des lectures

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Commencé début janvier 2015.
L'introduction de l'ethno-musicologue est très intéressante mais les récits des musiciens (flûte de Pan) ne me passionnent guère.

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Commencé mi-janvier, dans le tram seulement : lecture un peu difficile car C'est étrange cette suite d'idées numérotées, où on y assène des choses qui ont l'air de vérités mais qui ne sont jamais soutenues par un argumentaire.

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Début février, lu en quelques jours.
Passionnant !

dispo : http://classiques.uqac.ca/classiques/rank_otto/don_juan/don_juan.html

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"L'imagination temporalisée par le verbe nous semble, en effet, la faculté
hominisante par excellence. "

dispo : http://classiques.uqac.ca/classiques/bachelard_gaston/air_et_les_songes/air_et_les_songes.pdf

un peu niaisou je crois, j'ai pas continué beaucoup

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Courant janvier - février
Pour le mémoire et ma pratique.

La pratique de Winnicott est très intéressante, je découvrais avec étonnement ses séances de deux - trois heures où les patients peuvent s'endormir ou manger des cookies. Son travail d'élaboration me semble très pertinent, ça parle. J'aime aussi beaucoup son humilité et sa conception du savoir analytique.

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Débuté en février
un bien beau programme http://www.jose-corti.fr/titreslesessais/principes-mort.html

à reprendre cet été, quand je n'aurais plus de lectures pour l'université
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à reprendre à la rentrée, quand...

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Commencé fin février
des cas cliniques intéressants

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lu également Amour, haine et séparation : très très moyen

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lu Madame Edwarda, c'est très joli

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Commencé début avril mais j'ai des tas de trucs à lire pour mon mémoire alors c'est une escapade coupable pour manger de la théorie aventureuse bla

rendu à la bu, à réemprunter un jour

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pour le mémoire : Les complexes familiaux

"S'il fallait définir la forme la plus abstraite où on la retrouve ((l'imago maternelle)), nous la caractériserions ainsi : une assimilation parfaite de la totalité de l'être. Sous cette formule d'aspect un peu philosophique, on reconnaîtra ces nostalgies de l'humanité : mirage métaphysique de l'harmonie universelle, abîme mystique de la fusion affective, utopie sociale d'une tutelle totalitaire, toutes sorties de la hantise du paradis perdu d'avant la naissance et de la plus obscure aspiration à la mort."

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Recommencé début avril, miaouo

C'est très mal écrit hein, mais l'univers est super chouette.

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Pour le mémoooooooire.
J'aime de plus en plus ce Winnicott, dis donc.

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Commencé mi-avril, fortement conseillé par un prof d'Anthropologie culturelle qui fait son cours en associations libres, et qui est poète, et qui m'illumine complètement, j'approche d'une vérité mystique quand je l'écoute.

Sinon, le livre a l'air bien.
J'ai un peu survolé les derniers chapitres qui m'intéressaient pas trop, mais sinon, c'est intéressant comme tout ce petit bouquin.
(bon, ça vaut peut-être pas 8 mais la moyenne me rend triste)

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Yes, sir.

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meow

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Fin avril, débusqué au hasard dans ma bibliothèque.

Un livre qui m'arrête dès ses citations d'entrée :
« Le langage des hommes m’effraie. Ils disent : “Ceci est une maison, ceci est un chien”, et disant cela, ils tuent ce qu’ils nomment. »
R.-M. Rilke.
« à l’instant où vous parlez d’une chose, elle vous échappe. »
Koan zen.

On retrouve le fameux "le mot est le meurtre de la chose", donc. Miamiam

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ça se bagarre trop dans diverses théories contradictoires, je ne sais pas

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"Là où finit le royaume du politique commence l’empire de la norme."
"Il est le martyr d’une décision absurde, celle qui consiste à prendre l’ombre pour la proie, à tarir la source de l’humain pour alimenter le mirage, à
préférer le signifiant de la mort à la chair de la vie, à laisser le politique se
prendre dans le miroir des alouettes de l’actionnaire."
http://www.fichier-pdf.fr/2013/10/27/la-fabrique-des-imposteurs-roland-gori/la-fabrique-des-imposteurs-roland-gori.pdf

pas fini, j'ai pigé le postulat

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http://psycha.ru/fr/klein/biblio.html
début mai
mélanie klein me paraît un peu dingo

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MAIS QUELLE IDEE DE DEMANDER A PLASSOUN D'ECRIRE UN QUE SAIS JE

on va prendre ça pour de la poésie mystique, allons-y

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c'était une chouette ballade

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début mai

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début mai
"Comme la peur l'angoisse est ambivalente. Elle est pressentiment de l'insolite et attente de la nouveauté ; vertige du néant et espérance d'une plénitude. Elle est à la fois crainte et désir."
"Avouons toutefois - honnêteté élémentaire, mais confidence nécessaire - que derrière ce plan et cette méthode, se dessinent en filigrane une philosophie de l'histoire, un pari sur le devenir humain et notamment la conviction que les siècles ne se répètent pas, qu'il existe une inépuisable et irréversible créativité de l'humanité, et que celle-ci ne dispose pas de modèles tout faits entre lesquels choisir selon les temps et les lieux. Je crois au contraire qu'au cours de son pèlerinage terrestre elle est constamment appelée à changer de cap, à corriger sa route, à inventer son itinéraire en fonction des obstacles rencontrés - souvent créés par elle-même."

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j'ai hésité à mettre une moins bonne note pour le côté "catalogue" à rallonge. le sujet du bouquin et l'hypothèse de départ sont très intéressant mais je crois que je suis assez hermétique à la méthodologie employée, même si elle est très impressionnante.

