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RE:VOIR Vidéo est une société d’édition qui fait connaître le cinéma expérimental en support vidéo. Elle présente aussi bien des films des mouvements dada, surréaliste, lettriste, des films conceptuels ou de l’avant-garde américaine, que des journaux filmés, des longs-métrages d’auteurs, des œuvres ...
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créée il y a plus de 3 ans · modifiée il y a environ 3 ansIn the Course of Human Events (1997)
22 min.
Court-métrage de Dominic Angerame
Annotation :
https://re-voir.com/shop/en/dominic-angerame/1095-dominic-angerame-cityscapes.html?search_query=angerame&results=1
« Et au milieu de tout cela – les rues, les ponts, les routes, les toits, le fleuve infini des câbles de communication et, percés de fenêtres, les monolithes des superstructures protubérantes – au milieu de tout cela se tient l’homme. Ce film est comme un rêve qu’on ne parvient pas à oublier mais sur lequel on n’arrive pas à mettre le doigt, parce que sa vérité même est trop évasive, suggestive, labyrinthique. Puis la révélation : le fait même de vivre est héroïque. »
-Ronald Sauer
« Le monde bétonné de l’infrastructure américaine et sa chute prennent une qualité étrangement poétique dans ce documentaire expressionniste, qui montre l’Embarcadero Freeway de San Francisco juste avant sa démolition. Dans une atmosphère de mystère en plein jour, Angerame sème les allusions et révèle un passé encerclé par le futur. Lyrique, menaçant, comique, Premonition fait l’effet, chez le spectateur attentif, du souvenir de quelque chose qui va se passer, silencieux, un rêve éveillé, silencieux et révélateur. »
-Barbara Jaspersen Voorhees
« ... les images de Continuum me hantent assurément. J’étais stupéfait par le peu d’indications que donnait le film quant au moment, et même quant au lieu de sa création. J’oubliais presque que c’étaient des chœurs urbains, des travaux sur les toits, etc. : juste le travail, la continuité du travail, intemporel, incessant, inexorable. Bravo. »
-Stan Brakhage
Deconstruction Sight (1990)
12 min.
Court-métrage de Dominic Angerame
Annotation :
https://re-voir.com/shop/en/dominic-angerame/1095-dominic-angerame-cityscapes.html?search_query=angerame&results=1
« Et au milieu de tout cela – les rues, les ponts, les routes, les toits, le fleuve infini des câbles de communication et, percés de fenêtres, les monolithes des superstructures protubérantes – au milieu de tout cela se tient l’homme. Ce film est comme un rêve qu’on ne parvient pas à oublier mais sur lequel on n’arrive pas à mettre le doigt, parce que sa vérité même est trop évasive, suggestive, labyrinthique. Puis la révélation : le fait même de vivre est héroïque. »
-Ronald Sauer
« Le monde bétonné de l’infrastructure américaine et sa chute prennent une qualité étrangement poétique dans ce documentaire expressionniste, qui montre l’Embarcadero Freeway de San Francisco juste avant sa démolition. Dans une atmosphère de mystère en plein jour, Angerame sème les allusions et révèle un passé encerclé par le futur. Lyrique, menaçant, comique, Premonition fait l’effet, chez le spectateur attentif, du souvenir de quelque chose qui va se passer, silencieux, un rêve éveillé, silencieux et révélateur. »
-Barbara Jaspersen Voorhees
« ... les images de Continuum me hantent assurément. J’étais stupéfait par le peu d’indications que donnait le film quant au moment, et même quant au lieu de sa création. J’oubliais presque que c’étaient des chœurs urbains, des travaux sur les toits, etc. : juste le travail, la continuité du travail, intemporel, incessant, inexorable. Bravo. »
-Stan Brakhage
I'd rather be in Paris (1983)
12 min. Sortie : 7 avril 1983 (États-Unis). Expérimental
Court-métrage de Dominic Angerame
Annotation :
