Dis Cortex, tu veux voir quoi cette nuit ? (Année 2024)

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Un peu trop épisodique pour pleinement marquer le coup, il demeure dans Saules aveugles, femme endormie une atmosphère fantomatique dans le quotidien et dans le fantastique à la poésie intéressante, donnant une nouvelle dimension à des êtres on ne peut plus ordinaires (ou pour paraphraser l'un d'eux, encore moins qu'ordinaire) flottant dans le cours du temps, et aux questionnements qui ne sont que trop crédibles.

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Une tentative de film de cavale maladroitement homérique à la base pourtant intriguante de volonté d'une synchro parfaite avec l'univers de la danse, qui ne restera malheureusement qu'une volonté inachevée dans le meilleur des cas. Des barrières invisibles ne cessent de se dresser entre les deux univers quand le film décide de s'arrêter pour se complaire dans l'un ou dans l'autre, rarement les deux en harmonie. Un film définitivement sauvé par sa plastique enivrante et sa bande-sonore épique pourtant assez balourde juxtaposée avec les images qu'elle accompagne.

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+1

"Le guerrier ne dit rien, car il avait la bouche pleine. Alors, il avala, puis il parla."
- Assez parlé. Place au combat.

Un film avec un tel titre et pitch n'avait aucun droit d'être aussi bon, et pourtant, 15 ans plus tard (pfiou), il s'agit toujours d'un des opus magnum de DreamWorks. Le résultat d'un savoir faire au méticuleux topissime, qui non content d'être hilarant, palpitant, et de disposer d'une mise en scène renforçant les idées et le timing de la comédie et des chorégraphies, le noyau émotionnel et thématique explore avec nuance et force le mal-être, l'apprentissage, le fait de cueillir le présent et d'être soi-même ; le meilleur soi-même que l'on puisse devenir. Et ai-je parlé de l'action ? Ou de la BO ? C'est ridiculement épique. Et encore une fois, en partant d'un tel pitch. La définition du "diamond in the rough".

Oogway > Yoda

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Note inchangée.

Un peu moins échevelé que son aîné, mais la grande ambition et la volonté de développement émotionnel intense sont à saluer, surtout quand l'exécution générale est à la hauteur. Donnez plus de crédit à John Powell, aussi.

EDIT : Re-revu au cinéma et +1.

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Le conte des socialement inadaptés (différence avec les gens solitaires) dans la cité aussi grande qu'elle est vide, à la simplicité permettant un focus sur la mise en valeur muette des sentiments, et une impression de voir une tranche de vie crédible et sincère défiler devant nos yeux malgré la vision d'un monde alternatif animalier et enfantin. Envahi de nostalgie, complémentée par le setting non dit dans les années 80 et l'air de September de Earth Wind & Fire, et pourtant, encourageant à toujours rebondir et aller de l'avant, conscient du caractère éphémère des belles choses de la vie, éventuellement encadrées dans la galerie des rêves et souvenirs.

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Parler de et rigoler du féminisme et du patriarcat à coup de filles qui se mettent des tatanes dans la gueule tout en jouant sans merci avec le principe de faire passer un message dans la violence, je préfère ça aux poupées en plastique avec un propos à moitié de bois. Une vision extra décalée du teen movie florissante de gags en avant et arrière-plan, bardée d'un casting génial (je ne connaissais pas Ayo Edebiri avant Mutant Mayhem, maintenant je suis fan), et pas démunie pour autant d'une certaine sincérité derrière la démarche de sale gosse assez énervé. Attachant et poilant.

Par contre Ruby Cruz est juste trop adorable, dans quel monde elle serait considérée comme une "mocheté".

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Note inchangée.

Je soupçonne l'intrusion des exécutifs vis-à-vis de certaines décisions du film pour alléger le ton après un second opus assez franc quant à ses éléments sombres. Moins nombreuses sont les séquences dramatiques qui ne sont pas ponctuées d'au moins un petit gag, un peu dommage pour un opus évoquant autant la redécouverte de soi que l'avènement d'un guerrier.

Pas que cela soit si endommageant car le film demeure un divertissement de haute volée extrêmement fun, ce qui n'était pas une mince affaire quand le gros de la comédie semblait surtout basée sur "blagues de pandas pantouflards grassouillets et maladroits". Absolument magnifique visuellement et miroitant efficacement les opus antérieurs au-delà des références un peu trop évidentes et une exposition moins subtile. Et puis, ça reste Kung Fu Panda. Même le plus faiblard des opus en a beaucoup dans le ventre.

