Films vus en 2021

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1er janvier :

Mise en image réussie de la perception des réalités, de la paranoïa et de la folie complotiste. L'animation peut faire peur au début mais est finalement très fluide, comme les dialogues qui reposent sur une écriture efficace.

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2 janvier :

Toujours très client de Clint Eastwood, qui porte un regard simple, presque innocent sur la vie ce qui dans certain cas pourrait être un défaut, mais c'est fait avec tellement d'humanité et de bienveillance qu'il en fait ici la force de son cinéma contemporain.

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3 janvier :

Parfois un peu cliché mais sinon j'ai passé un bon moment avec une bande crédible.

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4 janvier :

Esthétiquement bien foutu, dommage que le rythme et la construction rendent l'histoire moins prenante.

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5 janvier :

LA scène d'épouvante fonctionne toujours très bien et l'image en générale avec ce beau noir et blanc rend l'ambiance assez lourde.
Par contre on a vraiment affaire aux pires policiers de l'histoire...

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6 janvier :

Un grand film sur la différence et l'acceptation. Une mise en scène prodigieuse qui sert la narration et un accompagnement musical parfaitement cohérent.

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7 janvier :

Mieux que le 2 mais c'est quand même pas terrible.

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9 janvier :

Vraiment haletant mais c'est vraiment dommage d'avoir une shaky cam trop abusive. J'aurai mis 6 à cause de ça si il n'y avait pas le jeu incroyable de Tom Hanks et l'intensité de la dernière partie.

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10 janvier :

Introduction particulièrement intense qui nous mène ensuite sur un film aux thématiques intéressante mais qui finit par surtout s'abandonner à des problèmes de conflit familiaux dans un drame assez classique. Vanessa Kirby livre un belle performance.

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16 janvier :

Superbement écrit, dans une réalisation maîtrisée pour une histoire riche et complexe qui met de coté le glamour habituel des mauvais films de mafieux. On ne lâche pas une seconde malgré les presque deux heures trente où l'on alterne entre violence extrême, dialogues sous tension et passage au tribunal pesant.

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17 janvier :

Petit manque de rythme par moment.

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24 janvier :

Adam McKay continu dans la lignée de The Big Short et ne fait aucun cadeau à travers son montage hyper efficace et un casting particulièrement réussi. Très hâte de voir ce qu'il nous réserve pour la suite.

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24 janvier :

Le début m'a pas mal intrigué mais finalement je n'ai pas vraiment été emporté ni par l'intrigue ni par l'ambiance.

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25 janvier :

Hyper déçu étant donné la moyenne, j'ai trouvé ça vraiment très plat et finalement en plein de le cliché de Miami Vice, aussi bien l'ambiance, les musiques ou l'histoire. Même les acteurs qui sont pourtant très bons habituellement semblent ici fades. Dommage.

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30 janvier :

Quelques bons moments mais j'ai trouvé ça vraiment trop long, dommage également les effets spéciaux sensés donner un sentiments de liberté qui ne sont finalement pas bien convainquant.

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31 janvier :

On tape en plein dans la suite ratée, avec une surenchère constante qui n'offre rien d'original, de choquant ou simplement d'intéressant, l'humour en devient même particulièrement grossier. Dommage.

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5 février :

Très beau noir et blanc, très belle réalisation, dommage que ce soit construit comme des cycles qui se répètent 3/4 fois, mais on a droit à quelques moments vraiment forts surtout de la part de Zendaya (la scène dans le bain) que j'avais pourtant un peu de mal à bien apprécier.

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6 février :

Très plat malgré la performance de Winona Ryder.

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14 février :

Franchement chiant avec rien de vraiment original à se mettre sous la dent.

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20 février :

Beaucoup de bonnes idées, pas mal de mauvaises aussi, ça aurait mérité plus de temps de réflexion je pense, mais s'il est difficile de rentrer dedans au début, plus le film avance et plus l'ambiance devient intéressante, forcément aidé par les belles images.

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24 février :

C'est rempli de débilités avec une intrigue particulièrement mal écrite et interminable, aucun personnage n'apporte une quelconque empathie, je voulais juste qu'ils crèvent tous (ceci dit, c'est peut-être l'objectif du film...). I Care a Lot se veut irrévérencieux, mais le manque total de nuance et de profondeur rend le résultat juste insupportable. Et malheureusement ce ne sont même pas les têtes d'affiches qui viendront aider tant le jeu reste égal du début à la fin, encore une fois sans aucune nuance.

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1er mars :

Assez plat et fade malgré quelques bons acteurs.

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5 mars :

C'est à nouveau un beau film sur le temps qui passe et les relations, sur les choix qui ont et vont conditionner notre vie et celles des autres. Tout pour les dialogues avec une connexion particulièrement forte, mais surtout naturelle, entre Julie Delpy et Ethan Hawke.

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21 mars :

Un film sympathique qui repose sur des boucles d'histoires assez efficace, parfois un peu grossièrement amenées pour faire avancer le scénario, mais qui laisse tout de même profiter du talent de Scorsese dans ce film particulièrement original pour le réalisateur.

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27 mars :

Il y avait un poster de Persepolis dans la salle de français de mon collège (comme dans celle de beaucoup d'autres j'imagine), ce film est longtemps resté assez intriguant pour moi donc ça fait drôle de l'avoir enfin vu. C'est une belle histoire, avec quelques phases cinglantes bien placées qui donne envie de découvrir le matériau originel.

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4 avril :

De bonnes choses mais plus le film avance et plus on sent le manque de prise de risque, jusqu'à devenir finalement assez classique. Sympathique mais pas plus.

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5 avril :

J'aurai bien plus apprécié le film sans la partie au Mexique et au Japon qui alourdissent vraiment le récit.

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6 avril :

C'est vraiment un cinéma éprouvant à voir, on ressort du visionnage épuisé, la musique forte à l'accordéon est omniprésente, les personnes parlent fort, ont de vraies gueules atypiques, les décors regorge de bibelots et d'éléments à voir et le scénario part dans tous les sens. J'avoue que j'ai un peu du mal avec ça, cependant il faut avouer que c'est agréable un réalisateur comme Kusturica qui prend du plaisir à faire son film, on sent vraiment que c'est fait par amour du cinéma, que ça tente pleins de choses. Ça ne prend pas sur moi, mais c'est à voir.

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10 avril :

L'ennui.

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13 avril :

Un film assez plat qui ferait presque cliché tant il essaye de paraître mystérieux et philosophique, c'est trop déconstruit pour que je trouve ça intéressant, je pense que c'est surtout l'effet "premier film" et visiblement Carax se rattrape sur ses réalisations suivantes.