Films vus en 2014

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ça faisait longtemps que j'avais pas vu un film aussi touchant... pas vraiment ce à quoi je m'attendais! En plus les acteurs sont parfaits!

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So British!

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Pas le genre de films que je reverrai, et pourtant difficile de mettre une note en dessous de 8.

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Pas étonné que le film soit si peu aimé, un véritable OVNI cinématographique difficile à catégoriser. C'est sombre, cru, on ne sait pas toujours quel est le "but", où le réalisateur veut en venir; bref... pas grand public.

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Excellente performance de Matthew McConaughey. Je ne sais pas trop quoi dire de plus sur le film...

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Partiellement inspiré de faits réels. J'ai trouvé le film un peu trop long et peu captivant. Par contre la bande son est pas mal et les acteurs jouent juste.

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Encore moins grand public que Cartel, mais je m'y attendais: film de SF, réalisateur peu connu. Je n'avais donc aucune attente particulière vis-à-vis de ce film, j'ai pris le risque de découvrir un raté... ou une perle.

Au début, ayant lu le synopsis, je me suis demandé si je ne m'étais pas trompé de film. Je voulais arrêter, mais j'étais trop intrigué et la musique, l'ambiance, m'ont hypnotisé. Puis j'ai "compris le film", me suis dit "wtf", me suis perdu, pour enfin "comprendre".

"The water before you is somehow special. When you drink it you feel revived and full of energy. It is better than anything you've ever tasted. Take a drink now."

Ce n'est sans doute pas meilleur que tout ce que j'ai pu goûter avant, mais je peux ajouter ce film à ma short list de films de SF qui sont des vraies perles. Short list parce qu'il n'y en avait qu'un seul jusqu'à présent: Monsters, de Gareth Edwards (II).

Je dois néanmoins prévenir: ce film requiert de la patience. Patience fortement aidée par l'ambiance et la poésie de celui-ci. Les sons sont tout simplement envoûtants; après, peut-être que ce ne sera pas le cas de tout le monde.

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Casting international pour ce film du réalisateur Danois de Goodbye Bafana, adaptation du Train de nuit pour Lisbonne de l'auteur Suisse Pascal Mercier.
Le sujet abordé (je ne spoilerai pas) est assez méconnu en France, donc très intéressant. Je dirai 8/10 pour cette œuvre assez poétique, bien que le fait que les personnages portugais ne parlent pas portugais dans le film m'ait un peu gêné. D'un autre côté, je doute que le réalisateur parle la langue, donc...

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Erh... no. Indifférent des tentatives d'instauration de suspens, de tension. L'idée de l'incapacité à reconnaître les visages est intéressante, mais pas ce qui en a été fait.

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Portrait de notre époque à la française (c'est-à-dire un peu longuet par moments).

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Je commencerai par dire que je suis loin d'être un spécialiste en musique classique (je ne connais d'ailleurs presque rien). Je ne me permettrai donc pas de critiquer les choix de musique. Par contre il est fort possible que ce manque de connaissances de ma part sur le sujet diminue mes facultés d'appréciation du film.
A la vue de la bande-annonce et du synopsis, je m'attendais à un thriller à grand suspens. A mon avis, le suspens peut être créé de deux façons: par l'entretien d'un mystère ou par la mise en place d'une certaine intensité sans relâche.
Ici, le seul mystère est la motivation de celui qui menace de mort le pianiste. En effet, on devine facilement ce que va demander le maître chanteur au pianiste. Deux possibilités se présentent donc pour l'expliquer: c'est un maniaque, un psychopathe; ou l’appât du gain. En somme, il n'y a pas de mystère suffisamment puissant pour générer du suspens.
Ainsi, je m'attendais à une partition intense. Le problème, bien que Elijah Wood ait à mon goût bien joué son rôle, c'est que je n'ai jamais senti cette intensité. Ni par la musique, ni par le déroulement des évènements. Pourtant, il y aurait eu en théorie matière pour cela. Mais c'est comme s'il manquait quelque chose. Peut-être, ce quelque chose est que je ne suis pas musicien... En conséquence, je préfère dans le même genre le film Phone Booth de Joel Schumacher (2002).

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Points positifs: pas d'amourette d'ado (alléluia), quelques réflexions intéressantes, allégorie des enfants-soldats. Le scénario est correct.
Points négatifs: Je ne suis jamais "rentré" dans le film. Je ne dirai pas que je me suis ennuyé mais j'étais insensible à ce qu'il se passait sous mes yeux.

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Je m'aventurerai à dire meilleur film du genre (en tout cas de ceux que j'ai vu), à condition de bien vouloir le suivre, sans trop perdre "patience". Par moments ça donne des frissons. Redford est parfait dans ce rôle.

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Osé.

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Réalisation simple, sans artifices; à l'image de la vie des personnages du film à cette époque, pris au piège de ce qu'on appelle la petite guerre. Malgré ma note (6.5/10), le film vaut le coup d’œil.
Remarques:
- J'aurai peut-être mis 7 s'il s'agissait d'une histoire vraie et non de l'adaptation d'un roman, ça fait toujours son petit effet de savoir que l'histoire est tirée de faits réels. Ceci dit des faits similaires ont probablement eu lieu donc...
- Ne pas s'attendre à un film d'action :p

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J'ai eu beaucoup de mal en 1ère partie, surtout à cause des parties chantées. Et puis Olaf (non, pas le champion de LoL!) est arrivé à la rescousse pour me faire passer un agréable moment :)
Petite entorse à la règle du coup pour la notation:
- 1ère partie: 5/10.
- 2ème partie: 9/10.