(Dernière phrase à modifier potentiellement dans deux mois.)

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Voyage désespéré à petite échelle (tant géographique qu'humaine) qui permet d'explorer un microcosme semblant au bord de l'extinction, avec une petite fleur poussant sur ses ruines. La répétitivité globale est aussi frustrante qu'elle en dit assez long sur les valeurs de la compréhension mutuelle (ou son manque) et de l'éducation. Malgré les enfants qui ne se font presque pas respecter pendant un certain temps, tout le monde est mis à leur échelle d'une certaine façon (cette demande insistante pour remplacer les portes).

Le film n'est pas passionnant de manière constante, mais la dernière scène est exceptionnelle, si simple mais à la tension horrible. Ça valait le coup ne serait-ce que pour l'issue.

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Le truc qui aurait rendu ce film intéressant, c'est si la fille tombait amoureuse du garçon qu'elle ne sait pas être son père rajeuni, comme un Retour vers le futur inversé. Ça sonne gênant mais au moins, ça aurait été plus drôle que ce qu'on a eu.

Je suis quasi sûr qu'il y a des métaphores inquiétantes à tirer du film aussi mais j'ai la flemme, c'est juste atroce. Plus infernal que deux heures de cris de bébés dans un train immobilisé. Eux ils sont plus supportables, au moins, que bébé Amy Sedaris.

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Un des films "coming of age" les plus intéressants de récente mémoire, la finalité étant autant de parler de ces enfances volées que de ces enfants prématurés, à coup de cigarettes et de bières. Emmanuelle Nicot brouille habilement les frontières entre les deux mondes, et propulse le personnage éponyme dans des situations tristement adultes toujours filmées à sa hauteur, tout autant que les adultes ne sont pas épargnés par un retour à leur échelle. Fantastique balance entre la pudeur et la subversion de la franchise, très bon premier film.

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Il y a beaucoup à apprécier dans le récit de l'enfance ambigüe proposé par L'Innocence, ainsi que la science du cadrage du réalisateur, complémentant des idées fortes et des personnages intéressants (la mère remporte la palme). Seulement, la façon d'implémenter le dispositif à la Rashomon joue en sa défaveur, en tout cas exécuté comme tel, me donnant rarement l'impression de pleinement aller au bout de sa démarche, comme s'il laissait finalement délibérément des pièces de puzzle dans le grand schéma global et dans la couverture des émotions animant tous ces protagonistes, d'autant plus quand certaines jonctions paraissent un chouïa trop artificielles pour convaincre. Le film en paraît à la fois trop long et paradoxalement trop court, retenant les émotions par le bas.

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Très charmante aventure animée en pâte à modeler avec les pitreries d'Adam et Ève dans le jardin d'Eden, un concours de saut de grenouilles, et accessoirement Satan qui nous dit que la vie n'a aucun sens, avec en filigrane un vieux qui fait essentiellement de son voyage son vœu mortuaire. Une collection de vignettes accessible à tous, intelligemment émouvante et pourtant très amusante.

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Quand le cinéma de gros monstres rendant l'échelle humaine aussi palpable et intéressante que possible semble si rare, il est d'autant plus conseillé de profiter d'une occasion où ceci arrive, surtout quand le film concerné parvient à excellement concilier cela avec une menace de 20 000 tonnes qui n'a que rarement été autant mise en scène comme un véritable courroux des dieux. Minus One dose les apparitions de la bête, et mieux encore, les anticipe avec une tension monumentale pour rendre ses sursauts d'autant plus prompt à scarifier, mais à aucun moment ne néglige la dimension humaine, prolongeant non seulement l'idéologie initiale derrière la création du monstre, mais évoquant également les traumatismes d'une guerre qui prend la vie pour acquise. Limite on pourrait dessiner une réflexion un tantinet méta avec ces personnages décidant enfin de se dresser pour exister, mais le plus important est la discussion du choix, d'avoir le droit d'avoir peur, le droit d'avoir un avenir, et le droit de se battre pour une cause ne souhaitant pas la destruction ou la suprématie, juste le fait de vivre. Le film est aussi grand qu'il est petit, et il brille sur les deux tableaux. Tétanisant et bouleversant.

