Films vus en 2022

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8 janvier (en salle)

Dans ce long voyage qu'est la rencontre avec la panthère des neiges, on prends le temps d'observer ce pays magnifique qu'est le Tibet. A chaque replats atteints, a chaque sommet gravis, la camera est posé pour immortaliser ces paysages dépourvu de toutes populations, ou la nature à encore tout ces droits. On a alors qu'une seul envie : passer à travers l’écran pour suivre cette rivière qui coule en fond de vallée, grimper cette pente pour accéder à ce grand plateau, gravir cette montagne pour découvrir quelle merveille peut il bien se cacher derrière. C'est l'appel de l'inconnu, qui nous donne envie de contrer toujours plus d'espace. On s’émerveille devant ce que l'ont ne connais plus : des espaces infini vierges de toutes présence humaines où résonne à nos oreilles la liberté. C'est un film qui nous dit de prendre notre temps, parce que à vouloir aller trop vite, on passe à coter de toutes ces petites choses qui sont pourtant si essentielles. A prime à bord, bien que magnifique, ces paysages semble vide. Pourtant quand on prends le temps de les observer on remarque qu'ils regorge de vie. Des plus grands prédateurs au plus petite bête, ils donnent ensemble les couleurs au tableau qu'est le paysage. Difficile de rester insensible lorsque après des mois d'effort et d'attente, enfin la camera se pose sur la panthère, la patience à se pouvoir de démultiplier les émotions lorsque le moment tant attendu se réalise.

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10 janvier

J'ai beaucoup aimé l'ambiance visuelle du films ainsi que ces musiques, cependant j'ai été un peu chiffonnée de voir qu'il n'y ai pas vraiment de lien entre les deux parties du film (bien sur si la princesse demeure en tant que peau d'ane c'est parce qu'elle fuit le regard de son père) : je m'attendais qu'aprés la fuite de Peau d'ane, le roi mette tout en place pour la retrouver, qu'on voie des soldat dans les moindres recoin de la région à la recherche de la fille du roi. C'est d'ailleurs ce que dit le roi lui même. Pourtant on n'en voit pas un seul. On ne revoit le roi qu'à la fin (qui arrive en hélicoptère ???) et on apprends qu'il s'est marié avec la fée (un peu simpliste je trouve). Un autre petit reproche et que pour un film qui se veut autant féerique, et donc loin du réel, voir le chateau de Chambord ca ramene brusquement à la realité.

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10 janvier

Outre le faite que Catherine est magnifique et que les chansons et danses le sont toutes autant, je crois que ce qui m'as le plus frappé dans ce film c'est a quelle point les personnages sont tous super bienveillant avec tout le monde. Chaque personnages prend le temps d’écouter les autres (la mère des jumelles et les deux forains écoute avec attention les blessures du cœur du marin), ou bien est ce peut être cette bienveillance qui baigne dans la ville qui permet à chacun de faire part de ce qui lui pends sur le cœur. Il y a quelque chose de profondément chaleureux à voir Michel Piccoli allé chercher le petit à l’école dans l'unique but de rendre service. C'est également le cas de ces deux forains qui débarque sans connaitre personne et qui prenne de leur temps pour aller acheter une gomme au pépé du café. On se dit que la vie serait tellement plus simple au coté de personne ayant toujours le sourire et étant toujours prête à rendre service. Les personnages trouve chacun l'amour de leur vie, bien qu'elle n'ait aucune idée de l'identité de ces derniers. Ordinairement, elles devrait passer à coté et se résoudre à épouser cette homme plein d'argent qui vous propose de monter avec lui à Paris, bien que vous ne l'aimiez pas. Mais ici, les gens ne sont pas ternes et silencieux, il regorge de vie et en étale tout autour d'eux, et ainsi les infos circulent, passent de bouches en bouches, permettant ainsi aux personnages de comprendre que l'amour de leur vie n'est qu'a quelques pas et qu'il faut sauter saisir l'occasion. Que retenir du film ? Que l'amour de votre vie se trouve peut etre à deux rues de chez vous, mais que vous n'en serez jamais rien si bienveillance et chaleurosité ne font pas parti de votre quotidien, car ces derniers rassemblent les cœurs.

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12 janvier

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13 janvier

Je suis clairement passé à coté de ce monument. Le film dure trois heures, les longues durée ne m'ont jamais fait peur mais force est de constaté que l'ennuie à pointer son nez bien trop souvent. Si certains passages sont magnifiques (la venue du père/l'aventure avec Anouk Aimée puis l'actrice américaine/la scène final avec la jeune fille), d'autres le sont beaucoup moins. Notamment tout les fêtes chez l'aristocratie italienne, des passages long et inintéressant, la décadence est filmé certes, mais ont la vie aussi. Les acteurs sont excellent, que ce soit Marcelo Mastroianni bien sur, mais aussi tout les personnages secondaires (AnoukAimée/Anita Ekberg/Magali Noel/Annibale Ninchi). Bref une déception assez grandes pour l’un des films que j'avais le plus envie de voir.

