Films analysés avec Mr David

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Film test pour nous apprendre à observer et analyser, fournir des preuves, trouver ce qui est invraisemblable. Comme dans l'intro, lorsqu'on trouve un plan de la fenêtre de Stewart, et que sur le plan suivant, il semblerait que Stewart se trouve à l'emplacement exact de la caméra, mais qu'on ne le voyait pas, et que ce dernier est paralysé. Apparition magique.
Une explication ?

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Lors du dialogue entre l'enfant et le cuisinier, l'économie visuel du plan cherche à créer une asymétrie dérangeante, notre point de vue étant celui d'une troisième personne. On rapproche les deux personnage entre eux, le petit se réappropriant les gestes de l'adulte. Les couteaux visible au dessus de sa tête annonce une menace planante.

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La scène de sexe n'est montré que par cette métaphore d'un travelling dans un tuyau. Forme de pudeur, jusqu'au meurtre atroce. Alors pourquoi tant de pudeur ?

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Le couteau ne pénètre pas la chaire. Ce qui est attaqué, c'est le montage qui devient plus coupé. Le film, à cet instant, est tué pour renaitre.

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Lorsque le cadavre éborgné est trouvé, la femme ne crie pas. Le crie, on l'entend une fois que la femme s'enfuie, dans le son du moteur de la voiture, un cri déshumanisé, comme le cadavre. Son pyjama rappelle celui des déportés, des juifs dans les camps de concentration, image cauchemar venant hanter les américains, comme une réminiscence de la guerre, qu'Hitckcock à filmé. La femme ne crie pas puisque personne n'est capable d'en parler. La machine, comme la caméra, est capable d'exprimer tout cela.

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Margo porte la robe d'Eve, comme si elle portait son cadavre. Image prémonitoire. Réalisation d'un désir par l'image filmique.

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Durant l'intro, improvisation dans le montage, tel du jazz. Le montage donne l'expressivité de la mise en scène. Le panoramique montrant la fuite, fuit aussi la séquence précédente que l'on n'a pas vue.

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Godard, à la fin, montre l'adieu plus que la mort, en montant le son.

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Godard film l'état d'âme du montage, non plus l'action. Les personnages fuient un montage classique.

Annotation :

Tente de montrer l'horreur du travail à la chaine, par le son et le plan-séquence. Le montage serait accepté le capitalisme. Le plan-séquence ne s'attarde sur aucun ouvrier ce dernier devenant anonyme. Il ne veut pas diviser le plan, comme le peuple.

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J'ai fait un dossier pour ce prof. Il est dans ma critique.

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Pour le dossier, quelqu'un avait proposé une analyse du film sur la magie.

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Pour le dossier, quelqu'un avait proposé une analyse du film sur la musique Jazz, soit américaine, dans un film japonais d'après guerre..

Annotation :

Je mettrai mon dossier dans une critique du film, une fois fait.

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La chute de Paul Dédalus comme écho burlesque à la scène précédente. Il ne contrôle plus rien, pas même sa propre déchéance. Révélant une forme d'altérité avec son ami, qui sort avec l'ancienne amante de Paul. Lorsqu'il s'excuse à terre, il s'excuse aussi auprès de son ami, disant même "vous pouvez continuer".

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Personnage de Nora entre fiction et documentaire. Elle simule un vrai chez elle, attestant de sa réalité. Les jumps-cut tendent à réaliser différentes réalités de Nora. Elle est l'ensemble de toute ces images actuel et virtuel, comprenant toute ses expressions, sans savoir laquelle s'est réalisé.

Annotation :

La mort de Joseph comme connecteur entre les personnage du film. Les figurine du théâtre montre les personnages comme des résurgence du passé, que nous prouvera leur présentation au début du film (comme Henri, né inutile). Un monde entre mort et vivant.

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Le personnage de Pascal vivant la mort de son cousin par les réactions de son corps, pour figurer une violence immorale autrement.

Annotation :

Le personnage ne peut se figurer la raison de la présence de la tête. Il a besoin d'une ellipse, un jump cut qui amène après son malaise.

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La couleur rouge qui attache Léo à son statut d'enfant, face à la trahison envers son père.

Annotation :

Un film sauvé par la critique de cinéma.

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Photogénie des visages, jeu d'acteur neuf. Un film important pour la critique.

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Delluc désignant ce film comme la piéta de Chaplin. Une œuvre complète.

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Léon Moussinac qui diffusé en cachette ce film dans son ciné club.

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Opposition des critiques de gauche et de droite. Aucune n'apprécie le film, chacun y dénonçant une morale nationaliste ou une forme de lâcheté démoralisante.

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Symbole du cinéma français pendant un temps. Porte étendard des critiques avant Renoir.

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Censuré en France, rappelant les critiques politisé.

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Film soutenu par les Cahier du Cinéma, ce qui est rare pour un film français.