https://re-voir.com/shop/en/dominic-angerame/1095-dominic-angerame-cityscapes.html?search_query=angerame&results=1
« Et au milieu de tout cela – les rues, les ponts, les routes, les toits, le fleuve infini des câbles de communication et, percés de fenêtres, les monolithes des superstructures protubérantes – au milieu de tout cela se tient l’homme. Ce film est comme un rêve qu’on ne parvient pas à oublier mais sur lequel on n’arrive pas à mettre le doigt, parce que sa vérité même est trop évasive, suggestive, labyrinthique. Puis la révélation : le fait même de vivre est héroïque. »
-Ronald Sauer
« Le monde bétonné de l’infrastructure américaine et sa chute prennent une qualité étrangement poétique dans ce documentaire expressionniste, qui montre l’Embarcadero Freeway de San Francisco juste avant sa démolition. Dans une atmosphère de mystère en plein jour, Angerame sème les allusions et révèle un passé encerclé par le futur. Lyrique, menaçant, comique, Premonition fait l’effet, chez le spectateur attentif, du souvenir de quelque chose qui va se passer, silencieux, un rêve éveillé, silencieux et révélateur. »
-Barbara Jaspersen Voorhees
« ... les images de Continuum me hantent assurément. J’étais stupéfait par le peu d’indications que donnait le film quant au moment, et même quant au lieu de sa création. J’oubliais presque que c’étaient des chœurs urbains, des travaux sur les toits, etc. : juste le travail, la continuité du travail, intemporel, incessant, inexorable. Bravo. »
-Stan Brakhage
Mouse Heaven (2004)
Sortie : 2004.
Film de Kenneth Anger
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
https://re-voir.com/shop/en/kenneth-anger/842-kenneth-anger-3-films-dvd-on-demand.html
“Mouse Heaven, douze minutes de produits dérivés à l’effigie de Mickey Mouse, montrés la plupart du temps usé, affligé, déprimé; des centaines de séquences montrent Mickey en piteux état, vieux, sous forme de statue en bois, de marionnette effrayante, Mickey sur un fond rouge foncé, dans un milieu inquiétant, Mickey derrière la fenêtre de la vitrine, sur un fond violet brillant, dansant et tournant sur des plates-formes avec la chanson de James et Bobby Purify, “I’m Your Puppet” (1966). C’est une surdose de souris et une critique de la puissance de la marque Disney voir de n’importe quelle marque en général, où les poupées marchent comme des soldats à travers des motifs symétriques. Le grand nombre de souris qui tournent autour de l’écran produit un effet accablant, quelque peu nauséabonde: l’image la plus étrange est un assortiment d’anciennes figurines de l’univers Mickey, en bois sculpté, jouant de la guitare et la plus agréable: une statue dorée de Mickey étincelante, tournant au centre de l’écran.“
Extrait de “New Films from Kenneth Anger” par Mary Hanlon (The Brooklyn Rail, Inc.)
Foreplay (2008)
05 min. Sortie : 2008 (France).
Court-métrage de Kenneth Anger
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
https://re-voir.com/shop/en/kenneth-anger/842-kenneth-anger-3-films-dvd-on-demand.html
“Laissez Kenneth Anger transformer une équipe de football masculin en quelque chose d’extrêmement non professionnelle, s’échauffant pendant sept minutes de manière sexy, homo érotique et tout en sueur. Rarement, une figure entière apparaît dans Foreplay, mais plutôt des fragments de muscles tendus, des aines bien garnies et des jeunes hommes donnant des coups de pied à la balle, produisant des effets sonores de chair superposés à de la musique techno. Initialement, Foreplay ressemble à une vidéo amateur médiocre de football, mais elle rappelle également les films pop / fétiches de Anger: Scorpio Rising (1963) ) Et Kustom Kar Kommandos (1965). “
Extrait de “New Films from Kenneth Anger” par Mary Hanlon (The Brooklyn Rail, Inc.)
Elliott's Suicide (2007)
16 min. Sortie : 2007 (France).
