Films 2017

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Globalement c'était pas à voir un 1er janvier.
Je ne comprends pas de quoi ça parle.
Mais j'aime bien Zlotowski, qui fera des bons films quand elle arrêtera ses métaphores d'agrégée en lettres modernes

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#Monicelli2017

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J'étais vraiment pas prêt. C'est sublime.
Huit de cœur

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Grand portrait de femmes LOL

(1 bien mérité quand même pour ce grand moment de gêne que fut la présentation du film par l'équipe aux Halles face à une salle quasiment vide)

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Comme toujours chez Garrel, cette impression d'assister à la naissance du cinéma à chaque plan

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Le film dans le film me semble assez réussi par instants, mais l'enrobage autour rend le tout excessivement irritant.
Trop cynique pour être honnête

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Trente minutes splendides, puis une seconde partie fantasmée moins inspirée.
Avec Manivel, on fait quand même de belles ballades.

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Revu dans le cadre d'un exercice à la Femis.
C'est toujours un 7.
Je n'avais pas remarqué la première fois à quel point Harari réhabilite le zoom, et c'est super bien

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Le djihadisme pour les nuls

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J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans. Finalement c'est tout de même une écriture et un rythme assez uniques

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J'ai vu ça ivre, et c'était difficile à suivre.
Hyper théorique, il y a pleins d'idées mais rien ne fonctionne.
On retiendra juste Baer, qui s'est réservé quelques bons mots.

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J'ai honte, mais c'était mon premier Peckinpah. Ca a l'air pas mal

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Film qui oscille sans cesse entre le navet et le chef d'œuvre. Beaucoup de gags nuls, mais une belle galerie de débiles et de grands moments d'hystérie

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Magnifique leçon de marxisme selon Groucho. Du coup le rythme du film retombe clairement dès qu'il n'est pas en scène, dommage.

" - Je vous accueille à bras ouverts!
- Et ils restent ouverts tard ? "

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C'est "fun" à la rigueur, mais c'est tout.
5 quand même par respect pour le talentueux Mathieu Glx, grand cinéphile admirateur de Jackie Chan et ami.

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C'est beau, Widerberg

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Même comme téléfilm c'est moyen.
C'est un 2, mais +1 pour Dussollier dont le rôle m'a rappelé que "Le Grand jeu" l'année dernière c'était bien. Et +1 pour la dernière séquence la plus absurde que j'ai vu depuis longtemps, qui m'a bien fait rire

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Au delà du fait que je fait un stage au Pacte je trouve le film vraiment réussi. Baer à complètement conscience de faire un film à son image (théâtral, bordélique, poseur..) et c'est etrangement émouvant.
Et puis c'est beau un théâtre la nuit

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Problème de nombreux films coupés en deux : une partie est souvent moins forte que l'autre. C'est clairement le cas de la deuxième ici, très explicative alors que la première installait une belle ambiance mystérieuse et lançait de nombreuses pistes excitantes. Fukada reste un grand créateur de formes quand même, et sait se montrer surprenant, alors qu'on l'avait vite catégorisé comme "le nouveau Rohmer Japonais".
Sayonara c'est mieux.

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Immense film minuscule

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On dirait que ce film a été fait uniquement pour que Durendal aime, et explique ensuite à ses groupies que "c'est vraiment pas mal foutu pour un film français".
De tous les acteurs du film c'est Kaaris qui joue le mieux, c'est dire le ratage. Mention spéciale pour sa réplique : "fume la daronne putain".

