Films (re)vus en 2018

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02/01

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03/01

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#Perte de temps

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05/01

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06/01

Du divertissement bête, glamour et méchant, mais bien branlé.

(Jane Fonda est à se damner, ok j'avoue, et j'imagine que Delon est dans sa bonne période également).

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Un peu de mal avec cette interprétation un peu trop typée actor's studio et qui maintient malgré elle une certaine mise à distance envers les personnages... La première heure est globalement bonne sinon, bien qu'on attende l'étincelle qui permettrait au film d'être un peu plus que ce récit vaguement schématique. Sur ce point, le passage à tabac de Brando fait vraiment figure de point de rupture. A partir de là, la dernière demie-heure est un régal total, je faisais vraiment pas le malin à la fin.
Donc ouais, quand même pas mal.

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07/01

Le Bava en costumes quoi, pas celui qui m'intéresse le plus, même si comme d'hab, l'esthétique baroque sauve le film du naufrage. Reste que l'intrigue n'a aucun espèce d'intérêt, que la BO est trop démonstrative et que les acteurs sont pas très bons non plus... J'ai suivi ça à demi éveillé au final.

La cinéphilie rend sadique, c'est bien connu.

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+1

1er visionnage: 05/03/2015

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08/01

#Perte de temps n°2

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Le drap qui enveloppe Affleck a un vrai pouvoir d'incarnation, j'admets. Et Lowery parvient même assez souvent à le rendre expressif, j'admets aussi.

MAIS

- Heureusement que ce film est là pour nous rappeler à quel point notre temps est précieux et qu'on le perd donc à le regarder, c'est bien aimable

- Heureusement qu'il est là également pour nous rappeler à quel point rien n'a de sens (monologue bien relou pour les trois cancres du fond): c'est vrai qu'on a pas assez l'occasion de se le dire tous les jours, merci encore !

- Et c'est moi ou t'essaye de nous émouvoir en nous mettant de la grosse daubasse ?

Bref, va te faire fo*tre

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09/01

Avouons-le sans se mentir, le film vaut surtout le coup pour ses scènes de boules. Néanmoins, même sur ce point, la réussite est à tempérer: pour un certain nombre d'entre elles, il faut se taper une musique de "vieux porno fauché m6", qui fait un peu pitié tout de même. Heureusement, les images sont assez parlantes, et les actrices investies, c'est quand même efficace. Le reste n'est pas très intéressant en revanche, aussi bien en terme d'intrigue que des acteurs qui sont assez mauvais, et qui ne sont pas non plus aidés par leurs dialogues. Alors si on ajoute au constat qu'il n'y a plus de scènes saphiques durant la dernière demie-heure, autant dire qu'on s'emmerde un peu, la tension retombant trop après avoir atteinte son point culminant: la partie à trois. Reste que Brisseau arrive toujours à incorporer quelques touches fantastiques à son film, et l'on retrouve notamment ces petits travellings si caractéristiques de son cinéma.
Enfin, concernant l'aspect autobiographique du film, où Brisseau chercherait à se défendre des accusations dont il a été victime: c'est quand même un peu léger hein. Le réalisateur est montré comme un mec un peu naïf certes, mais sinon zéro défaut, simplement obsédé par le plaisir féminin et sa retranscription cinématographique. En plus les anges du film finissent par lui pardonner, et l'une des actrices tombe carrément amoureuse de lui... Quel gourou, quel tombeur ce Jean-Claude ! Bon je dis pas qu'il n'y a pas une part de vrai là-dedans, mais je pense que c'est quand même un peu plus compliqué que ça, et que le cinéaste n'était de toute évidence pas le mieux placé pour assurer sa propre défense.

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10/01

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11/01

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Revu, -4. Je me rappelais même pas de la première partie... Bon sinon, outre l'aspect légèrement douteux de l'intrigue, c'est surtout un gros téléfilm pour faire pleurer dans les chaumières, avec un Benigni investi qui cabotine énormément, et un humour pénible qui rend la romance entre lui et l'actrice principale totalement à côté de la plaque, tant le mec est lourd. Il y a bien 2-3 idées pas si mauvaises (lorsqu'il traduit pour la première fois les paroles de l'officier allemand par exemple), et je sauve l'ellipse de la nuit d'amour du couple, qui donne naissance au fils, et qui arrangera bien la seconde partie du film. Bien que là aussi, je trouve que ça manque de subtilité au fond: c'est juste là pour amené la partie concentrationnaire plus vite. Puis la fin est particulièrement nulle et facile.
D'un œil plus général, j'ai quand même eu l'impression que Benigni nous prenait pour des cons et s'adressait au spectateur de la même façon qu'à son fils. On sent d'ailleurs bien le manque de moyens pour rendre la guerre "crédible" (les décors ont vieilli), et ce n'est pas un petit plan de vague horreur qui changera la donne.

Bref, si c'est ça un chef-d'oeuvre, alors arrêtons dès aujourd'hui de regarder des films.

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12/01

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13/01

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1er visionnage: 29/10/2012.

-1. Le temps m'avait fait effacer de la mémoire cette horrible voix-off, pas loin d'être l'une des plus lourdes entendues récemment, et cette fin terriblement explicative - la "psychanalyse pour les nuls" a encore frappé -, ainsi que ces acteurs pas très inspirés... L'intrigue est quand même globalement bidon, avec 36 000 personnages sans grand intérêt (genre le fils ou la secrétaire). Heureusement, et comme souvent, c'est sur la forme que le film se rattrape, conférant une certaine ambiance angoissante au projet, avec notamment de beaux jeux d'ombres (on retient le plan où Redgrave apparaît dans la brume lors de la fuite de Bennett), une musique pas si mal, et surtout des décors qui envoient du bois, le tout bien emballé par Lang. Un p'tit film qui se regarde bien, sans plus.

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14/01

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15/01

J'ai eu un peu peur du film ringard au tout début, mais une fois que l'avion se crash' - assez vite - on se tape finalement un excellent survival, avec des perso' que l'écriture révèle progressivement, sans forcer le trait, et ça devient véritablement passionnant, malgré une fin légèrement abrupte. Même les maquillages un peu grossiers ne viennent jamais ternir le spectacle, j'étais franchement à fond. Et puis quel cast' sans déconner !

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16/02

Disons que ça commence plutôt bien, Brana est convaincante, Brisseau organise bien ses séquences érotiques, et même les séquences au parc avec le clochard sont plutôt amusantes... Bref, on a envie d'y croire. Pas de bol, ça ne dure pas. Bon en gros, quand ça commence à partie en délire SM, avec l'actrice blonde qui était déjà dans son précédent film, j'ai bien senti que ça commençait à déconner sévère. Le pire restant encore lorsque le réalisateur part dans ses délires new-age, quitte à reléguer son actrice au second rang, et à oser un peu trop le ridicule. J'ai un peu lâché l'affaire je crois.

Il est bien loin le temps de "Céline", où Brisseau parvenait encore à marier l'érotisme et le mysticisme sans en faire des tonnes...

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Le programme débute plutôt bien, tout le côté "parano" et "espionnage" fait plutôt saliver, mais s'essouffle pas mal lorsque l'un des acteurs principaux disparaît. Je garde pour la suite un souvenir assez pompier, annonçant les divertissements de la décennie suivante (que c'est lourd ce final dans la rue...). Bref, pas très mémorable.