Films (re)vus en 2020

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Drôle, efficace, auto-référencé au possible, ce second volet fait honneur au premier, sans pour autant le dépasser. Mention spéciale au plan séquence fou, technique rarement vue dans des films d'action de cette ampleur.

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Si le premier film restait divertissant, ce second volet s'enterre dans la niaiserie et les déjà-vus à la pelle. Ni la technique ni la prestance d'Angelina Jolie ne sauvent le spectateur de l'ennui.

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Carrie Fisher était un personnage d'un humour fou et d'une auto-dérision sans pareil. Son spectacle est à l'image de son écriture : déjanté, sans fil conducteur, et sans filet de sécurité. A voir et à revoir.

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Après 2 films cultes, ce dessin animé (qui devait au départ être un projet de Tim Burton) se révèle complètement fade et stéréotypé, et n'est drôle que dans les moments où il s'auto-référence.

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Des pingouins qui débarquent dans une petite ville et des gamins qui mènent l'enquête, pourquoi pas. Mais y ajouter des extraterrestres, des phénomènes météos étranges et plus de questions que de réponses, laisse une impression mitigée à la fin du film.

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3 femmes, des maris. Tout ce petit monde se croise, s'aime, se ment. Mais au fond, pour quoi ? Pas grand chose hormis un ennui latent tout au long du film.

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Ce qui démarre comme une comédie romantique prend subitement une étonnante tournure et révèle une écriture et une interprétation excessivement bien travaillées. Le final est convenu, oui... Mais très drôle !

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Parasite est un drame familial comme il en existe tant. Mais c'est tout l'humour et le dysfonctionnement de cette famille qui fait qu'on regarde le film jusqu'au bout, avide de savoir quand la supercherie sera révélée.

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Le pitch est simple : une famille dysfonctionnelle au possible se réunit à la mort du père de famille. Prétexte à enchainer les situations cocasses, le film n'évite évidemment pas les clichés mais se laisse regarder avec plaisir, notamment grâce à un casting plutôt sympathique.

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Un film d'arnaque assez classique dans le fond, qui joue plus sur la plastique de ses acteurs principaux (et surtout sur celle de Margot Robbie) que sur l'écriture de son scénario. Sympathique, mais on a clairement vu mieux.

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Une histoire mignonne doublée d'une réalisation et d'une bande son évidemment superbes. Pourtant, difficile d'être complètement happé dans le film, la faute sans doute à un rythme un peu saccadé.

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Une comédie qui se veut satyre des banlieues tranquilles des États-Unis mais qui manque son propos à cause d'un humour lourd et d'acteurs clairement à côté de leurs pompes.

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Si le pitch du couple de quarantenaires qui retrouve une seconde jeunesse en s’acoquinant avec un couple d'une vingtaine d'années était sympa et prétexte à plein de situations ubuesques, le film prend finalement une autre direction et perd son spectateur dans un ennui profond.

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Le film réussit l'exploit d'être très juste sur certains passages et personnages et complètement, mais complètement à côté de la plaque sur d'autres... Ballot.

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Cette suite reste agréable à suivre mais manque clairement d'un scénario d'envergure et de grands moments pour égaler son ainé. Pire, certains passages sont même carrément kitsch...

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Un film déroutant qui se présente d'abord comme une comédie passée au vitriole (rien qu'avec Rebel Wilson au casting...) mais qui se tourne très vite vers un drame à vous tirer la larmichette. Malgré ce manque de consistance, Jojo Rabbit est bourré de qualités (notamment ses acteurs) et traite d'une manière peu commune un épisode de l'histoire maintes et maintes fois vu au cinéma.

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Ce qui apparait comme une comédie romantique des plus classique trouve toutefois un intérêt dans sa fin et dans le traitement de certains de ses personnages. Cela dit, il faudra composer avec une musique qui reste en tête pendant des jours, et des jours...

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Avec un univers dystopique qui fait tantôt penser à Battle Royale, tantôt à Death Note, Ikigami aurait pu traiter son sujet avec plus de passion, mais préfère s'attarder sur des histoires annexes au point d'en perdre son récit principal. Résultat, un film d'une lenteur extrême et qui ne fait qu'effleurer son propos.

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Ophelia a quelque chose de terriblement envoutant, que ça soit grâce à sa mise en scène, ses actrices ou encore sa musique. Il s'en dégage une histoire mystérieuse et passionnante, dont on pourrait penser déjà connaitre la fin, au parfum de surprise et de réécriture féministe.

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Si le fils du maître Miyazaki a définitivement appris du meilleur côté animation, il n'a malheureusement pas le génie de son père pour le scénario. Décousu, sans but, doublé de personnages au mieux oubliables et au pire carrément énervants, les Contes de Terremer ennuie profondément et manque de magie du début à la fin.

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Malgré la présence de bonnes actrices au casting (Saorise Ronan, Emma Watson, Laura Dern...) cette énième adaptation des 4 filles du Docteur March n'apporte rien de nouveau à une histoire déjà bien trop connue.

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Si, côté scénario, on fait un peu mieux que Suicide Squad, c'est surtout dans ses scènes d'action que Birds of Prey se démarque, malgré une "inspiration" évidente de Deadpool. Le casting est globalement oubliable, mais Margot Robbie livre encore une fois une interprétation d'Harley Quinn tout bonnement géniale et jouissive.

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Une grande partie de Cluedo qui rate carrément le coche, la faute à une intrigue mal fichue, aux ficelles énormes et sans grandes surprises et à des personnages clichés et tous complètement sous exploités. Une grosse déception pour un film qui aurait franchement pu faire mieux.

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Un film à la réalisation léchée, qui joue habilement des couleurs (ou de leur absence) et de la multiplication des plans, mais qui reste clairement réservé à des passionnés tant son scénario, un brin éclaté et très violent, pourra rebuter le spectateur lambda.

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Une belle interprétation malheureusement peu mise en valeur par un scénario qui abandonne (littéralement) l'intérêt de son propos en milieu de parcours.

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Bombhsell a pour lui un casting bien choisi et un thème de société. Malheureusement, il jongle avec sans grand éclat, et c'est finalement la partie inventée, et non celle basée sur des faits réels, qui s'en sort le mieux. Un comble.

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Un énième film "pour adolescents", doté d'un scénario qui a au moins le mérite d'être original mais qui évite presque totalement les questions éthiques qu'il pose. Au final, un malaise s'installe et persiste et même la fin ne parvient pas à changer cet état de fait.

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Adaptation du roman éponyme, Tous Nos Jours Parfaits s'inscrit dans le film pour adolescents classique mais a pour lui un choix judicieux des acteurs principaux, notamment pour Elle Fanning qui livre une interprétation très juste de son personnage.

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Ce qui démarre comme un teen-movie très feel-good et coloré vire brutalement au film de guerre, presque sans transition, et offre une histoire qui interroge énormément sur notre société si elle devait sombrer dans une nouvelle guerre mondiale aussi rapidement. Entre une réalisation superbe et une Saoirse Ronan qui livre une de ses plus belles performances, How I Live Now est un film qui questionne et reste en tête même après la fin.

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Un thème intéressant et qui utilise avec intelligence la grammaire du jeu vidéo : PNJ, intelligence artificielle, quêtes annexes, game over etc... Malheureusement, malgré une fin brillante, le reste du film est globalement confus, inutilement sale et malsain, et servi par des acteurs tous plus mauvais les uns que les autres.