Films vu en 2023

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Quel dommage de faire durer le film 20 - 30 minutes de trop après un plot twist qui m'aurait fait pardonner les longueurs présentes. Malheureusement cette continuité ne fait que les faire ressortir encore plus.

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Une bonne suite, le début dans le monde de Gwen est absolument bluffant et captivant, les personnages secondaires toujours aussi intéressants et un méchant, la tache, qui annonce du bon, mais le méchant spider-man, quelle platitude ... En espérant que cela s'arrange par la suite, car finalement ceci c'est n'est clairement qu'un demi film, et difficile de juger une introduction.

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Ken Loach fait du Ken Loach, c'est social, c'est touchant, c'est bien fait, mais on connait la formule désormais donc aucune vrai surprise dans le film

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Film social venant de Singapour, avec des longueurs mais qui a l'avantage de montrer un grand nombre des difficultés que peuvent rencontrer les immigré·es a Singapour sans que les personnages que l'on suivent les subissent toutes, ce qui rend le film moins intense mais aussi moins mélo-dramatique que ce que l'on peut voir chez Ken Loach, la (ma) référence du cinéma sociale, ce qui donne une identité intéressante au film. Premier film du real, je suis curieux de voir ce qu'il a fait depuis

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Le film est un peu long a démarrer, sans que ce soit vraiment problématique, et la fin compense assez fortement les potentielles longueurs par son intensité les questions qu'elles posent. Cependant la réalisatrice veut parler de trop de chose, les violences sur les enfants, les agressions sexuelles, l'homophobie et l'exploitation des immigré·es. Et malheureusement, les sujets ne rentrant pas dans l'intrigue paraissent vraiment en trop car ils n'apportent rien a l'intrigue et ne sont jamais suffisamment traité pour se suffire a eux-mêmes,

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Je ne connaissais (presque) rien a la vie d'Elton John et juste quelques musiques donc je ne pourrais absolument pas me prononcé sur la justesse du film (même si le fait que l'artiste soit producteur est assez rassurant) mais le film est un vrai plaisir a regarder et à écouter

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Je n'ai pas l'habitude des films de cette époque, surtout américain, et au début trois point marquent. Tout est légèrement surjoué, les dialoguent semblent trop écrit et la mise en scène parait banale. Mais avec le temps, le jeu devient prenant, les dialogues bien écrits et la mise en scène efficace. Les 2h18 sont passé sans même que je m'en rendent compte grâce a ce qui a été évoqué plus haut mais aussi grâce au scénario et a ses nombreux rebondissent, difficile d'imaginer la suite du film alors que lorsqu'elle arrive, elle devient la seule possibilité.

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Film ayant grandement inspiré Kore-eda, d’après lui-même. Et autant dire que cela se voit, le film parle de sujet sociaux et d'enfance, les deux sujets principaux de Kore-eda. Et bien je trouve que l'élève a dépassé le maitre, il manque la candeur du regard des enfants présente dans Nobody Knows. Le film n'est pas déplaisant à voir mais j'ai décroché plusieurs fois, et c'est beaucoup pour un film de 1h37.

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J'avais pas mal d’appréhension avant de voir ce film, étant donné que le réal et les thèmes sont globalement les mêmes que Suis-moi je te fuis, qui m'avait laissé de marbre. Et bien heureusement que ce ne m'a pas arrêté. Effectivement les thèmes sont semblables mais tellement mieux traité ici. Le film avance, et lorsqu'il semble ralentir, il fait exactement l'inverse, et prend de court. J'ai rarement été aussi content de ne presque rien savoir d'un fim avant de le voir.

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Trop difficile de parler d'un whodunit sans rien spoil, Les twists sont surprenant et bien amené, on comprend et on peut même prendre de la sympathie pour les différents personnage, petite déception sur la fin, mais elle est purement personnelle. Le jeu m'a beaucoup moins marqué que dans Eve, vu plus tôt. Est-ce car je me suis habitué ou car c'est un jeu différent, j'en sais rien.

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Le cinéma de Terry Gilliam me fait vraiment beaucoup rire, et celui la particulièrement, c'est dommage qu'il ai autant de mal à écrire des personnages féminins.

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C'est effectivement un gros égo trip, et j'aurais probablement préféré ne suivre qu'une des deux histoires mais plus intensément. Cependant la scène a Netflix et la scène ou il ruine le dernier plan d'un autre réal m'ont suffisamment fait rire pour compenser.

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Une question importante se pause maintenant que je regarde plus régulièrement des film anciens.
Comment considérer les films dont des éléments (ici la fin) ont été tant repris, répété si bien qu'ils paraissent maintenant cliché et qu'ils me sont quasiment impossible de réellement apprécier.

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j'ai passé une bonne partie du film à rire. Cependant il est plus probable que je riais du film qu'avec lui.

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Beaucoup de film on du mal a jauger entre drame sérieux et timing comique, et bien ce film montre qu'il n'y a pas besoin de choisir, que le comique peut tres bien etfe present sans dédramatiser le reste.

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J'aime beaucoup trop les voix off dans les films, quand elles sont bien utilisées, ici c'est le cas.
Dommage que l'a fin m'ai fait légèrement decrocher

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J'crois que globalement Carax pourrait faire n'importe quoi et j'apprécierais quand meme (on me dit dans l'oreillette que c'est déjà le cas)
Enfin une comédie musicale qui me convainc vraiment, meme si film chanté paraîtrait plus juste comme appellation.

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Et merde, j'ai suffisamment apprécié pour me dire que j'irai voir le prochain Scorsese.
Tu fais chier Martin

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Pour vraiment apprécier un film aussi beau que celui la, il faut être attaché a l'histoire, et sur les 2h30 je n'ai pas toujours été pris par l'intrigue.
Mais certains moments et plans sont tout bonnement magnifique

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Probablement le Nolan que j'ai le plus apprécié, il se complique pas la vie ni celle des spectateur·trices avec des temporalités complexes : il a même mis du noir et blanc pour qu'on ai aucun doute de quoi se passe quand.
Mais il a toujours du mal avec les perso feminin. Autant Kitty est un personnage réussi, autant Jean est vide.

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Je compris très bien pourquoi le film n'est pas linéaire. Pour faire correspondre des scène ensemble alors qu'elles ne se passent pas au même moment. Mais du coup, au lieu de m'investir émotionnellement dans l'histoire, je cherche a reconstruire la temporalité, et j'ai l'idée que l'envie était plus d'émouvoir qu'autre chose.

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J'aime beaucoup l'humour meta, mais faire un film, même cours, tournant juste autour de la même blague meta, je suis pas convaincu.

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Comme quoi le male gaze n'est pas en soit une mauvaise chose, c'est sa sur-présence qui est problématique.
Comme dans Youth, sortie après mais que j'ai vu avant, Sorrentino aime les bourgeois vieux et en crise existentiel, et comme dans Youth, suivre leurs déboires et leur cynisme est toujours aussi plaisant.

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Je suis assez étonné d'avoir apprécié le film. J'ai normalement du mal a suivre des personnages montrés (ou que je considère montrés) comme des ordures. Surtout lorsque le film cherche a nous faire avoir de l'empathie pour elleux. Mais c'est ici avec vrai intérêt que j'ai suivi ce prof pendant les 3h30 de films, sans jamais m’ennuyer, alors même que le film ne croule pas sous les péripéties.
Le fait que le film soit aussi beau, et cela sur chaque plan et image, joue probablement un grand rôle.