Films se déroulant en Jordanie

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Le tournage débute le 15 mai 1961 en Jordanie. Peter O'Toole s'y trouvait depuis un mois, le temps d'apprendre à monter un chameau et à s'habituer à la température locale.

Les séquences de désert sont filmées à Almeria en Espagne mais aussi en Jordanie, le roi Hussein ayant mis à disposition l'armée jordanienne pour les plans avec de nombreux figurants. Ainsi environ 10 minutes de scènes (les finales) sont tournées notamment à Wadi Rum, à proximité des rochers des Piliers de la sagesse pour à peu près 20 % du film.

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La Free zone est un endroit réel, à cheval entre l'Irak, la Syrie, la Jordanie et l'Arabaie Saoudite, c'est un lieu de paix totale, sans douanes ni taxes.

"C'est la première fois qu'un film israëlien est tourné en Jordanie avec la coopération de la Commission royale du cinéma...", explique le réalisateur israëlien politiquement engagé Amos Gitaï. "Je pense que le tournage de ce film est un bon exemple de la façon dont on peut franchir des frontières politiques".

Amos Gitaï raconte la démarche de Natalie Portman : "Natalie m'a écrit des lettres, envoyé des mails, en me disant qu'elle était très intéressée par sa quête d'identité. Elle est née à Jérusalem d'un père israélien et d'une mère américaine. Je crois qu'elle a toujours cherché à voir le pays de son père, le pays de sa naissance. Elle a donc voulu participer à mon projet (...)"
Natalie Portman, Hanna Laslo et Hiam Abbass se disputent trois langues dans le nouveau film d'Amos Gitaï : l'anglais, l'arabe et l'hébreu. Ces langues "contribue à cette texture hybride qui est la matière de départ du film" précise le réalisateur Amos Gitaï .

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Mensonges d'Etat est adapté du roman éponyme (Body of Lies) du journaliste du Washington Post David Ignatius , publié en 2007 et salué pour sa description des méthodes des services d'espionnage américains... Il raconte la traque l'un des leaders d'Al-Qaïda, Al-Saleem.