Documentaire de Kenneth Anger
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
https://re-voir.com/shop/en/kenneth-anger/842-kenneth-anger-3-films-dvd-on-demand.html
“Un hommage à l’ancien chanteur-compositeur-interprète américain Elliott Smith, Elliott’s Suicide est un hommage sentimental de 15 minutes, qui manque de l’ironie habituelle d’Anger pour des raisons évidentes. Le film commence avec les derniers mots des amis et des fans écrits sur le mémorial de Smith sur Sunset Boulevard , puis le défilé de Macy apparaît, Anger filme principalement les participants, certains en tenue style renaissance, d’autres en cowboys avec lassos ou en reines de beauté. Le film est marqué par la musique de Smith, entraînant un effet mélancolique, en particulier dans la séquence qui suit Smith à travers les bois et le filme en train de déterrer une guitare, puis jouer une chanson. Cette scène est d’ailleurs répétée à la fin du film, mais avec un effet d’inversion négative, suggérant assez clairement que le sujet est passé vers l’au-delà. “
Extrait de “New Films from Kenneth Anger” par Mary Hanlon (The Brooklyn Rail, Inc.)
Flammes (1978)
1 h 30 min. Sortie : 8 novembre 1978. Comédie dramatique
Film de Adolfo Arrieta
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
https://re-voir.com/shop/en/adolfo-arrieta/261-adolopho-arrietta-pointilly-flammes.html?search_query=flammes&results=3
Barbara, une petite fille, vit dans une vieille maison de campagne avec son père et sa préceptrice. Une nuit, elle rêve qu’un pompier entre par la fenêtre de sa chambre… Jeune femme, Barbara échappe à son père en faisant le tour du monde, puis revient et retrouve ses vieux rêves d’enfant. En feu, elle appelle les pompiers, en capture un dans sa chambre et s’enferme avec lui pendant plusieurs jours…
-Capricci
« Désordonnée, underground, échappant aux standards du cinéma commercial, l’œuvre d’Arrietta gravite autour d’un film de facture beaucoup plus classique que les autres, Flammes, qui est aussi son chef-d’œuvre. Flammes occupe une place comparable à celle de Chelsea Girls chez Andy Warhol : un joyau qui figurerait en majesté dans les histoires classiques du cinéma si le nom de leurs auteurs n’était pas si radicalement associé à la marge. »
-Isabelle Regnier, Le Monde
Tam-tam (1976)
57 min. Comédie dramatique
Film de Adolfo Arrieta
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Grenouilles
1 h 20 min. Fantastique
Film de Adolfo Arrieta
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Merlin (1990)
58 min. Sortie : 1990 (Espagne). Drame
Film de Adolfo Arrieta
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Les Intrigues de Sylvia Couski (1975)
1 h 30 min. Sortie : 12 mars 1975. Comédie dramatique
Film de Adolfo Arrieta
Le Jouet criminel (1969)
37 min. Comédie dramatique
Moyen-métrage de Adolfo Arrieta
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
L'Imitation de l'ange (1966)
20 min.
Court-métrage de Adolfo Arrieta
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Le Crime de la toupie (1965)
El crimen de la pirindola
20 min.
Court-métrage de Adolfo Arrieta
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Underground New York (1968)
1 h 28 min. Sortie : 1968 (France).
Documentaire de Gidéon Bachman
Re:Voir Vidéo a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.
Détruisez-vous - Le fusil silencieux (1969)
1 h 15 min. Essai, Expérimental
Film de Serge Bard
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Ici et maintenant (1968)
1 h 11 min. Sortie : 1968 (France).
Film de Serge Bard
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Fun and games for everyone
Film de Serge Bard
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
L'Idée (1932)
25 min. Sortie : 1932 (France). Animation
Court-métrage d'animation de Berthold Bartosch
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Le Rêve éveillé (2003)
41 min. Sortie : 2003 (France).
Documentaire de Patrick Bokanowski
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
L'Ange (1984)
1 h 04 min. Sortie : 4 avril 1984 (France). Animation, Fantastique, Expérimental
Film de Patrick Bokanowski
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
La Part du hasard (1984)
54 min. Peinture
Documentaire de Patrick Bokanowski
Re:Voir Vidéo a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
La Femme qui se poudre (1972)
19 min. Sortie : 1972 (France). Fantastique, Épouvante-Horreur, Expérimental
Court-métrage de Patrick Bokanowski
L'envol (2018)
08 min. Sortie : 31 janvier 2018 (France). Expérimental
Court-métrage de Patrick Bokanowski
L'indomptable (2018)
04 min. Sortie : 31 janvier 2018 (France). Expérimental
Court-métrage de Patrick Bokanowski