f-2024

Annotation :

3/1
c'était mieux avant... remember les vacances de ducobu

Annotation :

8/1
ma partie sur les sims
j'ai été prise dedans mais fondamentalement c'est de la grosse merde, là fin j'ai envie d'hurler comment c'était naze juste le début m'a grave eu...

Annotation :

16/1 cinéma
incroyable je hurle!! anatomie d'une chute x close. je recommande.

Annotation :

17/1
on comprend rien à ce film

Annotation :

18/1
mimi j'ai pas pleuré cette fois

Annotation :

21/1 cinéma
deux idiots du village (les hommes), elle me trigger avec sa coupe de cheveux terribles

Annotation :

29/1
dans les embouteillages dans le flixbus
j'avais un peu l'impression de relire "cher connard" mais en encore plus fuck-top

Annotation :

2/2 cinéma

Annotation :

4/2
en triggerance (inceste)

Annotation :

5/2 cinéma

Annotation :

11/2
super beau

Annotation :

11/2
ELLE EST TROP FORTE JE HURLE
la scène des amoureuxses

Annotation :

12/2
c'est sexiste

Annotation :

14/2
sous-titres en anglais j'ai pas tout captew mais au moins j'ai un peu plus d'informations sur les musicien-nes

Annotation :

20/2
mouais bof

Annotation :

23/2
mouais bof

Annotation :

24/2
pourquoi j'ai trouvé ça nul? j'y ai pas du tout cru une seule seconde.

Annotation :

24/2 cinéma
intense du cul
théorie comme quoi bah ils n'ont jamais été ensemble, mais qu'ils se sont rencontrés qu'une seule fois.

Annotation :

27/2
LES VACANCES DE DUCOBU x TEEN WOLF x GRAVE
tellement hâte de voir "leurs enfants après eux" réaliser par les frères Boukherma

Annotation :

2/3 cinéma
comment ça je me suis endormie les 3 dernières minutes
faut que je vois le deux maintenant.

Annotation :

5/3
marrant mais le méchant il était trop dedans tout le temps.
appréciable, j'adore les films pour enfants

Annotation :

6/3
incroyable bravo la vardance
https://www.youtube.com/watch?v=mj8T2qE59M0
- varda comme précurseuse de la nouvelle vague
- "faire des films comme je les sens, au moment où je les sens"
- "filmer des gens dans un cadre vivant c'est un rapport humain, pas une esthétique"
- "cinéma souvenir"

Annotation :

7/3 cinémathek
terriblement mauvais comme genre de représentation. c'est l'histoire de Jasmine vendue par sa mère à une sorte de forain nomade absolument imbuvable. pendant tout le film elle est malmenée par cet homme, il l'a présente comme sa femme dans ses spectacles (ce n'est pas très clair si il y a des rapports (ou agressions sexuels) entre les deux). en tout cas, Jasmine a conscience de sa condition, elle s'en plaint et menace de partir à plusieurs reprises. j'attendais ce moment avec impatiente (bien la seule raison pour laquelle je suis restée dans la salle) mais celui-ci n'arrive jamais. vers la moitié du film, elle rencontre un autre forain qui se brouille avec Zampano (Zampano finira par le tué, Jasmine en deviendra folle et ça en causera sa perte), celui-ci proposera l'hospitalité à Jasmine (et oui le sauveur est encore un homme) mais celle-ci refusera, ayant pour volonté de rejoindre son bourreau, tout droit sorti de prison. tellement nulle comme histoire, c'est intéressant comme sujet l'emprise, mais ça aurait été tellement plus intéressant de la voir vivre seule, pour et par elle même. la fin du film présente une éclipse de 4 ans, Zampano apprend la mort de Jasmine (celle-ci a donc vécu 4 ans mais on n'en a absolument aucune trace) et en est dépité (oh non ouin ouin). alors peut-être que c'est pour mettre en avant les rapports de dominations existant au sein des couples hétéros mais mon dieu quelle horreur, c'était absolument trop naze. pourquoi est-ce que j'ai espoir dans les classiques italiens (réaliser par des hommes? peut-être que les classiques italiens sans femmes sont mieux que ceux avec des femmes?

Annotation :

9/3
super

Annotation :

10/3
court métrage très intéressant. aborde les thèmes de la migration, des travailleurs précaires, du déni. comment face à leur trouvaille en zone "interdites" ces travailleurs vont agir? entre la question économique et la question morale

Annotation :

12/3
j'ai mis une presqu'une semaine à parvenir à voir ce film en entier (j'étais tout le temps couper je hurle) donc j'en suis un peu sortie, c'était super frustrant parce que je n'arrivais pas à le finir... ce qui est dommage, c'est un film qui monte en intensité, pour finalement redescendre vers la fin. entre documentaire et fiction, triet nous plonge dans une histoire de séparation conflictuelle de façon concomitante à l'annonciation d'un nouveau président français. les plans sont longs, très peu coupé. même si dans les moments plus intenses, la caméra est portée à l'épaule. j'ai beaucoup mais mon visionnage chaotique m'a sorti du film.

Annotation :

12/3
très chouette et divertissant. utilisation d'une sorte de montage "séquentiel" très rapide, permet de rendre les dialogues et scènes très dynamique. par contre la caméra à l'épaule je hurle (après on s'y habitue). c'était drôle et malin, ça questionne pleins de choses sur le couple, la fidélité et tout ça. mais je pense que ce qui est le plus intéressant dans ce film est la mise en scène et représentation des scènes de cul. tellement mieux qu'une scène de sexe banale, ici il y a tout un jeu d'esthétique. j'ai vraiment aimé cette façon de représenter ces scènes, qui en général me mettent mal à l'aise, là c'était très beau et très intelligent.

Annotation :

13/3
alors là, j'avais tellement envie de le voir depuis des mois. un peu l'impression que le film souffre de ses longueurs, principalement dans la première heure qui tourne en rond. mais heureusement, les dialogues sont là pour nous tenir en haleine, entre miralas qui parle h24 et dog qui n'en place pas une, on s'accroche à ces deux personnages (et ils commençaient à m'énerver tellement c'est des mecs). film sympa sur l'amitié entre hommes. j'aime bien comment l'écran est filmé lorsqu'ils jouent à fifa ou quand iels regardent la femme de mon frère.

Annotation :

15/3 cinémathek
rapport son/image hyper intéressant, big up à chantal pour ses excellents bruitages:)
l'art de mettre en scène des femmes enfermées dans une maison. la fin m'a tellement trigger, j'ai peur du feu.

Annotation :

15/3 cinémathek
des scènes intéressantes. deux enfants (le mari absent et l'enfant) et une femme qui joue à la femme mariée, elle aussi joue, comme un enfant. le rôle de chantal pour créer une interstice avec le monde extérieur, lui laissant apercevoir sa condition femme et cherchant à lui dire que c'est possible d'en sortir, tout en l'écoutant passionnément sans jugement.