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14 janvier

Le film s'ouvre sur un plan magnifique, Gabin errant dans la ville, complétement déboussoler ne sachant plus à quoi s'accrocher. Cela est renforcé par la timbre roque de Gabin qui sert ici de voie off : la justice en laquelle il a toujours cru est veine qu'il dit. Les répercutions de celle ci sont grave et injuste, on sait à ce moment là qu'on va assister à une tragédie. Alain Delon sort de 10 ans de prison grâce à son éducateur Gabin. Il est bien décidé à reprendre un train de vie honnête. Alain Delon .est très touchant en incarnant cette homme qui réapprends à apprécier les petites choses anodines (ressentir le souffle du vent, apprécier une balade en vélo ou tout simplement profiter des gens qu'on aime que se soit juste le temps d'un repas ou quelques jours malgré les occupations et la distance), apprécier cette liberté qui nous hommes libres nous nous soucions plus vraiment. Tout cela est sublimé par la musique de Phillipe Sarde. Gabin est également très touchant, lui qui voit en Delon plein d'espoir et de bonté, là ou tout le monde y voit un criminel incapable de changer à l'image d'un Jean Valjean, pris en chasse par un Javert qui, au contraire de Gabin, ne fait que douter, incapable de comprendre qu'un homme peut changer. Mes premiers contact avec Gabin n'ont pas été très fructueux, Gabin incarne toujours un homme très sérieux à qui il vaut mieux ne pas chercher d'embrouille. C'est un personnage froid qu'il incarne en fin de carrière ou il est difficile d'y trouver de l'empathie. Mais ici ce n'est pas le cas, et la relation père fils qui se développe est très réussis. Le film condamne bien sur la peine de mort, ou la justice, gérer par des hommes faillibles, peut se transformer en une "machine qui tue".

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17 janvier

Première chose : Toshiro Mifune crève l’écran de part son charisme en samouraï vagabond. Tatsuya Nakadai livre également une très bonne performance qui donne tout son sens dans cette confrontation : deux hommes redoutables mais ayant de l'estime l'un pour l'autre. Film de sabre et de costumes donc, l'immersion dans cette époque est immédiate. Le film se veut tout de même assez léger, avec des touches d'humour et des personnages malheureusement bien trop bête (les disciples). Si au début c'est un peu frustrant de voir les disciples réfléchir avec leur pied, Mifune devra ensuite ruser contre Nakadai avec ces poids, rendant la situation toujours plus complexe, on se demande à chaque fois comment Mifune va s'extirper/renverser chaque situation. Les scènes de sabres sont top, bien sur la confrontation final reste en mémoire : ce long silence immobile qui s’étire (difficile de ne pas penser au duel de Leone) avant qu'enfin le sabre, puis le sang ne jaillisse.

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18 janvier

Film sympa mais quand même assez classique dans sa structure, on a tout d'abord le grand maitre, capable de vaincre tout les membres d'une école a lui tout seul. Ce grand maitre prend sous son ailes le héros qui au fil du temps sera capable de le surpasser. Il affronte en tournoi des adversaires de plus en plus coriace jusqu’à son adversaire suprême : celui avec qui la rivalité ne cesse de croitre depuis le début du film sans qu'il n'est eu l’occasion de s'affronter. Le héros sort vainqueur du duel et part vivre avec son amour. Un film somme toute oubliable.

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18 janvier

C'est assez fascinant de suivre le parcours de cette homme qui me semble faire partie de ces rares personnes ayant réussie sa vie. Il passe tout son temps à escalader des parois de plus en plus folles, expériences qu'il partage avec sa copine ou bien avec lui même (il grimpe toujours la paroi seul, puis la refait pour que le réal puisse venir le filmer). La sensation de liberté doit être impressionnante spécialement pour cette alpiniste : il est capable d'escalader une paroi sans corde (et donc sans assistance) sans même avoir étudier les passages à prendre ou non. Il grimpe à l’instinct, à la sensation. Il n'est jamais entrer dans cette routine stable et trop paisible qu'est d,avoir un boulot, de rentrer chez soi et de repartir travailler le lendemain exactement comme la veille. Non lui a voyagé au 4 coin du monde, ou il a escaladé dans des lieu magnifiques, partageant ces histoires avec les personnes qu'il rencontre, comme cette famille au fin fond de la Patagonie avec qui il nouera des lien amicaux. Escalader à vue et en free solo, doit vraiment procurer la sensation d’être le roi du monde, que rien ne peut nous arrêter.La victoire doit être d’autant plus belle quand on voit tout les effort fourni pour atteindre l'objectif : pour le sommet en pathagonie, Marc André c'est entrainé plus d'un an sur des parois alternant entre roche glace et neige avec cette objectif en tête. Un film qui montre qu'il ne faut pas se brider, que si on a un rêve il faut le vivre pleinement, que les obstacles seront nombreux et difficile, mais que ces peut être ça qui rend la victoire aussi belle.

