Films visionnés en 2022

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Date de visionnage : 4 janvier
En salle (VO)

Et bah c'était pas si mal, je sens que je l'aurai oublié très vite mais sinon il y a des bonnes choses (parmi d'autres plus mauvaises).
Si on oublie la réalisation un peu plate et les combats pas foufous, c'est un épilogue intéressant à la franchise, qui met avant tout l'accent sur l'histoire d'amour entre Neo et Trinity tout en glissant plus ou moins ses sujets politiques qui fonctionnent très bien dans le contexte de la matrice. Peut-être un peu trop de clins d'œil et de flashbacks à la trilogie originale mais ça reste une suite correcte, et plus appréciable que les 2 autres.
Un bon moment pour les fans sans être mémorable.

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Date de visionnage : 8 janvier
En Blu-Ray (VO)

J'avais très envie de voir ce film au ciné et n'avait finalement pas pu y aller faute de distribution assez conséquente dans les plus petites villes et je le regrette d'autant plus maintenant que je l'ai vu, le son du film étant si incroyable qu'il mérite d'être vu/entendu en salle.
Mais c'est pas seulement ça, le film est ultra touchant et parle de la surdité dans son ensemble de manière ultra intelligente, tente d'immerger le spectateur dans ce que ça peut être de vivre avec ce handicap qui n'en est même pas un pour les gens concernés. Tout ça sur le fond d'une histoire d'amour vraiment émouvante, de problèmes d'addiction et de la reconstruction d'un homme qui a perdu la seule chose qui comptait dans sa vie.
Le film m'a beaucoup touché en tant que musicien car je ne peux m'imaginer ce que ça me ferait si du jour au lendemain je n'entendais quasiment plus rien. En ça, le film sensibilise aussi à se protéger les oreilles.
Un bon rythme, une très bonne gestion du silence, le film nous fait respirer, nous fait prendre conscience de ce que c'est d'être heureux, de se sentir utile, humain, le film est humain et les acteurs et actrices portent quelque chose aussi de profondément humain, alors ça fait franchement du bien.
Excellent.

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Date de visionnage : 9 janvier
Sur Netflix, à l'heure de l'apéro, avec des potes

Bon on s'y attendait mais c'est vraiment pas bien du tout. Le film foire tous ses registres d'humour, de l'absurde pour de l'absurde vu et revu, des clichés racistes que n'aurait pas renié Michel Leeb, des jeux de mots vaseux qui auraient simplement pu tenir en un tweet plutôt que dans un film...
Les quelques rares bons gags sont gâchés par un montage et un rythme qui ne laissent pas le temps à la blague de respirer ou bien trainent trop en longueur et on s'en lasse très rapidement.
On passera sur la galerie de personnages insipides en tout point et sur déroulement de l'histoire qui est totalement au second plan de l'histoire, le film essaye de faire du Nuls sans en avoir compris les codes.
Ce qui sauve un tout petit peu le film c'est Éric Judor qui a un pouvoir comique très fort dès lors qu'il est dans la gêne et l'absence d'aisance.
Bref, une grosse purge, marrant pour se plaindre de sa qualité entre amis, beaucoup moins en tant que produit.

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Date de visionnage : 10 janvier
En salle (VO)

Je
Euh
Qu'est ce que le film essaye de nous dire
Mmh
Je suis confus
Ça part dans tous les sens
Tout le monde est horny as fuck
Apparemment c'est ok une histoire d'amour entre une meuf de 25 ans et un gars de 15
Bon j'ai pas trop aimé quoi
Évidemment que ça a pour volonté de dépeindre les années 70, le showbiz et l'entreprenariat si aisés à l'époque, de montrer aussi ce que devaient endurer les femmes pour "réussir" et comment des vieux mecs manipulaient des jeunes femmes. Mais bon c'était long quoi.
Et puis 15 et 25 ans quoi pourquoi ces âges là.

