Films vus en 2017

Annotation :

Scènes et lumières très belles et variées, Manhattan et Hollywood au top. Parfois presque comédie musicale, le duo Eisenberg/Stewart m'a fait penser au récent La la land de par la simplicité de la relation, le charisme réciproque, la fin inéluctable et rompant avec le rêve.

Annotation :

Très belles lumières, un scénario original et classique en même temps. On aime l'amour et on est triste pour lui. Une bo addictive. Un réalisateur touchant, humble et jazzy.

Annotation :

Beau film, à vocation et référence philosophique.
La première partie est très bien dosée entre exemple d'éducation à la Rousseau et Thoreau et mise en contact avec l'humain "normal".
Mais le film s'égare un peu vers la fin, ne sachant trop comment finir, hésitant entre happy ending et morale indécise.
Dommage.

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Tristesse et pathos, parfois un chouya trop poussés mais dans l'ensemble terriblement touchant.

Annotation :

Le monde d'HP sera toujours plein d'émerveillement et de poésie fantastique.

Annotation :

Acteur bon dans le polypersonnage, hélas le scénario est lent et peine à trouver un compromis entre explication pseudo-scientifique du TDI et dérapage fantastique en quasi-Marvel, avec cette "Bête" qui métamorphose Kevin en Hulk ou Wolverine irréaliste, capable de résister à un fusil à pompe à bout portant.
Américanisation excessive ou trop peu poussée ?
Me fatigue aussi ce besoin d'analyser le cerveau comme une source de "puissance" et d'accès à un état de surhomme.
Les troubles liés à l'enfance auraient pu être plus finement analysés plutôt que de concentrer le plot sur cette 24ème identité.
L'actrice principale m'a saoulé

Annotation :

Bon film de vulgarisation financière, Bale et Carell sont top, Gosling Pitt corrects.
Donne envie de comprendre plus en détail la crise des subprimes.
Manière de filmer assez étonnante entre moments d'immersion presque amateur et d'autres avec des lumières et plans lourds hollywoods

Annotation :

Bon film d'épouvante, original, belles lumières, peu flippant mais ambiance certaine

Annotation :

Très belle histoire à rebondissement du réalisateur de Old Boy.
Sensualité maîtrisée, érotisme fin, l'amour est mort vive l'amour !
ça donne presque envie de devenir lesbienne

Annotation :

Deception, the big short en plus lent, plus chiant, plus inintelligible.

Annotation :

Le pitch a du potentiel et la première exploration en Amazonie est plutôt réussie.
Mais le réalisateur s'égare ensuite en voulant faire un film de guerre puis est dépassé par le temps et gâche la poésie d'une expédition qui aurait pu être poétique.
Dommage

Annotation :

Scarlett a définitivement something.
Un Woody Allen tragiquement romantique et bel et bien prenant.

Annotation :

Un film où le fantastique sert la poésie et où le duo Woody/Scarlett fonctionne très agréablement.

Annotation :

Pour ce que c'est, c'est bien.
Pour le reste, ne pas s'attendre à un choc cinématographique.

Annotation :

Très bon film malaisant et huppert géniale.
Lafitte ne fait plus de théâtre.

Annotation :

Double histoire sur un même démon.
Très bons moments, une chute de type exorciste un peu décevante.
Bien à regarder en soirée entre potes

Annotation :

Très bon film d'horreur, des jump scares maîtrisés, un peu trop gore parfois.

Annotation :

Une esthétique soignée et des bords de plage lumineux et ensablés, aux doux bruits de cailloux et de vent.
Mais de l'absurde dosé étrangement, pas assez ou trop, une opposition bourgeoisie fin de race et pêcheurs rustres et abimés pas convaincante.
Un Lucchini méconnaissable, une bidone insupportable.

Annotation :

De la bombe, des bombes, what else ?

Annotation :

Sensuel, tendre, émouvant, la prestation d'Adèle est excellente. Léa Seydoux moins convaincante mais très bonne également.
De nombreux thèmes (l'amour et l'érotisme bien sûr, mais aussi l'éducation, la famille, la vie sociale, l'évolution vers l'âge adulte) finement abordés et servis par un réalisme tranchant.

Annotation :

Un Wes Anderson exotique, initiatique et toujours riche en décors fictifs et en lumières chaudes, jaunes et roses.

Annotation :

Un nouveau slumdog touchant, où l'appel de "goudou !" reste en tête assurément.
Une préférence pour la première partie enfance, plus tendre et moins prise de tête, plus simple et réaliste peut-être.

Annotation :

Satire et comédie, drame et critique, analyses à voir pour le comprendre pleinement

Annotation :

Etonnant, perturbant, sensuel.
Des larmes en trop, un scénario pas très clair, mais une relation double malgré tout maîtrisée et qui pose des questions.
Vacth toujours aussi envoûtante, Renier double convaincant.

Annotation :

BOF
Des scènes d'action impressionnantes et tournées d'un angle original mais scénario cruellement vide, c'est de la pure action où ça découpe du chinois à coup de high kick et mitraillettes à munition infinie, il faut le savoir avant de le voir.

Annotation :

Une Sharon Stone pénétrante, un Michael Douglas assez faible.
Une sorte de Gone Girl d'il y a 25 ans, avec des violons et une BO de suspens qui a un peu vieilli mais la construction reste intéressante.
Un peu trop de morts en série mais une fin intrigante.

Annotation :

Touchant, parfois un peu niais, mais souvent juste dans la simplicité des propos et images.

Annotation :

Le 2nd degré à son sommet et l'humour anglais comme on l'aime.
Un peu gore, ça reste du zombie, original dans la mise en oeuvre. Scène de gore un peu trop longues parfois peut-être, on préfère l'humour

Annotation :

Un peu d'appréhension avant d'aller le voir, peur surtout d'un film cliché blanc suprématiste / noir esclave mais c'est beaucoup plus fin que cela !
Quelques jump scare mais surtout une ambiance qui prend à la gorgé progressivement et donne un film de très bonne facture.

Annotation :

Scénario vu et revu (un virus contagieux qui transforme en zombie super), et malgré une montée en tension correcte et un ou deux passages très bien maîtrises (notamment un rêve) on reste sur sa fin et le "plot twist" n'est pas très impressionnant
On aura compris que la paranoïa et l'instinct de survie rend l'homme loup pour l'homme