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19 janvier
Le premier était déjà assez basique, là on à une suite pour faire une suite. Le héros avait vaincu tout ses opposant dans sa discipline, bon et bien dans celui il devra vaincre ceux d'autre discipline. Les antagoniste sont complétement fou, difficile d'accrocher à leur jeu. Comme pour le premier on s'ennuie un peu, on sait déjà que le héros arrivera à vaincre ces adversaire, on attend juste que l’affrontement et lieu pour passer à autre chose

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22 janvier - 4ème visionnages

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27 janvier (en salle) - 3ème visionnages

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28 janvier (en salle)

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29 janvier

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30 janvier

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2 février (en salle)

Le film c'est réellement nous mettre sous pression constante avec cette camera qui se sépare du protagoniste pour adopter des angles qui paraissent subjectifs, comme si elles adoptés le point de vue du potentiel tueurs tout en nous faisant douter quand à savoir ci celui ci est vraiment là ou non. La musique de Goblin est superbe est se couplement parfaitement avec le positionnement de la camera. L'ambiance est vraiment maitrisé, on ne peut pas demandé mieux pour un film d'horreur. Le problème vient pour moi de l'histoire qui semble sans importance. On traque tout du long du film ce tueur, puis le mobile est explicité avec un tel je m'en foutisme, on dirait que le réal nous dit : "tiens tu voulais une raison à tout ca, je t'ai pondu une explication en 5 minutes, moi tout ce que je voulais c'est tourner des plans". Dommage car on aurais pu avoir quelque chose de grand.

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3 février

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4 février (en salle)

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6 février

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7 février

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12 février

Ce qui est bien par rapport à d'autre film d'horreur plus classique (conjuring, sinister) c'est qu'il n'y a pas de paranormal, les 3 personnages sont des personnes lambda parti camper quelques nuit en foret, on s'identifie alors très vite à eux et l'angoisse est d'autant plus forte alors lorsqu'au bout d'une journée de marche les personnages se retrouve a leur camp du matin. On à l'impression d'avoir vraiment marché avec eux et donc de ressentir nous même cette situation incompréhensible qui s'abat sur eux, contrairement à un autre film ou aurait juste vu les personnages égaré d'un point vu exterieur. Le film repose sur une monté en pression constante, les personnages sont confiant au début, puis commence à douter quand il se perdre, prenne peur quand ils trouvent des symboles vaudous, sont terrifié lorsqu'il entendent des bruit humain roder autour de leur tente, ect.. Le problème est alors que toute cette tension accumulé ne débouche sur rien, le film se termine d'une façon trop abrupte.

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13 février

Le début est vraiment très bon. Ambiance film noir, avec ces imperméables à la Melville, ce brouillard omniprésent. Puis ces grandes figures masculines : Jacques Berthier qui se sort indemne des griffes du juge, l'apparition de Lino Ventura tapis dans l'ombre en ange de la mort impitoyable. Le film s'annonce grandiose. Seulement voila, il y a un témoin au meurtre parfait, et Lino et obligé de le prendre en chasse. On va donc suivre se témoin, ainsi que son quotidien, son entourage. Et son entourage son des gens du bistrot, au antipodes du film noir donc, preuve en ai de Robert Dalban au casting, habitué à incarné le personnage comique. Puis cette traque est longue, Lino ne peut jamais en terminer avec le témoin car il y a toujours un imprévu (un client monte juste avant lui, le témoin est rejoint par un invité non pevu). On se demande si cette situation ne vas pas être étendu artificiellement jusqu'à la fin du film. Là ou Ventura était présenté comme un tueur ayant planifié son meurtre comme un professionnel du crime, il subit durant tout le film les verrouillage d'un simple chauffeur de taxi. Le personnage de Ventura est donc assez vite discrédité. Ventura se fait piéger bêtement par le chauffeur, ce qui le discrédite toujours plus, mais cela permet de renverser la situation. Le traqueur devient traqué. Le problème est que cette situation arrive trop tard. Là ou dans "Le Samourai" Delon est traqué des le début, on se demande vraiment si celui va s'en sortir. Ici, on sait que cette traque est introduite seulement pour conclure le film sur la perte de Ventura. Difficile alors de s'identifier quand tout espoir est vain. Bref, un film qui ne tient pas ces promesses, mais qui m'a renforcé dans mon idée de voir "Le deuxième souffle".

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13 février

Les acteurs sont vraiment pas bon. Frédéric Andrei n’a clairement pas le charisme pour porter un rôle principale. Thuy Ann luu à connu la postsynchronisation et on entend que ça (le film à eu l'oscar du meilleur son wtf??). Gérard Darmon est tout sauf taillé pour les rôles de vilains (quand à son acolyte on dirait Squezzie mais qui se prend au sérieux). Les deux autres méchant sont méchant parce qu'ils ont des lunettes américaines et une voix graves. Comment prendre au sérieux cette poursuite de deux heures avec des antagoniste autant ridicules ? Les flics ont le charisme d'une huitre aussi, ça équilibre la balance au moins. On finit tout de même par se laisser porter par l'histoire mais il y a vraiment pas grand chose de bon.

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22 février

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23 février

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28 février

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4 mars (en salle)

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6 mars

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9 mars

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15 mars