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Tant de choses qui vont pas dans ce film et son pire crime est pourtant d'être super ennuyeux malgré son existence improbable. Enfin ça reste quand même l'un des films d'animation les plus mal montés que j'ai vus.

Je suis sûr que Rodney Dangerfield était un comédien talentueux et tout mais en l'occurrence la seule chose qui m'a fait rire au milieu de toutes ses vannes vaseuses et restreintes c'est une dinde qui casse sa pipe.

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Donc le premier film de Darren Aronofsky c'est une sorte de Da Vinci Code numérologue et pas plus malin, et artsy comme une parodie d'un film A24, tout ça pour dire que c'est pas cool de s'isoler pour voir du sens dans les chiffres, et y en a encore pour dire que ce mec n'est pas une fraude ?

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Vous pouvez définitivement compter sur Charlie Kaufman pour tourner la plus conventionnelle des histoires pour enfants en un film tous publics moins conventionnel. Accessoirement, c'est aussi presque tout ce que Baby Boss aurait dû être. Un récit qui détourne autant la notion d'imagination qu'elle en épouse pleinement les principes, avec la direction visuelle adéquate (Mikros Images fait encore des merveilles), et qui met enfants comme adultes sur un pied d'égalité. Les codes de l'histoire sont manipulés en sachant pertinemment que les choses paraissent plus rassurantes quand on connaît le bout, mais la peur ne doit pas nous empêcher de trouver la force d'écrire ce qui précède. Plus mélancolique qu'attendu, et pourtant charmant tout plein.

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L'esthétique à mi-chemin entre les films Universal Monsters, Frank Borzage et Karel Zeman m'a emporté, de même que la nature candide de Bella Baxter face à ce monde fou qu'elle découvre progressivement tout comme elle se découvre elle-même ; sa personnalité occasionne quelques des plus beaux moments de grâce au sein du cracra et horrifique ambiant. Pour le reste, les attendus gros sabots ne font pas toujours mouche et il serait fallacieux que de considérer Poor Things comme le modèle moderne de féminisme. Le film réussit plus dans ce qu'il porte d'universel, et dans sa combinaison d'attachant et de complètement tordu telle cette boîte à musique détraquée servant de BO, il n'empêche qu'il est constamment à deux doigts de se prendre les pieds dans le tapis, c'en est admirable que tout bien considéré, il tient debout, même si je n'ai pas accroché à tout.

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Le film a eu une production chaotique avec des animateurs maltraités et un scénario réécrit jusqu'au dernier moment ? Noooon ? Ben ça se voyait pas du tout !

Bon, au moins, ils ont mis un paquet de chansons populaires dans la soundtrack, mais ils ont pas mis Eye of the Tige-
*voit l'épilogue*
BORDEL DE MERDE

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Un pique-nique tragique qui n'est pas tant la source de disparitions dramatiques et la présentation d'un lieu ayant l'air surnaturel, là où le temps s'arrête et l'ambiance se mystifie, que l'élément déclencheur d'un effet domino exposant tout le mal-être entourant ce collège infernal et ses occupants. La plus grande horreur est finalement plus terre-à-terre qu'on ne le pense, mais pas moins effrayante pour autant. Le film accuse quelques longueurs notamment à mi-parcours lorsqu'il nous fait suivre deux persos masculins difficilement intéressants, mais son atmosphère irréelle conjuguée à des troubles d'une sensibilité palpable, ça fait que le film emporte pas mal. La photographie est l'œuvre d'un grand artiste.

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Quel charmant petit film célébrant non seulement les créateurs mais aussi les artistes de tous horizons - l'on peut lire durant le générique de fin "Un film de Jim Capobianco et des nombreux artistes de talent ayant contribué" - d'autant que la vie de Léonardo telle que dépeinte ici peut encore faire écho à ces artistes avec une appétence pour la curiosité et le partage, freinés par des supérieurs contents de leur pouvoir et de leur ignorance. Entre la 2D dessinant les esquisses et donnant un visuel à l'imagination et la stop-motion très Rankin/Bass pour symboliser la construction, l'animation est attachante au possible. Et même légèrement adoucies compte tenu du public cible, les idées principales, parfois audacieuses, n'ont pas été vidées de leur substance première.

