Films reçus avec Mad Movies

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Le film fait référence à la gestion de Fukushima par le gouvernement japonais, mais le voir après la pandémie de covid 19 rend le propos encore plus fort. Ironique sans être cynique, son humour ne se met jamais en travers de ses impressionantes scènes de monstre !

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Les histoires de types qui passent une journée de merde qui n'en finit pas, et qui finissent par craquer, il y en a des tas. Mais je doute qu'aucune soit aussi énervé et méchante que Run & Kill.

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Des soldats à l'accent écossais contre des loups-garou: que demander de plus ?

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Fantaisie à l'imagination débordante et frénétique qui marque les esprits par ses hybrides araignées / têtes humaines. Certaines images fortes font froids dans les dos, comme ce visage de jeune fille en train de chanter qui se détache sur fond noir.

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Le film vaut le détour pour son flash back d'horreur pure qui nous montre une séance de torture dans un vaisseau spatial. Le reste est surtout fait de promesses vaines (le soi-disant doute quant à l'histoire que raconte les héros, qui finalement ne cache aucune ambiguïté), porté par une performance touchante de Robert Patrick.

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Une expérience, à voir au moins une fois. Néanmoins, je ne peux m'empêcher de me demander sur sa place n'est pas plutôt dans un musée d'art contemporain que dans un cinéma.

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La séquence revenge est particulièrement réussie, avec ce personnage qui détruit ses bourreaux par où ils ont péché. On n'évite évidemment pas les écueils voyeuristes du genre, mais au moins l'héroine à la fin du film est pleinement en possession de ses moyens.

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Cronenberg raconte que des producteurs lui avait demandé de faire de ses jumeaux des avocats plutôt que des gynécologues. Il leur aurait répondu que s'ils demandaient cela, c'est qu'ils n'avaient rien compris au projet. Après l'avoir vu, je ne peux m'empêcher de me demander si la seule raison d'en faire des gynécologues était de choquer le bourgeois et pouvoir raconter cette (par ailleurs excellente) anecdote de production. Car le sujet, qui change 2-3 fois dans le film n'est absolument pas traité. Il reste la performance surprenament retenue de Jeremy Irons et la mise en scène élégante.

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Une mise en scène sans queue ni tête, dans laquelle une nounou est clairement filmée comme étant a minima complice du monstre... avant de finir comme une vulgaire victime de plus de celui-ci. Il reste au moins le dernier quart d'heure dans la cave qui fait preuve d'un très bon suspense!

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Le film est un prétexte. Un prétexte pour étaler l'impressionante collection de squelettes et de cadavres créés spécialement pour l'occasion pendant le dernier quart d'heure.

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J'aime bien quand les slashers présentent des victimes sympathiques et qui ne se comportent pas comme des pestes entre elles. C'est le cas de ce film. Il reste néanmoins un peu ennuyeux. Quand la plupart des meurtres sont accomplis avec un petit rateau à main de jardinage, la raison n'est pas à chercher bien loin.