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Date de visionnage : 13 janvier
Sur Netflix (VO)

Rohlalala, au secours
Commençons par les quelques points positifs
Déjà, y a Jason Momoa et on va pas se mentir y a pire à regarder
Ensuite, il y a quelques rares fulgurances de réalisation et le film est très coloré, chose assez rare dans les films de super-héros, ce qui fait qu'il y a quand même quelques plans sympas voire même parfois très jolis

Voilà
Et les points négatifs bah c'est tout le reste.
C'est fou comme avec le DCEU Warner arrive à produire des nanars à gros budget. Ce film contient tous les plus gros clichés imaginables de films d'actions du genre, des personnages mous évoluant dans un univers inintéressant, des costumes rigides ridicules tout droit sortis des meilleurs épisodes de Power Rangers, de l'humour lourdingue, une romance foutue à la va vite, bref y a vraiment rien qui va.
Le pire restant les incrustations fonds vert qui sont ratées comme je l'ai rarement vu, et en même temps les décors même terrestres sont tellement irréels que je vois mal comment ça pourrait marcher. En fait le film serait vraiment hyper beau si c'était un film d'animation ou bien un jeu sous Unreal Engine 5, mais non là c'est bien un film en live-action et des fois on a juste l'impression qu'on a collé le visage des acteurs sur des bouillies de 3D qui ont certes du demander beaucoup de travail mais qui ne rendent pas bien du tout et nous sort totalement du film.
Il y a en plus pas mal d'effets spéciaux pas terribles du tout, comme le rajeunissement de Willem Dafoe qui est super uncanny et certains mouvements dans les bastons qui sont au mieux comiques.

Une nouvelle bonne bouse de la franchise qui décidément les collectionne. Mais au moins y a Pitbull qui reprend Africa et ça c'est quand même un grand moment.

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Date de visionnage : 18 janvier
Sur Netflix (VO)

Comédie musicale assez touchante, je ne connaissais pas du tout Jonathan Larson mais le film parvient à nous y intéresser sans mal, les sujets abordés sont cools, les numéros musicaux pas trop mal et Andrew Garfield est assez excellent !
On regrette que ça manque parfois un petit peu de subtilité quand même, mais c'est souvent le cas dans les comédies musicales, encore plus quand c'est des adaptations. Sympathique.

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Date de visionnage : 19 janvier
En salle (VO)

Alors oui, on a peut-être déjà vu Del Toro faire plus original visuellement, mais Nightmare Alley reste un très bon film du réalisateur. Si le début mets un peu de temps à se mettre en place, c'est pour mieux décoller plus tard; sans trop en dire sur son personnage principal, le film parvient à le développer sous nos yeux et à le faire passer pour un héros. Non seulement c'est bien écrit et bien joué, mais en plus la réal de Guillermo fait toujours mouche, sans être trop tape à l'œil c'est ultra efficace et la patte est bien reconnaissable.
J'ai vraiment bien aimé !

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Date de visionnage : 29 janvier
Sur Netflix (VO)
Dans le cadre du FIICLIDMA (Festival International de l'Isolement Covid Localisé Intégralement Dans Mon Appartement)

Hop le petit Covid-19 et l'isolement d'une semaine, bon on en profite pour rattraper quelques films un peu au pif, en commençant par la saga des Ocean's.
Ce premier opus est un très chouette film de braquage, sublimé par la réal et le montage supervisés par Soderbergh, il y a tout ce qu'on pourrait attendre de ce genre de film, tout se passe bien, il y a des petits turnover à la fin bref c'est top et la galerie de personnages est vraiment très très sympa, servie par un casting assez ouf.
On regrette quand même que le seul vrai personnage féminin du film n'ait pas un rôle plus fort que ça et se laisse manipuler par tout le monde sans effort. Personnage un peu mieux réhabilité dans le 2 heureusement.

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Date de visionnage : 29 janvier
Sur Netflix (VO)
Dans le cadre du FIICLIDMA (Festival International de l'Isolement Covid Localisé Intégralement Dans Mon Appartement)

Deuxième opus assez différent; si le premier épisode avait quelques bonnes vannes, ici on est nettement plus axé sur l'aspect comédie que sur le reste. Le tout en pâtit sérieusement d'ailleurs même si on rigole bien à quelques bonnes idées; un rythme bien moins satisfaisant, un scénario confus à la résolution faiblarde, bref on se demande un petit peu où on a avancé à la fin de tout ça mais ça reste un bon moment.

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Date de visionnage : 29 janvier
Sur Netflix (VO)
Dans le cadre du FIICLIDMA (Festival International de l'Isolement Covid Localisé Intégralement Dans Mon Appartement)

Ce dernier opus de la trilogie mélange habilement les forces de ses deux prédécesseurs pour en faire probablement le meilleur des 3 films. Réal et montage plus que jamais funs, personnages cools à suivre et plan mieux ficelé que jamais. Il y a des bonnes blagues et une bonne alchimie dans le cast, on échappe pas à un humour parfois un peu gras mais dans l'ensemble c'était vraiment un bon moment.

