Films vus en 2016

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On commence bien la nouvelle année tient !

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Dommage, en voulant présenter une esthétique audacieuse, le film se prend les pieds dans le tapis et réalise une œuvre aux allures bâtardes avec des mélanges de techniques pas toujours beaux voire carrément pas maitrisés à l'image d'une scène où les personnages en dessin assisté par ordinateur se superposent sur un décor fait à l'ancienne, avec d'horribles effets de zoom ou les personnages semblent grossir comme si la caméra s'approchait sur un décor qui lui ne change pas. Fait amusant, l'héroïne souffre du syndrome de Morticia Adams qui consiste à toujours avoir un rayon de lumière au niveau des yeux.

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Ce pauvre godard, je dois trop lui en vouloir pour pouvoir être impressionné par un de ses films les plus cultes, qui a mon gout tient davantage du duo Belmondo/Karina, avec la scène de l'excellent Raymond Devos toujours égal à lui-même. Il parait que ce film est riche en références d'époque, je n'y ai pas été sensible.

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Délire débile, riche en références au cinéma expérimental et au cinéma japonais bisseux. Le film souffre d'ailleurs de la comparaison avec Tetsuo mais en tire aussi sa richesse.

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Film sensible et touchant sur le parcours d'une jeune Maiko (apprentie geisha), dans son apprentissage, avec ses premiers clients, ses erreurs, et sa filiation particulière avec une Geisha chevronnée qui la guidera.

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Intéressant dans sa narration. Il reste très classique dans son scénario, néanmoins l'histoire autour de ce tatouage apporte un habillage fantastique (dans le sens littéraire), un véritable plus esthétique sublimant la froide beauté de l'actrice principale et se présente comme un fil conducteur plutôt original apportant un peu plus de fraicheur encore au tout.

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Film assez mineur de la production de Wes Anderson, il n'en demeure pas moins un excellent petit divertissement trainant parfois en longueur et encore parfois brouillon mais porté avec brio par son acteur principal qui signe là une jolie performance.

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Avec son discours suranné qui ne saurait aujourd'hui être soutenu que par quelques CGTistes arracheurs de chemises et leurs souteneurs, ce film a tout de la propagande soviétique : un manichéisme total, une image brouillonne et pleine de clichés d'un conflit fort complexe avec un point de vue soutenu par des idéalistes répétant des slogans de façon aussi robotique que les ouvriers qu'ils essayent de rallier à leur cause à coups de mots sympathiques tels que "esclave" ou "tu n'es bon qu'à ça te faire exploiter". Avec sa vision trop simple de la société et des slogans inutiles, l’œuvre apparait davantage propagandiste qu'analytique. En montant un pauvre homme, visiblement habité par son travail aussi rébarbatif soit-il, avant de le critiquer plus tard, on a du mal à savoir si le discours entretenu dans le film est un discours de dénonciation, ou de cynisme, sans chercher à aller au delà de l'éternel discours, à croire que le réalisateur aime à filmer des gens hurlant des slogans d'extrême-gauche sur l'image d'ouvriers passant un portail.
C'est pourtant bien filmé, très bien joué avec son acteur principal fort expressif et bien mis en scène, mais... c'est tout, si la forme a tout d'une belle œuvre rappelant les productions de quelques grands réalisateurs le fond a presque autant de maturité et de recul qu'un étudiant en sciences sociales première année qui s'habillerait d'un béret, porterait d'un T-Shirt Che guevara et fumerait des roulées en s'exprimant sur la société qu'elle est pas bien.

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Mon avis personnel concernant B. DeMille est que ses films commencent à avoir trop vieilli pour rendre autant d'émotions que ce qu'ils ont pu apporter autrefois à moins d'être vraiment fan. Pourtant je suis sûr que si j'avais découvert ce film en 1940 j'aurais adoré. C'est typiquement le genre de films de cowboys classique, sur fond de route du rail.

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Ma note est à la hauteur de ma pensée sur ce film : Il est original, audacieux, et perché comme je les aime. Le charisme de Colin Farrell joue aussi pour beaucoup dans la réussite du film, mais la seconde partie bien que pourtant bien pensée également est moins intéressante à mon gout en partie pour ses personnages principaux qui ne m'ont guère inspiré d'empathie.

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Un joli petit film d'amour qui saurait faire pleurer nombre de femmes devant leur écran. Classique de l'amour impossible traité de façon très larmoyante. La première partie est à mon gout au dessus de la seconde plus guimauve encore et va stagner dans sa toute fin. Il n'en reste pas moins que l'impression d'ensemble est très positive.

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Mon dieu mais quel massacre.

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Classique mais parfaitement efficace et bien mené.

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Un court correct mais qui tourne rapidement en rond.

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Improbable première apparition d'un jeune Arnold avec son accent autrichien en héros grec (Hercule vous l'aurez compris). Une comédie aussi fine que le corps de son acteur principal à grand renfort de cabotinage et d'improbables acceptations "Tu es le vrai Hercule ? ha bon, d'accord".

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Je ne sais pas encore si je suis vraiment fan ou pas de ce film. Une plongée dans l'humour suédois qui me rappelle assez l'humour anglais, mais beaucoup plus cynique et plus austère. Bien néanmoins.

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Vu par erreur en voulant se taper l'original. Bah... il est bien quoi.

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Etrange et surprenant, réalisé avec ingéniosité.

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Le meilleur moment, c'est quand même le générique de fin.

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Improbable production avec des jouets en guise de dino, si ce n'était pas aussi mou et lourd ce serait amusant.

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Pfff ça craint quand même un peu.

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Le cinéma gothique sur une aventure d'Edgar Allan Poe, c'est le bien ! L'histoire en elle-même ne vole pas haut mais cette ambiance est prenante comme il faut.

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C'est aussi maigre d'intelligence qu'un blockbuster, le budget en moins, mais les robots sont cool, du coup j'ai aimé, malgré que ce soit effectivement tout moisi quant au reste.

des grosses machines venue de l'espace dans un but imprécis faire quelque chose d'imprécis de façon imprécise avec un scénario aussi imprécis comment ne pas imaginer que les acteurs et le montage ne soit pas lui-même imprécis.... imprécis !

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Peut-être un peu plus. Une forme de sensibilité pour une esthétique qui n'est pas sans rappeler quelques grands noms du cinéma comme Lang ou (de loin mais quand même) Bunuel.