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Projection-test, donc film inachevé, mais le montage finale n'y changera pas grand chose puisque le vrai problème porte sur le fond : c'est un film de droite. Hyper réac, bourré de blagues rances (un personnage traité de "sale trans" et la salle qui explose de rire, ça pose quand même un peu problème). Tout ce qui sort de la norme (enfin une norme établie par François Fillon) est moqué dans le film et c'est franchement gênant.
Je ne comprends pas ce que Judor est allé faire dans cette galère. Et c'est bien dommage, parce que tous les gags qui sont de lui - de son personnage de gros con qu'il reprend de Platane - sont géniaux (c'est ça le plus frustrant, c'est que le film est parfois vraiment drôle).
Après j'ai vu que le film était écrit par Noé Debré, scénariste de Dheepan et la crème de la crème, ce qui explique beaucoup de choses. Grand scénariste de droite.

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Mieux vaut voir "A simple plan" de Sam Raimi, c'est le même film en réussi. C'est dommage, j'allais voir ce film avec beaucoup d'envies, je suis persuadé que Shrader est sous-estimé dans son genre. J'espère ne pas me tromper.

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55 minutes que le film a commencé : Bardem et Theron se baladent au ralenti dans la jungle en se prenant par la main avec gêne comme des amoureux au collège pendant que Docteur Love (Jean Reno) prend des photos des cadavres calcinés qu'ils découvrent pendus aux arbres et fait des signes de croix en cachant les yeux des enfants. Puis il arrivent dans un camp humanitaire sur de la musique africaine de Hans Zimmer (toujours au ralenti) et Theron appelle ses proches pendant que Bardem est déjà super copain avec tous les enfants et joue au foot. À ce moment là je suis parti. J'ai déjà vu trop de choses horribles et il y en aura encore sûrement beaucoup d'autres (le film dure 2h15). Mais j'ai honte d'être allé vérifier le plantage du film, c'est moralement bien trop scandaleux pour en rire.

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Très grand film du plus bizarre des cinéastes hollywoodiens. Ça fait du bien de voir des images aussi cruelles parfois, ça remue un peu et nous ouvre à la partie impure de notre cerveau. C'est retors et décadent, et délicieux d'aller s'y salir : on en ressort étrangement purifié

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Bon c'était mon premier Depardon et c'est nul. Toutes les discussions sont passionnantes (quoique ça ne tienne pas sur la durée) bien sûr, mais le dispositif est trop bidon pour qu'on s'y intéresse pleinement. On se doute bien que la caméra a enregistré une heure de gêne entre les personnes avant qu'ils ne parviennent à etre aussi naturels. Dans ce cadre là, monter c'est tricher.

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J'ai découvert Blake Edwards il y a quelque mois seulement et j'ai envie de tout rattraper. Digne héritier d'Howard Hawks : génie de l'évidence, mise en scène à hauteur d'homme, toute au service du récit et des personnages. Univers magnifique où l'on pleure de trop rire, et l'on rit de ne plus réussir à pleurer. Et en plus, je crois bien que son œuvre est la plus forte réflexion sur l'alcoolisme de toute l'histoire du cinéma.
Ah et sinon celui-ci est un film mineur. Mais génial.

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Je suis le premier déçu de mettre seulement 4, j'avais envie d'adorer ce film et j'en attendais beaucoup (j'aime bien Whiplash). Mais franchement j'ai tout fait pour aimer et rien n'y a fait, je n'avais rien à quoi me raccrocher. Parce que dans ce film il n'y a rien, ou alors vraiment pas grand chose, et je suis persuadé que ceux qui adorent, au fond d'eux, le savent.
Le premier plan séquence est à vomir, on dirait du Iñarritu. Découpe tes plans bordel, là c'est juste pour faire le gros forceur. Ensuite j'aime trop la comédie musicale pour accepter que ce film en soit une : trois numéros chantés, chorégraphiés par une classe de sixième, rien qui fasse rêver quoi. Pareil pour la romance, on est loin de "Elle et lui". Et puis c'est interminable.
J'en ai marre de chercher des arguments contre cette coquille vide, il n'y là rien de scandaleux, mais apparemment on est obligé de s'expliquer si l'on a pas aimé ce film. Juste, on s'en fout.

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Minnelli is cinema