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ça doit être intéressant pour ceux qui connaissent déjà witt et qui veulent des précisions mais là, d'entrée, c'est pas gégé

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petit ouvrage qui fait à la fois sourire et qui désole, qui donne envie d'oublier certains mots de son vocabulaire, mais comme sûrement de nombreux petits ouvrages, fait parfois des raccourcis rapides

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Bon, finalement, cet ouvrage ne m'intéresse guère.

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il est mignon quand il parle d'un livre sur les méfaits de l'internet sur notre cerveau et notre incapacité à lire de longs textes à cause de la surabondance d'informations et que la note renvoie à un article du type et non à son bouquin

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j'apprends des trucs, chouette!

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je ne sais pas trop comment noter ce genre de bouquin, j'ai hésité entre un 5 pour certains passages.
Toujours est-il que L'explosion du journalisme semble être un très bon état des lieux du journalisme actuellement ; et que l'auteur s'en tient aux faits "sacrés", alors ça me va (j'avais peur d'une critique irréfléchie contre l'internet)

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Prêté par ma nouvelle maître de stage. L'auteur a fait des études de théologie avant de devenir psychologue. Son bouquin est teinté d'un mysticisme lyrique qui m'amuse et qui touche tout de même mon côté "poésie de l'émerveillement du monde" ou un truc du genre - même si je ne le suis pas partout. J'en recopie de longs passages ; ça redonne du souffle après des consultations un peu éprouvantes.

"Nos patients sont bien des mystagogues, chacun avec leurs particularités, singulières, sociales et culturelles, nous faisant désespérer ou au contraire espérer, rire et pleurer, offrant la parole à qui peut et veut entendre que la mort vient et qu’elle balayera tout sur son passage. Certains pourront dire qu’il n’est assurément pas du rôle, ni de la compétence, du psychologue que de s’occuper de telles questions. Pourtant, si nous ne le faisons pas, qui le pourra ? Les médecins, les philosophes, les théologiens. Oui, ils le feront, et le font, créant des systèmes pour “le besoin de croire”. Ils travailleront à l’élaboration d’un ordre des choses qui puisse rendre compte de ce qu’ils croient être le réel, mais comme ils n’écouteront pas le susurrement des demi-mots livrés par le moribond, comme ils ne feront plus l’expérience de rendre compte pour eux-mêmes et pour d’autres de ces histoires qui finissent, ils formeront bien des religions, des scientismes qui s’écarteront du sujet.
Le psychologue est là, placé au coeur du vivant parlé; il n’a rien d’autre à faire que d’être au plus juste, avec méthode et humanité, en ces lieux que tous nous souhaiterions désertés… oubliant ainsi notre condition de finitude. [...] Le psychologue n’est pas armé, il est à mains nues, ne sachant bien souvent pas plus que l’ignorant, ce qui le pousse à énoncer. Mais parce qu’il s’arrête sur cet énoncé, qu’il s’y retourne, qu’il y médite, qu’il se pose en lui-même, qu’il exige de lui ce qu’il demande à l’autre, d’écouter la voix de sa haine, de sa folie, de ses désirs, il peut sans honte et avec humilité juste continuer à travailler, petit… petit, sans gloire, mais avec la ferme conviction d’habiter sa parole, de charger les mots, le langage d’”êtreté”."
miaou

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j'en dirai peut-être quelques mots un jour

Annotation :

Première page : "Car si personne n'ignore à ce jour que le postulat de la mythocritique est de tenir pour essentiellement signifiant tout élément mythique, patent ou latent, et donc d'organiser à partir de lui toute l'analyse de l'oeuvre, beaucoup s'interrogent sur la spécificité de la méthode, sur ses relations à d'autres types de recherches (études de réception, histoire des mentalités, psychanalyse...)."
jackpot

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c'est bieng, sauf les articles purement "recherche littéraire"

Annotation :

début juillet

Annotation :

http://psycha.ru/fr/freud/1926/inhibition1.html

"Je ne suis, d’une façon générale, pas très favorable à la fabrication de « conceptions du monde ». Je les laisse aux philosophes qui se figurent et proclament que le voyage de cette vie ne saurait s’effectuer sans un Baedecker chargé de renseigner doctoralement sur tout. Supportons avec résignation le mépris dont ils nous accablent du haut de leurs aspirations sublimes. Ne pouvant, pourtant, renoncer à notre orgueil narcissique à nous, une pensée nous consolera : celle que ces « guides de la vie » vieillissent vite, et que c’est notre travail myope et portant sur des détails minutieux qui oblige, justement, leurs éditions à se renouveler ; et celle-ci aussi, que les éditions les plus modernes de ces Baedeckers ne sont guère qu’une façon de remplacer le vieux catéchisme si commode et si complet. Nous savons le peu de lumière que la science a pu, jusqu’ici, répandre sur l’énigme du monde. Tout le tintamarre des philosophes n’y changera rien ; seul le labeur persévérant qui n’a qu’un but — arriver au certain — peut lentement amener un progrès. Le voyageur qui chante dans l’obscurité peut, ainsi, démentir sa peur, cela ne lui fait pas voir plus clair."

chou
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tous les gens qui critiquent Freud devraient lire ce bouquin et percevoir l'humilité d'un véritable "chercheur" qui pose des hypothèses de travail

Annotation :

pour le mémoire

très bonne "introduction à l'oeuvre de klein" d'un point de vue théorique - je n'ai pas lu les exemples cliniques car je trouve les kleiniens un poil trop interprétatifs