ECOLOGIE ≠ BOBOCRATIE [prise de conscience]

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Je remercie ce film pour sa simple existence, parce que c'est important de voir la beauté de la planète pour se bouger les fesses.

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Regardez ce film, c'est doux, si doux, ça donne envie de marcher dans les montagnes à toutes les saisons, de voir la nature à travers des yeux d'enfant... Ca fait prendre vachement de recul, vers davantage de simplicité. Les yeux de Naïs sur sa montagne, accompagnée par la bienveillance de son père. Une master class du documentaire animalier.

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Princesse Mononoké se bat contre l'hyper-industrialisation et la destruction de la nature par les hommes et femmes à la recherche de matières premières pour la fabrication de leurs armes. Fable écologique en plus d'être l'un des chefs d'oeuvres de Miyazaki

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Réaliser l'importance de repenser notre rapport au vivant, ça passe par... observer le vivant. Ce film documentaire permet de gravir les sommets tibétains, à la recherche de la mythique panthère des neiges. En chemin, on observe la faune, et c'est sublime. Voir la beauté, ça donne envie de la perpétuer.

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Nécessaire. Une boule d'informations tant sur des enjeux sanitaires qu'écologiques et agricoles. C'est aussi pas mal intéressant pour qui s'intéresse à la question (cruciale) des semences et de leur privatisation progressive ainsi qu'à la géopolitique alimentaire (jenesaispascommentledireautrement) et au rapport de pouvoir entre nations vis-à-vis de leur souveraineté alimentaire.

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Carniste, préparez-vous à devoir affronter les effets délétères de votre consommation de viande sur l'environnement (consommation des sols, consommation d'eau, émissions de gaz à effet de serre). Vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas.

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Disponible sur Dailymotion. Film en "et-si-?"

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Quand la fiction t'apprend autant qu'un docu sur les liens entre classe sociale/crise écologique, place des femmes dans les rapports de dominations qui se restructurent dans un contexte de bouleversement massif, ici écologique.

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C'est beau, c'est beau, c'est beau. Ce docu m'a donné envie de faire pleins de randos, jumelles autour du cou, à tendre l'oreille pour apercevoir ces grands prédateurs mal-aimés en France. Dans la même veine que "Naïs au pays des loups" ou "La panthère des neiges", on observe, on comprend, on démystifie, et on a la bougeotte.

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Les ressources naturelles et les espèces animales sont invisibles dans les équations économiques, d'où leur sur-consommation (aka. gratuité = surconsommation). Ce documentaire montre comment est-ce qu'aujourd'hui, s'impose incidieusement la tendance à appliquer les mécanismes économique de l'offre et de la demande à la nature. Postulat : une ressource gratuite est nécessairement sur-exploitée. Ainsi, pour les défenseurs du "capital naturel", résoudre la crise écologique passe par la quantification de la nature. Résultat : $ 600.000 pour la grande barrière de corail, $ 240.000.000.000 pour les pluies amazoniennes, etc.

Ce documentaire explore ainsi l'activité des bio-banques, dont l'activité financière augmente de manière exponentielle en ce qui concerne "l'environnement". Spéculer sur la date d'extinction des grands singes est en effet très lucratif.

En dehors de permettre la compréhension de mécanismes peu connus, ce documentaire montre implicitement la pauvreté - mais la prégance - de l'imaginaire capitaliste. Une part démesurée de la classe dirigeante (politique et économique) est aujourd'hui incapable de projetter dans un autre futur. C'est glaçant.

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Docu qui commence comme la plupart des documentaires écolos, à savoir, un - ou plusieurs - protagoniste se rend compte que le monde tourne pas très rond : "l'absurdité de la croissance", "la froideur de l'économie mondiale financiarisée", "la perversion de la consommation" (etc.). Puis finalement, le film part en free-style sur une quête d'identité ("je suis qui, moi, dans ce monde qui va trop vite ?") et le rapport individuel au monde. C'est original comme prisme et ça soulève pas mal de questions sur la place qu'on s'accorde dans notre environnement.

http://enquetedesens-lefilm.com/

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Tout pareil que pour la panthère des neiges. A voir avec ses grands-parents, ses enfants, ses parents, c'est beau et ça suscite l'envie de protéger.

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C'est plutôt stylax, surtout sur la fait que de nombreux exemples sont pris des pays d'Amérique Latine (Brésil, Argentine). Ca sort un peu de l'idée que "toutes-les-bonnes-idées-viennent-du-nord".

https://www.youtube.com/watch?v=CICXYhL1vEI

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Pour celles et ceux qui se demandent d'où viennent les produits qu'ils consomment tous les jours : du champs à l'assiette.

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CQFD : Capitalisme et multinationale ≠ écologie

PS : la valeur ajoutée de ce film est qu'il décortique précisément les stratégies de marketing et de communication mises en place par la firme pour créer son image de marque actuelle. C'est très pédagogue tout en donnant des clés d'analyse en communication.

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Fable poétique qui prouve l'interdépendance entre la vie sur terre et la vie marine.

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Bon matériel pédagogique si besoin de support pour animer des activités avec de jeunes enfants tout en les faisant réfléchir!

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C'est tout mim's et métaphorique : pratique pour animer des activités avec des enfants!

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Lien vers le documentaire : https://www.youtube.com/watch?v=g_i_Ti1unOs

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Je ne peux que me féliciter du succès de ce docu - au moins, un public peu sensibilisé a pu prendre conscience de certains enjeux liés au réchauffement climatique. Néanmoins, pour ceux qui s'intéressent déjà un peu à la question, ce film n'apprend rien de nouveau. Après, les images filmées en drones sont chamax et c'est vrai que ça fait du bien de voir un docu écolo avec un VRAI budget (merciLéo)

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3ème et dernier volet de la trilogie de Jean-Michel sur les loups. Dans cet épisode, un chasseur, un berger, un naturaliste... nous parle des adaptations en cours ou à faire pour vivre avec ces grands prédateurs. Plus largement, ce docu questionne nos rapports aux grands prédateurs. C'est moins esthétique que les deux premiers volets.

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Parmi celles et ceux qui luttent contre les effets du changement climatique, il existe une frange de scientifiques, qui depuis les années 50, cherche à réduire par la technologie les effets des gaz à effet de serre. On appelle ça la géo-ingénieurie. L'objectif étant de maintenir le même niveau de développement, la même trajectoire économique, tout en réduisant les effets de notre exploitation de la planète. Depuis plusieurs décennies, ces "apprentis sorciers du climat" ont pénétré la sphère politique, au point de tester sur les champs de guerre, leurs expériences de contrôle du climat... L'exemple de l'armée américaine qui a vaporisé de nombreux produits chimiques dans le ciel au Vietnam et au Laos pendant la guerre froide afin d'allonger la période de mousson et faire s'embourber les véhicules de l'armée adverse.

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Panorama qui se veut large - introduction à de nombreux domaines de la transition à l'image de l'économie circulaire, des énergies renouvelable, de l'économie de fonctionnalité - mais qui a le défaut de sa qualité : en voulant tout dire, il n'approfondit rien.

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Docu sur les Zaadistes de NDDL. En plus, la boîte de prod est basée à Poitiers.

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https://www.youtube.com/watch?v=5IsqDRKPn0k