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Date de visionnage : 30 janvier
Sur Netflix (VO)
Dans le cadre du FIICLIDMA (Festival International de l'Isolement Covid Localisé Intégralement Dans Mon Appartement)

Une comédie romantique hyper classique et pleine de clichés du genre, deux gens s'aiment mais OH NON elle n'arrive pas à trouver sa place dans sa famille à lui. Leur amour pourra-t-il survivre à ça ??? (oui, évidemment que oui)
La différence, elle est dans le titre, un cast entièrement asiatique et majoritairement asio-américain, chose très rare pour un film américain, ce qui en justifie à lui seul l'existence. Et ça permet aussi de parler de la difficulté parfois d'être à la fois américain et asiatique, entre "bien s'intégrer" et garder ses traditions familiales.
Ah et les gens sont pétés de thunes aussi c'est l'occasion de montrer aux gens pleins de trucs auxquels ils auront jamais accès (les gens adorent ça).
Un bon divertissement même si tout est hyper attendu, les personnages sont suffisamment attachants (j'aime de plus en plus Awkwafina) et c'est pas trop mal filmé. Faut s'attendre à rien, passer un bon moment et on peut vite oublier le film après.
Attention par contre ça donne super faim, y a pleins de plans de bouffe qui a l'air délicieuse.

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Date de visionnage : 31 janvier
Sur Netflix (VO)
Dans le cadre du FIICLIDMA (Festival International de l'Isolement Covid Localisé Intégralement Dans Mon Appartement)

Ce film était-il nécessaire ? Bof
Mais on pouvait s'attendre à pire, le plus gros problème réside dans sa mécompréhension de la trilogie originale, tant dans sa réal qui a jeté toute subtilité pour en faire un montage 1000 fois trop dynamique que dans les liens scénaristiques avec celle-ci (la sœur de Danny Ocean ? Sérieusement ?).
Les personnages sont moins nombreux et paradoxalement moins attachants mais le casting est super cool et bien choisi (j'adore Awkwafina encore une fois) (pourquoi Rihanna par contre ça c'est une grande question).
Très vite oubliable sans être trop un mauvais moment, ça se laisse regarder.

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Date de visionnage : 1er février
Sur Netflix (VO)
Dans le cadre du FIICLIDMA (Festival International de l'Isolement Covid Localisé Intégralement Dans Mon Appartement)

Tombé là-dessus entièrement par hasard en tirant un film et bien au hasard, j'étais intrigué par le synopsis et j'ai plutôt apprécié. Le film est une satire politique sur la corruption des médias par les hommes de pouvoir et les gros problèmes démocratiques que ça engendre.
Ça y va pas par 4 chemins, c'est ultra cynique, plein d'humour noir et on sent un ras-le-bol du réalisateur qui y va avec de gros gros sabots mais ça fonctionne plutôt pas mal et ça laisse plutôt bien réfléchir sur la situation mexicaine.
On imagine facilement ce film montré en classe d'espagnol mdr mais c'était une bonne surprise et les acteurs sont très doués, il y aura quelques têtes connues d'ailleurs si vous avez regardé Narcos et Better Call Saul.

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Date de visionnage : 2 février
Sur Netflix (VO)
Dans le cadre du FIICLIDMA (Festival International de l'Isolement Covid Localisé Intégralement Dans Mon Appartement)

Je ne savais pas trop à quoi m'attendre et j'ai donc été un peu décontenancé; n'imaginez pas une comédie musicale à la Broadway, ici on a aucune chanson mais plutôt des dialogues chantés tout le long sur une bande-son qui ne s'arrête jamais.
Passé la surprise, on s'y fait pas mal et le film est une sympathique fable de romantisme, saupoudrée d'une thématique anti-guerre peu prononcée mais malgré tout présente.
Le plus impressionnant dans tout ça reste la palette de couleurs utilisées; le film est plein de couleurs très équivoques, tous les décors et habillages sont méticuleusement pensés et ça en fait un film très beau et très explicit visuellement, j'adore ça !
Si vous avez vu La La Land vous reconnaîtrez sans mal les hommages à ce film là, ça se voit que c'était une des aspirations principales.
Bref un classique français, loin d'être parfait et très "à l'ancienne" mais un petit morceau d'histoire cinématographique de chez nous qui s'est bien exporté.

