Etoiles fixes

Annotation :

Pour les réflexions qui ont suivi mes visionnages de ces films sur la foi, et l'acte de foi, indépendamment d'un système religieux notamment dans le sacrifice et Nostalghia et Stalker. Mais aussi pour sa façon de tisser cela avec la chrétienté, curieusement..
Pour les visions sensationnelle dans le miroir, comme un rêve qui s'impose.

Annotation :

Évidemment pour l'absurdité, du monde, de nos sociétés, de nos réflexions, Projetant parmi les étoiles, toute justice, cohérence, logique, amour, désir. Kafka, ou l'angoisse lovecraftienne tourné en dérision, la raison si loin perdue qu'il faut en rire, , fixé que nous sommes au plancher terrestre et notre condition d'animal social.

Annotation :

Pour l'état de grâce trop rarement atteint à l'écoute, parfois, de la 32ième et 27 ième sonate pour piano, de l'adagio du quatuor 15 ou 7, des variations Diabelli ou encore, évidemment, de la neuvième symphonie, dans son ensemble.
Lutte vers le bonheur, réconciliation avec le monde.

scintillement du soir au moment de s'endormir.

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La tragédie qu'il faut bien connaitre, celle d'être pris dans le chaos du monde et de son propre sois : Le dilemme inconciliable de la culpabilité, de la repentance et de sa propre innocence. Black Hole.

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Au sortir de mes études scientifiques, première auteur sur lequel je suis tombé et qui m’a projeté dans ce monde de pensés et d'émotions, de sensations et de douleurs, mais avec beauté. La porte qui ouvre sur les étoiles, en ce qui me concerne.

Annotation :

Parce qu’en un roman (les détectives sauvages) et quelques centaines de pages de poèmes que j'ai lu pour l'instant, je ne comprend pas pourquoi ses visions m'enchantent autant : peut être que son œuvre enjambe l'inquiétude et l'angoisse de l'horreur en faisant circuler parmis ces grumeaux de malheur, la sève de la vie et son existence heureuse et bohème. Une force qui triomphe avec panache... Eclats de lumière au milieu des ténèbres.

Annotation :

(et Kraznahorkai) Pour sa vision d'une humanité et de ses sempiternelles rouages, dans une esthétique apocalyptique, avec ses idiots, ses roublards, ses spectateurs intellectuel ou non et ses victimes, toujours. Un espoir? un chemin : agir pour la dignité de l'homme et de chacun. Je repense a Valuska faisant danser les poivrots comme le ballet des planète du système solaire !

Annotation :

Pour la consolation des discours de Zarathoustra. La lecture qui fait du bien. Belle, généreuse, bienveillante, bref.... Consolatrice et, en vérité, sans prétention. Un cadeau.

" Ô grand astre ! Quel serait ton bonheur, si tu n'avais pas ceux que tu éclaires !"