Bémol pour l'aspect chantant semblant inséré au forceps, avec un singulier manque de sens du rythme lors des scènes concernées, mais autrement, une chouette friandise.

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Wow, on me l'aura pas survendu, celui-là ! Partant de traumas terre-à-terre et palpables, Le Royaume des abysses déchaîne son maelstrom coloré se distinguant clairement de la concurrence, constamment à la frontière de l'épuisant mais trouvant toujours le moyen d'être impressionnant. Chaque minute est aussi inspirée sinon plus que la précédente et la mise en scène tabasse la rétine comme peu de films d'animation du moment le font, c'est constamment à se demander comment ils sont arrivés à de tels résultats.

Le récit en plein élan homérique frappe en plein cœur de par sa gestion de l'intimiste au moment où l'on s'y attend le moins, flattant le pouvoir de l'inspiration, et surtout, de ces moments dans la vie qui ne paraissent rien mais qui veulent dire beaucoup, avec un sourire sincère au bout du chemin. Complètement fou et grandiose, et pourtant, si touchant.

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Qu'est-ce que j'aurais aimé le voir en salles celui-là. Je n'ai pas trouvé que le film réinventait la poudre en tant que film de procès, mais est-ce qu'il est efficacement mené, ça oui. Très âpre, très carré, et pourtant mené par Arieh Worthalter qui incarne formidablement cet incontrôlable Pierre Goldman qui ne mâche pas ses mots et ne compte pas jouer le jeu du silence même quand ça risque constamment de jouer en sa défaveur. Beaucoup aimé la nuance, le fait qu'il ne s'agisse pas d'évangéliser Goldman mais de dresser la ligne entre le vrai et ce qui est guidé par le biais, ainsi que l'évident parallèle avec un système judiciaire à l'impartialité toujours aussi fragile aujourd'hui, juste dans un contexte différent.

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Une parfaite idée d'un jardin verdâtre en plein milieu de l'enfer. La Zone d'intérêt répond brillamment à l'éternel débat quant à la faculté de faire du cinéma démonstratif autour d'un sujet aussi brûlant que l'Holocauste, en suggérant beaucoup plus, mais en suggérant de manière absolument terrifiante d'indifférence, dans le meilleur sens possible. Paré d'un travail d'orfèvre sur le sound design, le film suit son cours, pervertissant progressivement jusqu'à presque nous faire oublier ce qu'il y a derrière les murs, avant que l'attention à ce qu'il se passe en fond ne revienne en force, mais subtilement. Le genre de film qui nous laisse espérer une libération en fanfare lors d'un éventuel climax, celle-ci ne venant jamais, n'éclatant jamais la bulle du malaise ambiant qui perdure encore longtemps après la dernière seconde de la pellicule. Au-delà de ça, Jonathan Glazer injecte une idée invitant à la réflexion quant au fameux devoir de mémoire parfois fait sous l'indifférence, pris pour acquis.

Hâte de le revoir car le 9 me démange.

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Surprenamment plus intéressant et réflexif qu'il n'en a l'air, Le Royaume de Kensuké part de son schéma a priori classique de Robinson Crusoé Junior et de cohabitation difficile au milieu de nulle part pour bâtir une histoire solide sur les barrages de la compréhension mutuelle et le pouvoir de l'art et des gestes au-delà des mots pour briser le rejet de l'autre, rejet entre nationalités, rejet entre espèces. Le film, parfois mâtiné de moments forts, trouve même une façon maline de dresser un parallèle entre l'attendue partie avec des braconniers (ici muets, simple mais bien vu) infiltrant le décor paradisiaque et les fantômes familiaux du passé, hantant une vie brisée. Attachant.

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Vu au cinéma là où il devait être de base, et note inchangée.
Toujours un des meilleurs Pixar récents, ne vous déplaise, et un des plus frais globalement. Joli doigt d'honneur aux adolescences aseptisées des médias mainstream malgré ses propres limites imposées et juste un hymne aussi sincère qu'énergique à ce qui nous rend bien dans notre peau, quoi que ça puisse être.

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J'aime bien les films avec une morale, du genre, si vous bâtissez une usine sur les terres d'une tribu, le moins que vous puissiez faire c'est d'embaucher les natifs pour la diriger. Il est beau le futur.

Triste de voir des talents de l'âge d'or que l'on sent complètement fatigués à faire un film qui n'a aucune identité ni public cible.