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Date de visionnage : 7 février
Sur Netflix (VO)

Random film pour enfants des années 2000 avec des effets spéciaux ridicules, de l'humour vieillissant et un scénario qui balance toutes les étapes de films familiaux très rapidement comme si il savait qu'on savait déjà ce qui allait se passer. On sent un peu l'inspiration Spy Kids avec les enfants qui doivent sauver le monde et leur famille mais wow tout fait si cheap, il y a deux lieux de tournages et les pouvoirs sont... pas vraiment impressionnants. J'ai bien rigolé en le regardant quand même, le film a fait un gros four au box-office, et franchement c'est à juste titre.
Je ne conseille à personnes de le regarder mais j'ai déjà vécu pire moment devant un mauvais film.

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Date de visionnage : 13 février
Sur Netflix (VO)

Film taïwanais bien trop oublié du catalogue Netflix (c'est une de leur production originale pourtant), je suis tombé dessus par hasard et c'est une petite pépite vraiment pas mal foutue ! Un drame tout ce qu'il y a de plus dramatique, on est malmené émotionnellement pendant 2h30 (certes un poil long) et en même temps le film contrebalance parfois avec de l'humour assez noir, comme pour soulever l'absurdité de tout ce qui ne va pas avec cette famille que l'on suit.
J'ai été vraiment très marqué par la photographie de ce film et les très belles couleurs, le film est un régal à regarder sur ce point, et pour tout le reste la succession d'événements nous suffit à être happé par le long-métrage.
Je recommande, c'est bien trop méconnu

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Date de visionnage : 14 février
Sur Netflix (VO)

Film palestinien hautement politique (il pouvait difficilement en être autrement), c'est sur ce point très intéressant, on a un point de vue de ce que peuvent ressentir les palestiniens de la situation autour de leur pays. J'ai un peu moins accroché au reste des aventures des personnages, qui semblent avant tout être un support pour ces opinions; ce qui, oui, est logique mais aurait pu être un peu mieux amené selon moi. La réalisation rend aussi le film parfois compliqué à regarder, beaucoup de caméra à l'épaule tremblante, beaucoup de coupes dans le montage qui nous perdent un peu dans la temporalité...
Film intéressant par son sujet mais peut-être moins dans l'exécution.

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Date de visionnage : 16 février
En salle

Un bon best-of de ce qu'on aime du Palmashow; des personnages atypiques et instantanément drôles, de la parodie maîtrisée, des gags absurdes... J'ai vraiment bien aimé, on rigole bien pendant ce film et le format long-métrage réussit pas mal (quoique le rythme semble un peu étrange par moment, l'impression qu'il a été pas mal remonté). Il y a un petit côté web qui persiste dans la façon de faire, et ce n'est pas pour me déplaire tant ça apporte un vent de fraîcheur à la comédie au cinéma. Plutôt une réussite !

(Et la musique, banger absolu)

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Date de visionnage : 20 février
Sur C8 (je hais les pubs)

Considéré comme un classique, je ne savais pas vraiment où je m'embarquais en regardant ce film et j'ai été très agréablement surpris. Comédie absurde tout en étant parfaitement nonchalante, Buffet froid déroute du début à la fin, entre le vide complet de ses environnements, les réactions toujours incohérentes de ses personnages qui eux parlent toujours de façon ultra monotone et ne sont jamais choqués de tout ce qui se passe. La construction même du film, le manque de repères temporels (il fait nuit pendant les 3 bons quarts du film) et les lieux oppressants font qu'on a vraiment l'impression de regarder un cauchemar étrange et en même temps c'est assez drôle tellement on ne s'attend jamais à ce qu'il va se passer.
L'absurde et le surréalisme avaient déjà leur place en France dans les années 70 et on en voit encore les héritages aujourd'hui.

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Date de visionnage : 20 février
En Blu-Ray 4K (VO)

Suggérer une relation au cinéma sans ne jamais véritablement la montrer, c'est un art à part entière et In the Mood for Love en est une des œuvres les plus réussies, pour sûr. Plans de caméra astucieux, dialogues bien trouvés faisant la part belle aux jeux de rôles et photographies malgré tout assez sensuelle, le film de Wong-Kar Wai est vraiment un exemple.
Malheureusement j'ai eu pas mal de mal à rentrer dedans et à m'accrocher, peut-être que je trouve que les persos stagnent un peu trop, manquent de personnalité... Et j'ai eu du mal à voir où le film nous emmenait par moment, quelle était la véritable finalité de tout ça

Et pourtant je le recommande volontiers, je comprends tout à fait pourquoi le film est assez culte parmi les cinéphiles, juste c'est pas trop pour moi quoi.

