Films vus en 2023

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15 janvier 3 ème visionnage

En salle avec Jeanne (son film préféré)

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15 janvier (en salle)

Le long métrage est à l'image de sa scene d'introduction, (une fete démentiel de prés de 30 minutes), beaucoup trop long. le film va à 200 à l'heure, passant de sequences vulgaire à outrancières sans jamais nous laisser souffler. On en vient vite à saturer, comme si on manquait d'oxygène. Le film n'a pas vraiment de fil narratif si ce n'est suivre les 3 personnages principaux dans leur mésaventure au sein de l'industrie hollywoodienne. Diego Calva est le protagoniste principale, avec qui on découvre les coulisse d'Holywwod. Cependant il est difficile de s'attacher à lui tant le personnage est terne. Il en va de meme pour Margot Robbie qui joue un personnage écervelé sans trop de nuance. Chazelle essaye d'instaurer de la tragédie au sein de son film, mais difficile d'être émotif à la fin de carrière de Brad Pitt quand on a subit 2h30 de scene de vomi et de caca. Il en va de meme pour l'histoire d'amour loupé entre Margot Robbie et Diego Calva. La photographie est plutôt réussit, et Chazelle sait tenir une camera, mais a faire trop de travelling, de zoom, et de mouvement camera incongru, on est plus marqué par la prétention que par la maitrise de la mise en scene. Alors oui la scène finale est plutôt pas mal, montrant que malgré que l'industrie soit pourris jusqu'à la moelle elle peut accoucher d'oeuvre artistique exceptionnels. Mais les 2h50 qui la precede ne nous apprends pas grand chose que l'ont ai pas déjà vu ailleurs.
Chazelle à voulu réaliser son chef d'oeuvre, au final il ne fait que donner naissance à un film beaucoup trop prétentieux, bouffé par son ambition.

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16 janvier

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17 janvier (en salle)

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20 janvier

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20 janvier

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21 janvier

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22 janvier (en salle)

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25 janvier

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26 janvier

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27 janvier - 2 ème visionnage

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29 janvier

un film se voulant parodique et novateur en reprenant les codes déjà établi des films d'horreurs de l'époque. Force est de constaté qu'aujourd'hui
En reste une scène d'introduction réussit

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30 janvier

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31 janvier

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2 février

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7 février

Beaucoup trop d'attentes après A touch of zen

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9 février - 2eme visionnages

Parfois il est préférable que les souvenirs d'enfance gagnent à en rester là

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9 février - 5eme visionnages

Revu en VO sans sous titre, heureusement que je le connais par cœur sinon ça aurait était compliqué.

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10 février

Ce qu'il y a de moins mauvais dans le De Niro post 97. Un comédie sans prétention.

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11 fevrier

Film d'une niaiserie sans nom. Ce qu'Hollywood propose de pire. L'histoire d'un jeune chercheur qui va réussir à faire revenir à la vie des personnes plongé dans un profond comas. Evidement c'est Robin Williams qui à le role, son jeu ne change pas des guimauveries dans lequel on a l'habitude de le voir. La réalisation est académique au possible, la musique larmoyante, insistant bien sur les moments ou l'ont censé verser une larme. Le film dégouline de bien pensance, du meme acabit que La ligne verte. Si ce n'est pour voir De Niro à l'écran, se film est dénué de tout intérêt.

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12 février

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14 février

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16 février

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16 février

Le déchirement entre l'élan ardent d'une vie embrasée de passions, de risques; et l'optique pondérée d'une existence sage.
Un dernier plan atterrant.

Joaquim Phoenix, à fleur de peau, délivre sa plus belle prestation. Le meilleur Gray.

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20 février

Quand on pense à Mud, on pense à la beauté. La beauté de la nature, protagoniste du film comme elle l'est dans le cinéma de Malick. Autour de cette nature, l'intrigue se déploie en réussissant un merveilleux mélange de genre : drame, western, film de gangster, histoire d'amour. Film sur l'enfance et sur la découverte de soi, porté magistralement par Mcconaughey,

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20 février

Je fais parti de ceux ayant beaucoup aimé Les petits mouchoirs : drôle et émouvant, un film de copain avec une distribution 5 étoiles. Si le premier film abordait des thème profond comme l’abandon ou le deuil, celui ci n'aborde rien. Les personnages sont réunis dans l'unique but de tourner une suite au succès qu'avait était le prédécesseur. Le film n'est pas particulièrement drôle et cela se ressent sur la durée : le film m'a paru deux fois plus long que le premier alors que les petits mouchoirs se veut plus long de 10 minutes.

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20 février

Road trip romantique sur fond apocalyptique, c'est comme ça qu'Arte avait réussis à me vendre le film à travers un de ces Blow-Up.

Mis à part la sobriété du jeu de Steve Carrel, il n'y a pas grand chose à retenir de ce film assez anecdotique. La romance se met en place tardivement il est alors difficile de prendre au sérieux se revirement émotif. Le dernier quart d'heure sombre dans un pathos abscons.

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21 février

Trop hermétique pour moi. P.T Anderson, au fil de sa carrière, et à l'instar des grands réalisateurs (Tarkovski, Tarr,..), fait le choix de la radicalité : développer ces idées sans se soucier d'embarquer avec lui le spectateur. Resté sur le carreau, aucune émotion ne m'a traversé durant ce visionnage.

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22 février

Je savais que ça allait être violent. Je ne savais pas à quelle point.

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23 février

Micheal Douglas reçoit une invitation de la part de son frère pour participer à un jeu étrange organisé par une société de spectacle, ayant pour but de le sortir de sa morosité quotidienne. Il n'y a aucune règle énoncé, et le jeu viendra s'immiscer dans sa vie à un moment donné.

Dès que le jeu commence, le protagoniste va subir des évènement de plus en plus perturbant, de plus en plus en plus alambiqué qui va le faire rentrer petit à petit dans une spirale infernale. Sa vie va devenir un enfer, au point de se demander si il s'agit toujours d'un jeu ou si se n'est pas sa vie qui tourne au drame.

Mais cette fin.. Quelle catastrophe. C'était décevant. Tout était réellement planifié depuis le debut. C'est de l'ordre de l'impossible que de planifier des choses de cette ampleur, même pour la société de genie que l'on nous as dépeint. Comment pourrait elle anticiper le moindre fait et geste de Micheal ? Savoir exactement ce qu'il va faire, par où exactement il va passer ? Ca ne tient pas debout, surtout qu'il risque sa vie plusieurs fois, comment savoir si il va s'en sortir vivant ? Le dernier acte avant la révélation de la supercherie en est l'exemple type : le protagoniste se suicide en sautant du toit, chute de 30 mètres, passe à travers un plafond de verre et finis sa chute sur un gros bac gonflable. Et si avait sauté 10 mètres plus loin ? Il serait mort. Tout deviens alors incohérent. Et tout ca dans le seul but de lui monter que l'argent lui était monté à la tête et l'avait rendu complètement con ? Bref, un des moins bon Fincher