Faisons peur à l'auditeur !

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Morceau inquiétant racontant l'histoire d'une femme se sentant suivie dans le métro. Vers la fin, le morceau part en fade out et semble se terminer. Quelques secondes plus tard, un violent cri se fait entendre !

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L'histoire d'un ouvrier assassinant sa femme et ses enfants avant de se suicider. Joyeuse cette liste non ? L'ambiance unique du morceau est déjà bien stressante, mais le chanteur s'amuse en plus à hurler comme un damné à certains moments.

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Morceau de hip-hop atmosphérique et ambiant (à tiroirs), on entend durant la toute dernière section une voix puis un cri bien strident comme il faut, pour bien contraster avec la brume épaisse qui se dégage du morceau.

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Morceau de post-rock très calme au départ, au bout de deux minutes et cinquante-sept secondes les instruments explosent dans une furie. Une pièce bien représentative du double jeu de Mogwai.

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Je sais pas vous, mais moi je me fais toujours avoir au tout début de la chanson. Je monte le volume parce que je crois que le morceau est plus bas, et après les guitares arrivent et me font faire une crise cardiaque.

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Idem que celui du dessus.

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Cela ne fait pas vraiment "peur", mais les coups de feu à la toute fin du morceau me prennent toujours par surprise.

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Petite blague du groupe : la toute fin du morceau imite les sons que ferait un disque rayé, ce qui peut quelque peu surprendre quand on le possède en vinyle.

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Pareil qu'au-dessus.

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Le morceau est suivi par 10 minutes de silence... suivi d'une piste cachée de 6 secondes, véritable brouhaha noise visant à effrayer volontairement l'auditeur.

(à noter que j'aime bien le petit "(without scare ending)" sous le titre)

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Nous nous sommes tous fait avoir lors de la première fois non ? Le morceau ne commence qu'au bout de 25 secondes environ. Et de manière bien bruyante.

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Le morceau dure une quinzaine de minutes. Au bout de 6 minutes, il semble se terminer mais se prolonge sur des sons synthétiques extrêmement répétitifs et ambiants.

Quelques minutes plus tard, le chanteur déclame un "BYE BYE !" qui est quelque peu surprenant à la première écoute.

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Bon okay, lorsque nous connaissons Coil, nous savons qu'il faut s'attendre à tout dans le malsain. Mais cet album commence par quatre morceaux relativement apaisés ou lumineux. Arriver à It's in my Blood c'est un peu comme rentrer soudainement dans un cauchemar au beau milieu d'un rêve, entre les cris et l'ambiance film d'horreur...

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Le locked-groove de la fin de l'album. Déjà que le morceau en lui-même possède une atmosphère particulière, mais la fin avec le collage de voix renforce le sentiment de malaise.

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Le morceau, assez violent, s'arrête soudainement, pour reprendre immédiatement quelques secondes plus tard. Ne jamais baisser sa garde !

Merci à Foxounet.

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Je trouve l'ambiance du morceau absolument cauchemardesque, ne serait-ce qu'avec les voix...

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La fin ressemble à un mauvais rêve, avec rires machiavéliques et fantomatiques. Pas très horrifiant, mais assez inattendu. Cela doit avoir son effet en pleine nuit.

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L'éclat de rire final est très surprenant, totalement en contraste avec l'ambiance mortifère et psychédélique du morceau.

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Et si je mettais des bruits parasites durant un passage au piano calme ?

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Foxmccost :

"Hessian Peel d'Opeth. Ça part sur une chanson très lente, très folk, qui s'étire sur cinq minutes. Et là, au moment où la chanson semble se terminer tranquillement, BAM du growl et du death ultra bourrin sans prévenir. Je te laisse en juger:"

https://www.youtube.com/watch?v=MgV-bCxE6ZI

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Krokodebil : "Time de Pink Floyd, je sursautais toujours quand j'étais gamin au début."

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Krokodebil : "Pareil à la fin de The Prophet's Song de Queen, le groupe nous endort avec du koto et nous réveille sur une mesure impaire avec un gros accord forte."

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Un sifflement léger, harmonieux et apaisant, qui devient progressivement de plus en plus étrange, jusqu'à l'explosion finale qui change complètement la donne.

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Le morceau commence de manière très calme : guitare et voix chuchotée, quelques percussions... puis au bout de quarante secondes la guitare apparait et le rythme s'accélère subitement !

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Instrumental atmosphérique et nébuleux, qui à la fin fait surgir un éclat de rire enfantin glaçant.

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Polnareff arrête et reprend subitement son morceau vers la fin, plusieurs fois de suite. Pour qui ne s'y attend pas, c'est assez désarçonnant.

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Vers la fin du morceau, des problèmes commencent à se faire entendre : coupures, interruptions, ralentis, donnant l'impression d'un vinyle abîmé ou d'écouteurs sans fil perdant la connexion.

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jeanpierrekeuf : ""Freezer Burn/I Wanna Be Your Dog" de Sonic Youth : une minute trente de bruit blanc (un frigo qui brûlerait, donc) puis transition extrêmement bruyante et glaçante avec le cri de Kim Gordon hurlant les paroles d'I Wanna Be Your Dog."

Annotation :

jeanpierrekeuf : ""Mila's Song in the Rain" d'Eliane Radigue : d'abord un bourdon hypnotisant et une voix qui arrive par surprise au bout de quatre minutes. En écoutant dans le noir, ça m'a glacé le sang."

Annotation :

jeanpierrekeuf : ""Clara" de Scott Walker : un suspense de deux minutes avec la voix du chanteur et des percussions répétitives en fond... Une ambiance mystérieuse voire inquiétante, avant l'entrée fracassante de l'orchestre qui glace le sang !"