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Date de visionnage : 21 février
Sur Netflix

Vraiment pas mal ce film ! Ça fait graaaave du bien de voir un film de ce genre dans le cinéma français, le film est techniquement très réussi, que ce soit dans sa photographie, son sound design ou encore son montage. Un thriller de sous-marin avec de la tension vraiment bien gérée qui aurait tout de même pu bénéficier d'à peine plus de développement pour ses personnages ou ses enjeux (j'en ai vu des histoires d'amour qui servaient à rien dans un film mais alors là c'est vraiment du haut niveau). À part ça un super casting très bien dirigé, François Civil en nerd audiophile (décidément après Boîte Noire on peut dire que Pierre Niney et lui se retrouvent toujours dans des rôles très similaires) et Omar Sy en capitaine qui prend son équipage à cœur en tête.

On en veut plus des comme ça !

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Date de visionnage : 6 mars
En salle (VO)

Un nouveau Batman qui a une sacrée patte et qui est plus axé film d'enquête, ce qui lui empêche du coup pas mal d'être juste "un Batman de plus" et lui évite les comparaisons faciles. Les acteurs sont bons, l'atmosphère ultra lourde, les couleurs rouge et noires complètent la noirceur de ce métrage à merveille; et de manière générale la réal a des vraies bonnes idées - même si elle rend certaines scènes d'action un peu confuses.
Le film est un vrai bon voyage, on lui reprochera tout de même sa longueur qui semble quand même assez dispensable, car on aurait pu se passer de certaines choses selon moi.
Loin d'être parfait en tout point, ça reste un super film pour les fans du personnage !

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Date de visionnage : 7 mars
Sur Disney+ (VO)

Wow j'ai vraiment beaucoup aimé ! Shyamalan réalise un des films de superhéros les plus singuliers et le fait fichtrement bien. Au niveau de l'image on se régale, c'est hyper stylisé et plein de symboliques partout, le duo Willis/Jackson est toujours autant une régalade et le twist de fin, s'il n'est pas incroyablement surprenant, pose quand même pas mal de questions. Vraiment super, je comprends pas ce qui est arrivé à Shyamalan dans les années qui suivent.

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Date de visionnage : 16 mars
Sur Disney+ (VO)

Oui et bien j'ai adoré voilà. Du grand Pixar, je suis tombé amoureux du film au bout de 2 minutes et il m'a plus jamais laissé tomber. Ils se sont encore surpassés sur l'animation, qui ici en plus est souvent au service des gags, qui sont nombreux par ailleurs, j'ai vraiment beaucoup ri. L'histoire est giga touchante grâce aux personnages hauts en couleur (et au fait que ça soit un GROS PANDA TOUT DOUX) et comme d'habitude les sujets sont hyper bien abordés et offrent différents niveaux de lecture accessibles à toute la famille.

Studio d'animation exceptionnel ça change pas, ça serait juste bien que Disney le respecte un peu plus en sortant les films au cinéma et en laissant plus de liberté créative (notamment sur la représentation LGBT).

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Date de visionnage : 20 mars
Sur Netflix (VO)

Documentaire sur un sujet hyper intéressant, une famille qui veut cryogéniser sa petite fille qui a malheureusement été vaincu par un cancer au cerveau à ses 2 ans. Le film montre pas mal l'abnégation (ou le déni ?) de cette famille de scientifiques qui mise tout sur l'avenir et le développement des sciences et de la technologie pour ramener sa fille dans le futur.
Le documentaire n'est pas très long mais malgré tout on regrette qu'il soit un petit peu "figé" dans le temps - une fois le postulat posé on ne parle beaucoup d'autre chose au final. C'est surtout intéressant de voir à quel point le père est résolu et parvient à emmener sa famille avec lui, même si on sent le doute s'installer chez le fils.
À regarder si vous voulez regarder un film court et que le sujet vous intéresse.