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Sauvé par quelques passages comiques ou croustillants, la globalité est presque soulante à force de répétitions; ce qui atténue grandement l'intérêt du propos. A noter que je n'ai pas lu la BD d'Antonin Baudry dont le film est l'adaptation.

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Tout ce que je savais de Guillaume Gallienne, c'est qu'il avait fait des sortes de sketches sur c+. De ce que je m'en souviens (très peu), c'était assez appréciable.
En lançant le film, je ne savais que ceci et que c'est supposé être une comédie plus ou moins autobiographique.
Pendant les 3/4 de film, le très bien (musique, scènes comiques) a alterné avec le moins bien (sentiment d'ennui ne sachant pas où il voulait en venir). Et puis le dernier quart... a fait pencher la balance du côté du très bien. ça, l'originalité du thème et de la mise en scène; pour moi ça donne un 7.5/10

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Après sa prestation dans Gatsby le Magnifique de Baz Luhrmann l'an passé, DiCaprio joue une nouvelle fois au riche, cette fois sous la direction de Martin Scorsese.
Le film est l’adaptation du 1er (sur 2) livre autobiographique de Jordan Belfort, un courtier de Wall Street parti de rien qui a fait fortune.
Petite check list avant la note:
drogue: check
alcool: check
argent sale: check
sexe et prostitués: check
bombasse de luxe: check (Margot Robbie)
presque 3h de film: check

Ma note: 9/10. Pas 10 parce qu'il manquait quelque chose à mon goût à la fin du film, je ne dirais pas quoi, ce serait spoil :)

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Resté de marbre face à ce film des frères Coen, presque indifférent. Ce n'est pas mauvais, je n'ai juste pas accroché.

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Ce que certains pourront reprocher à ce film, c'est l'arrondissage d'angles: on se doute que Walt Disney n'a pas été aussi "gentil" qu'il peut y paraître dans ce film.
Personnellement j'ai su accepter cette posture, sans me leurrer bien entendu.
Mis à part ça, c'est touchant.

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J'ai eu assez peur au début du navet comique comme les américains savent si bien les faire. Mais en fait non. Je ne sais pas trop quoi écrire de plus, si ce n'est que ça vaut le coup d’œil.

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De l'humour à la Dupontel. J'apprécie pas, donc forcément la note s'en ressent. En dehors de ça, je n'en suis pas au point de couper le film avant la fin, donc ce n'est pas à jeter à la poubelle.

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Remarque: je n'ai pas lu le livre dont ce film est l'adaptation.
Je regrette un peu le traitement historique et psychologique dans ce film, il aurait été possible à mon avis de faire bien plus, de rendre le film encore plus prenant. Plutôt qu'une "simple" vendetta.

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Dans les années 50, en Irlande, les enfants de mères seules hébergées dans les abbayes sont vendus; souvent à des gens aisés aux États-Unis.
En gros, le film raconte l'histoire vraie d'une de ces femmes très croyante qui, prise de remord, essaye de retrouver son enfant des années plus tard.

Le sujet est suffisamment bien traité à mon goût pour éviter le ridicule émotionnel ou ce genre de pièges. Alors ce n'est peut-être pas ce que j’appellerais un film particulièrement captivant, mais il n'en est pas moins intéressant. Pour moi ça vaut le coup d’œil.

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"A wonderful fact to reflect upon, that every human creature is constituted to be that profond secret and mystery to every other."

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Syndrome de Stockholm vu par le réalisateur de Juno et In the air? Le film va plus loin que ça: l'évadé de prison au sens propre rencontre une femme prisonnière de ses peurs.
Les performances d'acteurs sont à mon avis très bonnes et le scénario plus que correct. Rien à signaler niveau mis en scène.

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Un western? Plutôt un anti-film d'action. Heureusement, l'ambiance prenante et les prestations de Rooney Mara et Casey Affleck sont superbes. Pas un grand film mais une petite perle.

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Bons dialogues, acteurs et scénario.

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Le scénario est issu du roman de la réalisatrice qui a imaginé la fuite en Argentine du médecin Nazi d'Auschwitz Josef Mengele, alors pourchassé par le Mossad.

Je suis assez tiraillé quant à donner un avis... j'ai apprécié qu'à aucun moment on entre dans le domaine de la complainte ou de la condamnation. Non pas que je cautionne les actes du médecin, mais cela change des entassements de malheur (bien que véridiques) auxquels sont facilement sujets les films de ce genre.
D'un autre côté, je me demande s'il ne s'agit pas plutôt d'un manque de courage de la réalisatrice, qui aurait trop peur des réactions du public, des producteurs, de son gouvernement, etc. Étant donné la délicatesse du sujet sur la collaboration entre l'Argentine et les Nazis, ou en tout cas le laisser-faire de l'Argentine à l'époque sur l'émigration de criminels nazis dans leur territoire; cela ne m'étonnerait pas.
Quoiqu'il en soit c'est un pas en avant.

Pour le reste: bonne mise en scène, rien à dire sur les acteurs.