Films vu en 2022

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commencer par ça ne peux que bien se passer

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Masterclass, polar simple mais qui ne cesse pas de renouvelle chaque de ses mécanismes et de nous plonger dans une ambiance de plus en plus énigmatique.
On se plonge avec plaisir dans ce coma ou chaque personnage regarde ailleurs, nulle part peut être, et en dégustant cette mise en scène et image nouvelle

Je pense que ça va se bonifier a chaque visionnage, je vais me farcir les écrits/conférence de thoret sur le sujet

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Re-visionnage
2h30 truc le machin, j'ai ronflé igo

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Beauté et mise en scène évidemment bonne en plus d’être assez créative

Dommage si c'est pour montrer une fausse complexité qui rends le tout assez vide. Encore plus dommage quand les personnages sont des caricatures insipides ( à savoir le joker et un emo balaise même sans muscle )

ps : " tarantinesque " , d'où ? Heureusement que c'est le cas que le début, avec cette intro qui est le pire moment du film

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en vrai des barres cette merde

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Exercice sympathique de la part d'evans, improvisé et filmé en trois jours

Une pointe de contexte pour mieux aider à renforcer l'ambiance du court n'aurait pas été refus, tout le reste est relativement correcte

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Dinguerie, park chan wook toujours aussi fort

Travail d'orfèvre tout du long, il a jamais été autant en forme

Première partie plus que belle puis twist vraiment bien amené, redécouverte et re cassage de nuque scénaristique

Gros gore et fin potache mais s’arrêtant pile pour être dans le haut du panier de celui ci, un mélange exquis

JSA et thirst restent au dessus dans mon coeur mais il est clair que mademoiselle est le chef d'oeuvre de parck chan wook

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Premier court métrage, juste avant " i am sono sion " , bien moins ambitieux que ce dernier, ici le réalisateur se met en scène lui meme.

Imagine terne, quelques plans qui marquent ( la jeune femme derrière ses barbelés , le miroir et le dentifrice, le joli cadrage du couloir avec l'objet qui tombe)

Tout le concept du réveil ainsi que sa boucle du son incessante aurait pu être mieux dosé cependant

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banger mamacita

Plus réfléchis qu'on le pense , les trois parties se suivent parfaitement. Les transitions entre elle sont magiques

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Aussi frais qu'un beau bébé , eastwood est revenu ultra fort avec son rythme toujours implacable, mise en scène toujours aussi classique mais parfaitement concus....

Le fait que le personnage est un héros mais qu'il colle au profil type , que le fbi se défoule a tout prix contre lui pour avoir une victime est plus qu'intéressant. Clint Eastwood a décidément beaucoup de considérations pour les victimes des médias

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Moi qui croyait que Lelouch était juste un réalisateur sympathique de son époque avec des oeuvres qui ont mal vieillis... c'est bien plus que ça ici

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Toujours inventif , psychédélique et bordélique comme toujours avec keiichi tanaami

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Comme le précédent mais vraiment bien maîtrisé, onirique et puissant

Y'a une réel bonne utilisation de la répétitivité et des couleurs

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Belle retranscription du métier de cow boy avec un certain réalisme, certaines scènes sont assez folles ( la scène où le bétail cavale est même grandiose)

Relecture assez surprenante concernant la fin entre les deux ( trois ? ) personnages

Un peu trop pantouflard pour le gamin décérébré que je suis mais c'est de la bonne

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Lecture d'un poème sur des êtres pouvant avoir trois sexes, dessiné par Bona

pas d'animation ( quelques mouvements par ci par là n'aurait pas été pas mal )
Puis on quitte les dessins aux crayons de couleurs pour voir la dessinatrice nourrir son animal et enfin signer son oeuvre

Bonne drogue

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Très loin d’être un de ses films les plus beaux, Nomad in the footsteps of Bruce Chatwin s'avère être un documentaire plus que touchant

On suis la vie de son ancien ami écrivain et aventurier, le film est découpé en plusieurs chapitres

chacun sur un détail, la vie et les voyages de chatwin
Ils peuvent autant être sur le caractère de ce dernier que de voyage très intéressant

leurs relations fraternelles est aussi importante voir plus que kinski/herzog

on peux donc autant s'intéresser sur la peau d'un smilodon trouvé par Chatwin enfant, que la fin de sa vie ou de ses longs voyages en Australie à la recherche des chants de la terre

le film arrive a la fois a être très concis sur sa vie, tout en laissant les intervenants/les lieux/ les sujets respirer et avoir eux aussi leur propres substances
bref le rythme parfait des derniers herzog ( un documentariste lambda aurait fait un film pour chaque sujet , lui arrive a dire plus en un seul sujet )

Annotation :

évidemment que le film est de bonne facture mais on tombe très vite dans une sorte de grossièreté rendant le tout assez vide

finalement que le premier tiers du film resteras diablement vénère, hélas

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Quelques réserves sur les dialogues, tout le reste est assez superbe et tragique

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fétichisme des objets comme toujours avec père Boro

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re-visionnage, j'aime encore plus qu'avant

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aucun dessin ne respire réellement mais on ne ressens pas non plus une accumulation d'idées, de dessins et de sensations

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mini banger mamacita

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oe ça commence pas mal mais ça part trop en couille zebi

C'est ridicule un peu a la fin, puis ptn comme toujours les personnes sont insupportable ( cliff tu m'énerve dès le début sale chacal, merité )

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okkkk

Annotation :

pas ouf, plus un reportage tv travaillé qu'un vrai documentaire : trop éparpillé, aucune vrai question soulevé ni de réponse

Finalement on passe de personnages à d'autres mais on rentre jamais vraiment dans le vif du sujet