gospel (!) et de jazz. Mais pas tous à la fois dans un même morceau évidemment.

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[Bleep's album of the week] Un petit coup de barre pour Actress ? R.I.P était un album exceptionnel, où les idées fourmillaient et aucun morceau ne laissait indifférent. Ici, certaines tracks paraissent bien molles, seulement un loop lo-fi pas bien catchy. Il reste quelques perles comme Our ou le beat vintage de Image, mais dans l'ensemble rien ne marque vraiment l'oreille...

Sans évidemment être un mauvais album à proprement parler, Ghettoville reste toutefois en-deça de la qualité à laquelle l'anglais nous avait habitués.

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Un agréable album de downtempo lo-fi, certaines sonorités me rappellent beaucoup Total Loss de How To Dress Well, mais revu en version instrumentale et plus chaude... Un HTDW estival en quelque sorte.

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[Bleep's album of the week] L'album prend un peu temps à appréhender, mais au final c'est une bonne expérience, pratiquement rien n'est à jeter, si ce ne sont les vocaux de Paper Trails auxquels je n'accroche pas du tout... Les talents de producteurs de Nicolas Jaar (il faudra que j'écoute Space Is Only Noise, maintenant) se mêlent bien à la maitrise de Dave Harrington.

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Peut-être pas meilleur à proprement parler que l'original, mais en tout cas certainement plus adapté à mes goûts. Ici, plus de mièvreries kitsch, c'est du dark ! Ils ont même réussi à nous glisser un beat de jungle...

MAis bon, en fin de compte ça reste globalement oubliable.

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Mark Pritchard, c'est le mec derrière Harmonic 313, donc quand j'ai vu qu'il avait sorti des truc récemment je me suis penché dessus. Et c'est très bon, bien qu'éloigné de When Machines Exceed Human Intelligence. On commence avec Manabadman, un morceau grime plutôt honnête, suivi du morceau titre, Ghosts qui développe un style wonky, une basse prenante et un beat hip-hop. Ensuite vient Duppies, un long morceau qui paire ses LFO's à un breakbeat qui fleure bon l'underground UK. Get Wyld, la dernière track avant l'instrumental de Manabadman, même un son résolument moderne avec de vieux synthés bien vintage.

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Même recette que le précédent EP de Pritchard, une piste grime (1234) suivie d'une piste avec un sample vocal loopé et d'un long morceau, et puis on finit sur une dernière courte track avant l'instru de l'ouverture.
Dans l'immédiat, je trouve le sample de Ghetto Blast un peu trop envahissant, à la limite du casse-couilles...

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Une sorte de How to dress well en plus dance et catchy...
Mais c'est pas hénaurme quoi

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Je l'avais vu ici ( http://thequietus.com/articles/13960-albums-of-the-year-2013 ) et la pochette m'a tapé dans l’œil. Comme c'est de µ-Ziq (que je n'ai par ailleurs pas encore écouté) je me suis dit que ça devait valoir le coup.

C'est assez spécial, une sorte de indie pop très rétro, avec aussi un ou deux passages instrumentaux.

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Dans la line-up de Dour 2014, du post-rock avec des touches électroniques un peu à la Glitch Mob..

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De l'ambient sombre et de la dub techno

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C'est quand même vachement inspiré de James Blake il me semble. Mais ça se laisse quand même écouter même si on est largement en-dessous.

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J'ai profité de ceci ( http://freeizm.com/ ) pour commencer à écouter les Freeizm, mais bon celui-ci est déjà pas vraiment terrible... Minimoool est passable mais sans plus, Pitfall est une sorte de coss-over entre brostep et jumpstyle...

Le premier remix (à savoir Show Me Love) est plus intéressant, UK Garage un poil répétitif mais agréable, avec des vocaux pitchés. Cut Like A Buffalo est à peu près du niveau de Minimool, bref, un EP qu'il a bien fait de sortir gratuitement...

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Ah mais c'est quoi cette manie de pas nommer ses morceaux ?! Enfin outre ce problème de nomenclature, l'EP est très bien, peut-être pas aussi prenant que l'album dont il est le prédécesseur, mais bon c'est plus court et donc ils prennent moins leur temps forcément.

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[Bleep's album of the week] Écouté parce que encensé de partout et présent dans plusieurs tops 2013. Et je ne suis pas déçu, c'est de la qualité, un album construit. Ça demande toutefois une ou deux écoutes supplémentaires pour bien cerner le bazar à mon avis.

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[Bleep's album of the week] J'ai fait un tour sur Pitchfork pour voir si il y avait des nouveautés à côté desquelles je serais passées et la pochette de cet album m'a intrigué. J'ai écouté un morceau sur Last.fm et ça m'a rappelé Tycho. En fin de compte c'est bien ça, des guitares et du chill...

(Par contre sur Pitchfork, Discogs et Last.fm, c'est pas la même pochette et la date de sortie est 2014 ?)

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Lent et sombre... Les synthés d'Eternal Return apportent cependant un peu de lumière et d'espoir suite à ce voyage morne et noir.

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De prime abord et d'une oreille distraite, ça m'a l'air moins "posé" et éthéré que Valtari. À voir à tête reposée et avec un casque...

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Du dub techno classique mais assez efficace...(J'imagine que le titre est un hommage à Deepchord, figure de proue du genre)

Réflexion faite après avoir écouté un des derniers EP du mentor de Vyits, il est encore loin de rattraper son maître. Mais bon ça reste sympathique.

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Trouvé sur Pitchfork également... Un album de post-rock/post-punk bien sympa (bien que je sois un néophyte complet en la matière) L'ambiance est en général sombre à souhait, ce qui convient bien aux titres des morceaux.

Un album assez agréable au final.

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Du dub techno très bien fichu, on retrouve avec plaisir le producteur de "The Coldest Season". Mais ici l'ambiance est plus chaude, à l'image de la pochette d'ailleurs.

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Pas aussi énorme que Drift mais bon quand même... Et DISTRO est excellente, je trouve.

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Chorus est une très bonne découverte, expérimentale mais pas trop, avec de vocaux hachés et de la grosse basse. Solo Voice d'un autre côté me laisse un peu dubitatif, peut-être un peu trop épuré et futuriste pour moi... Pas étonnant d'ailleurs qu'elle soit taguée "music from 2100" sur Last.fm !

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Bof... Je trouve cet EP beaucoup moins prenant que le premier jet du groupe. On s'éloigne du dubstep vers de la noise plus pure mais du coup plus vide, beaucoup de pistes étant beatless.

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Au début j'étais plutôt réservé à propos de cet album, puis à un moment j'ai écouté What We Loved Was Not Enough pratiquement en boucle, et maintenant j'aime vraiment beaucoup de court album (EP ?)

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[Bleep's album of the week] Un album fantastique, la voix de Julia Holter et ses expérimentations en matière d’instrumentation sont vraiment remarquable. Je n'avais prêté au premier abord qu'une oreille distraite à cet album, mais lorsque je l'ai réécouté récemment j'ai été surpris par la qualité de cet opus que je n'avais que survolé !

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Sacré single, en tout cas. Du bon vieux dubstep club anglais plein de basses et de wobbles pour le morceau titre, et une approche plus axée sur le beat et une basse "abrasive" pour Killing Floor.