Films vus en 2021

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Et boum ! premier film de 2021 ! en demi-teinte, le film développe un univers extrêmement intéressant, mais n'en fait pas grand chose, et les personnages fonctions jusqu'au personnage principal n'aident pas beaucoup à l'empathie.

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Bon ben l'humour chinois et moi ça fait toujours deux.

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Très fun !

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Un gentil documentaire qui explore la relation de plusieurs individus à la consommation de café en tant que lien social.

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Vous avez déjà vu ce film des milliers de fois. Un travail correct.

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Il est bien, mais j'ai perdu mon âme d'enfant.

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Mon tout premier saut dans le cinéma Chilien, et c'est plutôt une jolie histoire, portée essentiellement par un Jorge Garcia que je n'avais plus revu depuis son rôle du gars cool qui écoute sa musique au casque dans Lost, et qui fait plutôt bien le travail. 6,5/10 et comme j'aime bien son esthétique je monte à 7/10

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bof bof

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Wouf, j'ai eu l'impression de me sentir comme un voyeur. Je me suis senti comme un bobo en vacances dans un pays pauvre.

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En vrai c'est pas mal pour une adaptation, après je ne suis pas totalement neutre, j'ai adoré Bleach et j'ai regardé les épisodes religieusement pendant des années, mais c'est une adaptation fidèle et plutôt respectueuse de l’œuvre originale, avec le niveau d'exploitation et la générosité nécessaire à ce type de production.

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Et boum, le premier échec de l'année. C'est vraiment dommage, c'est bourré de bonnes idées et rien n'est réussi. C'est filmé avec les pieds, le rythme est raté, les personnages sont sans intérêt et vivent des choses vues et revues mille fois en moins bien fait, on a aucune empathie pour eux et même le concept de l'immortalité est tellement mal exploité que quand le film dévoile son intérêt final, j'ai émergé de mon sommeil pour dire "Ah... bon d'accord si tu veux".

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On touche là à mes cordes sensibles, j'adore les films sur le cinéma, j'aime beaucoup Gary Oldman qui a fait pas mal de navets mais qui m'a complètement eu ici, j'adore cette période du cinéma américain, j'étais la cible, touché en plein centre.

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Un joli film plutôt feel good sur fond de divorce.
Et la BO est très belle.

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Tu a déjà vu quelque chose qui faisait référence à ça.
Par certains aspects on dirait aussi du Moebius, ou du René Laloux.

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Une jolie poésie accompagnée d'une musique magnifique.

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En réalité il n'est pas si mal mais je m'en suis lassé avant la fin.

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C'était mignon, après ce sont des gens qui se sont essayé au "van life" comme d'autres avant eux. Je ne suis pas forcément hyper fan de ce que j'ai vu mais c'était pas méchant.

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Techniquement c'est correct, les acteurs sont bons, mais seule la grosse dernière demi-heure semblait réellement prévues, le film dure deux heures dont 1h27 ponctuée de gros moments Télérama qui semblent n'avoir de raison d'être que pour justifier cette dernière demi-heure. Dommage.

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Depuis le temps que je voulais le voir, je suis un peu déçu, pourtant il n'est pas si mal, mais je crois que j'en attendais peut-être trop.
Ne pas faire comme moi et voyez le film d'une traite sans interruption, sinon c'est mort.

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Le film est bien, mais j'aurais voulu le découvrir il y a 15 ans.

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Très décevant, dans la droite lignée de beaucoup trop de films des années 70 qui affichaient un style très mou, et qui par manque de budget allongeaient la sauce avec d'interminables dialogues, et des retournements de situation, peinant à créer une ambiance.

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Premier... peut-être second film estonien que je vois, j'ai un peu peur d'être passé à coté de la moitié des références mais le tout prends une allure de conte sombre, c'est beau, triste et froid, comme les clichés sur l'Estonie finalement.
A voir.

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Revu en 2021, après un premier visionnage anarchique en 2017.
Je continue à penser que je l'ai probablement découvert trop tard, que c'est un vrai bon film, mais que c'est le genre de film pour lequel il faut presque tomber dessus par hasard sans rien en connaitre, avec une belle qualité d'image et de son. Typiquement le genre de film qu'il faut lancer et regarder d'une traite, je le verrais bien passer à la télé un soir par exemple.

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C'est dur de dormir, heureusement il y a Youtube

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Quoi de plus fun qu'un film de Noël en février ? plein de choses, vraiment. Nous voici donc en présence d'un nanar de Noël hyper traditionnel comme les adorent les américains, on y retrouve George Stults dont le grand role aura été de faire parti de la série 7 à la maison dont il ne deviendra assez vite qu'un rôle mineur à la manière d'une Jessica Biel qui s'en sortira un peu mieux. Il cachetonne depuis dans des navets cheap et donc des comédies de Noël; ici une sorte de sous "Menteur,Menteur" où l'actrice principale Alicia Witt, elle aussi habituée des comédies de Noël campe l'habituelle femme mère, forte et travailleuse, rendue incapable de mentir dans son quotidien de business woman.

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C'est dommage, le film se présente au départ pourtant bien avec de beaux FX (certes on n'est pas sur du Lucas mais ça reste cossu) et un concept sympa (des éboueurs de l'espace), mais avec ses scènes d'action souvent confuses, son scénario anarchique et pas très subtile, bourré jusqu'à étouffement de références pas toujours bien subtiles non plus, ses personnages fonctions, et sa mise en scène inégale, le résultat n'est pas très digeste. C'est pas ce que j'ai vu de plus affreux, mais ça a quand même besoin d'un peu d'amour pour être apprécié.

Meh/20

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Alors oui je sais ce que tu vas me dire, c'est pas le meilleur film du monde j'en conviens, mais j'aime bien Fuka Koshiba, j'aime bien le thon, Fuka Koshiba n'est pas exactement un thon, du coup j'ai aimé. Oui j'ai aimé ça comme si j'étais un américain devant une comédie de Noël un 23 décembre, faut croire que j'aime ça les comédies poissonnières.

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Vu en quatre ou cinq fois, c'est cette période du cinéma relativement intense d'un point de vue production, mais cette portion de produits plutôt molle dans son rythme, peu inspirée dans sa réalisation, et assez radine dans ce qu'elle a à montrer à l'écran.