Film Mehdi

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A mes yeux la meilleure métaphore cinématographique du passage à l'age adulte, de l'apparition, de l'évolution et de la gestion des pulsions de vie et de mort. Un incroyable jeu d'acteur de Garance Marillier. Une perle.

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Classique.

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Un de mes classiques. Ce jeu avec l'imaginaire, les formes, les histoires et les couleurs est juste incroyable. ++ Les dialogues

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Grand coup de coeur, j'y ai vu une métaphore de la métamorphose que peut provoquer une relations de couple. On voit clairement qu'il a inspiré grave avec notamment la similitude de la scène d'amour ou la caméra se concentre sur le regard froncé du héro vers la fin de l'acte.

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Une claque. Mon introduction au cinéma coréen et je suis resté pantois face à toutes les émotions qu'un seul film a pu créer en moi.

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Une véritable surprise. Malgré quelques lourdeurs scénaristiques et une fin qui aurait pu être plus pertinente je me suis retrouvé emporté par ce thriller sous marin. Excellentes compositions de Tomandandy (notamment the ascent) qui nous transporte dans l'angoisse des profondeurs sous marine.

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Quel chef d'oeuvre

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Réellement bouleversant, ne laisse pas indifférent.

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Surement mon préféré de la saga avec le premier.

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Introduction d'une des plus grande saga, un chef d'oeuvre.

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Loin de mes préjugés, nous ne sommes pas sur un énième Slasher mais bel et bien sur un thriller psychologique. Le doute qui existe quand à la réalité de candyman est primordial, c'est pour cela que je redoute la vision du deuxième volet ainsi que du remake. Je pense que ce film ce suffit à lui même. ++musique +l'ambiance et les thèmes sous traités sans lourdeur.

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Critique osée et pertinente des banlieues riches américaines et de l'enfer que peut être la quarantaine enfermé dans ce milieu là et la routine. La tension à la fin est très réussie, elle vient conclure ce film en beauté.

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Un film si beau dans ces idées mais subtile dans sa nuance et dans sa vision du monde. La réalisation nous plonge dans la réalité de l'avortement dans les années 60, il n'y a pas d’ellipse, on assiste à plusieurs tentatives et à la sortie du bébé. On ressent la douleur, la tristesse, le dégout et ce sont ces émotions partagées et les idées fortes qu'elles portent qui font de ce film une réussite.

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Récit prenant d'un homme peut être trop simple qui va au fur et a mesure des déceptions et des rencontres devenir un véritable (anti) héro. Une critique forte des USA des années 70, post guerre avec un New-York dépeint comme une ville infâme. Il est un des précurseur des films contant la haine, la haine envers une société, une élite, un monde violent qui nous effraie.

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Renversant. Un des meilleur jeu d'acteur que j'ai pu voir et une façon plus que réussi de nous introduire dans la démence sénile avec le jeu sur les personnages, la temporalité et leur actions.

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Un triple retournement de situations typique du cinéma coréen et plus particulièrement de Park Chan-Wook. Plusieurs styles maniés avec adresse et de nombreuses réflexions induites notamment sur le regard que l'on porte sur la femme.

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Très immersif. Le film a réussi à me faire oublier son statut de fiction. Les acteurs sont plus que convaincants et leurs personnages sont très bien écris. On pourrait reprocher le côté animale de la foule dans les quartiers nord mais je trouve cela logique selon le point de vue adopté. On ne peut cependant dire que c'est un film pro police vu tout ce qu'il met en avant. Cependant le film commence en disant qu'il n'est pas politisé mais cela est questionnable, il parle avant tout d'une enquête et il donne son avis dessus.

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J'ai été aspiré par ce film, une superbe découverte. Le fait de vivre cette histoire banale à travers les yeux du fils rendent le tout diablement intéressant et puissant. Les questions d'objectifs de vie, d'émancipation, de sa place dans la société en tant que pauvre, l'amour, la trahison, les sacrifices, tant de sujets abordés avec justesse par cette œuvre

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Un peu moins marqué par celui ci comparé au deux autres du au rythme et au focus sur le Rohan.

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Une simplicité mais une efficacité remarquable. Le papa des Slasher et un des rare seul de l'époque (70-80) qui s'apprécie encore de nos jours.

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Quelle expérience.. On a vraiment l'impression d'être présent dans ce cabaret démoniaque et de partager chacune des émotions que les personnages vivent à travers ce long plan séquence et cette descente en enfer.

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OUI