Films oubliés, méconnus ou mésestimés

Annotation :

Un film complètement mésestimé, un magnifique désenchantement

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Occulté par Drive et Pusher, un beau film dépressif et énigmatique de Refn.

Annotation :

Trois films séparés en six parties, 9h30 de cinéma à fleur de peau: The Human Condition de Masaki Kobayashi est un véritable monument du septième art et en terme de trilogie, il n'a rien à envier à The Godfather et les meilleures triptyques de tous les temps. Cette réflexion passionnante sur l'Homme, ses devoirs, son engagement et sa nécessité de respecter les règles en temps de guerre captive au plus haut point, rendant fascinante la progression psychologique de ce jeune et noble héros japonais qui tente d'apporter un peu d'humanité à son entourage et qui perdra peu à peu son âme. Et il y a cette conclusion tout simplement mémorable, qui rappelle que parfois, le troisième tome du lot est le meilleur. Qui dit mieux? (blog: requiem pour un film)

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Inspiré par l’univers de Lovecraft et précurseur d’œuvres telles L’antre de la folie ou Réincarnations, Messiah of evil se situe également dans la lignée de l’épouvante poétique et onirique du célèbre Carnival of souls même si l’influence de métrages plus viscéraux comme La nuit des morts-vivants s’avère indéniable lors des rares, mais brutales, scènes d’horreur. Bref, un drôle de mélange concocté par Willard Huyck, lequel acquit ses lettres de noblesses en scénarisant American graffiti de George Lucas et surtout Indiana Jones et le temple maudit. (cinéma fantastique)