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Date de visionnage : 21 mars
Sur Disney+ (VO)
Je crois que j'avais déjà vu des morceaux vers mes 10 ans quand c'était passé à la télé bon

Bah j'ai plutôt bien aimé ! Alors oui y a plusieurs trucs très cons, des incohérences et même des personnages stupides et le film accuse le poids des années - autant dans ses manières de filmer, son plan d'ouverture en 3D folle, son méchant qui est très méchant mais c'est parce que les gens qu'on croit qui sont gentils en fait ils ont une part de méchant en eux (à savoir qu'il met au même pied d'égalité un pédophile et un mec qui dragouille une autre meuf que sa femme sans qu'il se soit jamais rien passé entre eux) mais aussi et surtout dans son concept même (le monologue d'ouverture dit vraiment "euh les cabines téléphoniques disparaissent petit à petit à cause des téléphones portables ces trucs de riches").
Mais à part ça je trouve que le film a une façon de faire intéressante, un quasi huit clos dans une cabine téléphonique qui est de ce fait un film à petit budget (13 millions de $ soit guère que Bienvenue chez les Chtis à titre de comparaison) et arrive tout de même à créer des vrais moments de tension. Colin Farrell est vraiment bon, arrivant à vraiment transformer son personnage tout au long de l'échange téléphonique et en plus le long-métrage est relativement court (1h20) et donc le soufflé n'a pas le temps de retomber. La fin est un peu attendue et manque d'effet et la morale s'il y en a vraiment une est vraiment étrange.
Mais j'ai trouvé ça cool voilà je pense que Schumacher a fait bien pire.

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Date de visionnage : 23 mars
Sur Netflix (VO)

Si Drive et Phone Game avait un enfant et qu'il était particulièrement chiant et bien ce serait Wheelman finalement. Il se passe rien du tout, le concept de centrer la caméra sur la voiture tout le long pourquoi pas mais on peut pas dire qu'on filme grand chose d'intéressant ici. On dirait que les dialogues ont été écrits par un ado de 14 ans, que des gens énervés qui disent fuck tous les 3 mots, un acteur principal qui ne donne rien, une histoire dont on se branle totalement et une histoire qui part dans tous les sens en se croyant très malin mais juste on capte rien à qui c'est tes méchants en fait mon pote et on s'en fout. Comme son parent Phone Game ça dure seulement 1h20 et tant mieux parce que j'en pouvais plus. C'était juste insupportable à regarder.

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Date de visionnage : 27 mars
Sur France.tv (VO)

Vive le cinéma coréen, Bong Joon-Ho est bien entendu incroyable et réalise superbement ce film d'enquête. Y a des images marquantes à la pelle, l'histoire met un peu de temps à démarrer mais on se rend compte petit à petit de l'importance de tous les détails et les personnages sont très fouillés, réussissant à les rendre intéressants sans qu'il n'y ai aucun de vraiment aimable. Si vous avez aimer Parasite, je le conseille fortement - c'est très différent et le rythme est un peu plus lent mais on retrouve quand même pas mal des mêmes éléments qui fonctionnent.
Trop cool.

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Date de visionnage : 28 mars
Sur Netflix (VO)

Au début pas très inspiré par la production téléfilm (à vrai dire je viens d'apprendre en allant sur la fiche que c'est effectivement un téléfilm mdr), ce film italien m'a au final vraiment pris par surprise. L'histoire est très touchante et les acteurs sont très bons et les personnages assez follement humains. On est donc rapidement en immersion au cœur de cette famille qui vit un drame conséquent; car ce film qui pourrait passer pour un film du mercredi soir à la télé publique profite quand même pas mal de sa portée pour passer un message extrêmement important sur les féminicides, les terribles conséquences d'un mari violent sur toute une famille et surtout l'inaction de l'état et des forces de l'ordre.
Un film engagé mais accessible donc, qui m'a bien plus pris au dépourvu que ce que je pensais.

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Date de visionnage : 31 mars
Sur Disney+ (VO)

Bah j'ai vraiment trouvé ça chiant comme la mort. Ça a vraiment beaucoup vieilli, alors certes ça a parfois son charme mais dans l'ensemble je trouve ça quand même assez irregardable, et ce n'est pas non plus l'histoire qui aide à s'immerger dedans vu que c'est globalement du charabia informatique de personnes qui n'ont jamais fait de l'informatique (et où en plus on parle d'informatique de 1982).
Alors oui pour l'époque ça devait être giga novateur, la 3D devait être assez folle, et il y a quelques moments assez culte mais j'ai vraiment pas réussi à rentrer dedans.
J'essaierai de regarder L'Héritage mais j'ai peur que ça soit encore pire.