Ecouté en 2020

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Janvier

Obsession : Sweet Ophelia

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Janvier

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Janvier

Je n'avais jamais écouté l'album dans son intégralité, il est temps de réparer ça !

Obsessions : I Am Not A Robot, Girls

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Janvier

Je n'avais pas réécouté cet album depuis des années et OMG mais Patrick Wolf avant Lupercalia c'était tellement bien !

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Février

Un autre album que je n'avais pas écouté depuis bien longtemps, tant le groupe a été entaché par ses dernières productions. Je redécouvre In This Light and on This Evening, et je réévalue à la hausse, il est vraiment très bon cet album !

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Février

Bwarf.

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Février

Un faux air de Lana Del Rey loin d'être désagréable.

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Février

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Février

Cette pochette de toute beauté !

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Février

Fancy et Disorder offraient une belle ouverture d'album et promettaient la prise d'une nouvelle direction qui fonctionnait bien, quel dommage que tout s'effondre ensuite...

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Mars

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Avril

Parfois, on connaît une partie de la discographie d'un artiste sans avoir écouté tous les titres et sans s'être focalisé sur un album en entier. Et parfois, on sent que le moment est venu de se lancer. Et c'est la révélation.

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Mai

Obsession : Anywayz

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Mai

Le gimmick avec les cuivres au synthé est un peu kitsch (de vrais cuivres auraient eu plus d'allure) mais la mélodie reste sacrément en tête. J'étais dubitative sur les paroles qui ne veulent pas dire grand-chose et s'autorisent un passage caricatural ("je suis la fille, je suis le garçon"), jusqu'à ce que je comprenne qu'il s'agit d'une traversée de 40 ans de textes d'Indochine, un collage en forme d'auto-citation. Du coup j'aime bien, c'est un joli hommage se doublant d'un caractère ludique.

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Juin

Bon alors Indochine c'est une longue histoire, il y a tout un affect lié à l'adolescence et à ma vie de jeune adulte. Ce qui a pu être lié aux albums (ah la trilogie Dancetaria / Paradize / Alice & June...), mais est plus encore attaché aux concerts qui sont la raison d’être de ce groupe. Fatalement, lorsque l’attachement est fort, la désaffection est violente : je n’ai pas adhéré à Black City Parade (qu’il faudra que je renote, j’avais été généreuse…) et ne me retrouve plus dans la nouvelle orientation prise par le groupe (ou plutôt par le chef Nicola Sirkis, éventuellement assisté par Oli de Sat, puisque les formes sont de moins en moins mises pour donner l’illusion d’un groupe). Ce qui compte en premier lieu, c’est la musique et l’énergie brute délivrée lors d’un concert, je peux apprécier que l’aspect visuel soit travaillé tout comme la mise en scène, mais ce n’est que de l’enrobage, et cela devient problématique lorsque cela prend le pas sur le reste. J’aime les concerts où l’on sue et se bouscule, je ne viens pas au spectacle pour admirer un écran qui se déploie, un tour des gradins mégalomaniaque ou jouer avec des ballons. Et les concerts à taille humaine se déroulent dans des zéniths, pas dans des stades, réceptacles d’une ode à la revanche prise sur une destinée malmenée, poncif déjà éculé…

Tout cela pour dire que je n’écoute ce 13e album qu’aujourd’hui, près de 3 ans après sa sortie. J’avais trop peur qu’il ne mette un point définitif à l’affection que j’ai pu avoir pour Indochine, qu’il ne vienne entériner la mort d’une part de mon adolescence. Les singles entendus par hasard ici et là n’ont d’ailleurs fait que confirmer cette angoisse.

Le verdict s’annonce nuancé ! (Et comme je vais dépasser le nombre de caractères autorisés, je vais rédiger une critique, en fait).

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Août

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Août

Appréciés : Higher, D-S-D, In The Dark

Les titres qui ressortent le plus étaient déjà sortis sur l'EP Summer Crisis, c'est un peu l'arnaque !

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Août

Obsession : Violence

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Août

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Septembre

Mais, mais, mais... Je ne valide pas du tout Adora et Electrastar remixés ! Par contre ça réussit bien à College Boy et Belfast.
Le choix du remixage des singles relève d'une démarche audacieuse, c'est toujours plus intéressant que de sortir un simple best of. C'est propre, le contrat est rempli : ceux qui préfèrent le côté pop d'Indochine seront ravis. Je reste pour ma part attachée aux morceaux originaux, je trouve certaines réinterprétations trop lisses, la faute aux guitares mises en retrait.

L'expérience est en tous cas intéressante, et déconcertante aussi, je m'attendais systématiquement à entendre les transitions de fin de morceau amenant vers le titre suivant sur l'album d'origine, j'attendais de la même manière la chanson qui succède à chaque titre... Il faut se déconditionner !

(Bon par contre ça me fout un coup de voir sortir ces deux compilations, je me sens vieille... Se dire que les premiers concerts remontent à près de 15 ans, c'est assez violent ! Et regretter que le dernier date d'il y a 7 ans aussi, j'ai merdé à occulter le dernier album)

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Septembre

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Septembre

Obsession : The Key to Life on Earth, Twice Your Size

Pas déplaisant, mais ça laisse l'impression d'avoir déjà été entendu.

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Septembre

Quelques petites choses sympas mais la longueur des morceaux qui ne se justifie pas forcément m'a achevée...

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Septembre

Ca pourrait être des chansons de l'Eurovision pour certaines...

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Septembre

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Septembre

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Novembre

Obsessions : Sometimes, Lullaby

Le rock anglais semble peut-être mort, mais apparemment le rock écossais est prêt à prendre la relève ! Plaisant à écouter, même si la deuxième moitié de l'album manque un peu plus de relief.

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Novembre