Films vus en 2023

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Un début intriguant : une intrigue décousue en échos à l'incompréhension de la situation absurde que vivent les protagoniste. On les suit courir après des pistes qui semblent sorties de leur chapeau jusqu'à Bruxelles et puis le film se perd en longueur. Le développement des personnages et de l'intrigue perd en intérêt pour rentrer dans un film d'espionnage plus classique mais sans developper suffisamment le complot qui se joue et qui frôle pourtant des thèmes interessants.

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J'avais des attentes, j'ai trouvé ça trop long au milieu du film. L'idée est marrantes et les personnages attachants mais pfff... Je ne suis pas sortie conquise

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Un film photographique sur la photographie, fait de photographies. On voit le processus technique de la photo sur verre détaillé. Les plans sont très beaux, ils se succèdent comme une suite de photographie, un album dont la juxtaposition reconstruit l'histoire. Des photos naturaliste qui se changent parfois, au coeur d'une nature magique, en motifs surréaliste.

Un film sur l'ambiguïté paysage/nature. La nature islandaise a un rôle primordial dans le film. J'imagine a quel point la réalisation du film en elle-même a du se faire avec la nature : la patience pour capter le bon moment du jour ou de l'année, le temps de recherche pour sélectionner chaque endroit et trouver le bon cadrage, la possible distance à parcourir entre deux plans pour avoir le bon paysage à cadrer...

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Première partie moyennement interessante. On souffle devant un mariage bourgeois et hétéro qui s'ennuie.
La deuxième partie du film est sympa. La projection/dissociation des personnage et leurs dialogues sont plaisant.
La troisième partie est fatigante. On souffle devant les clichés psychanalytiques oedipiens da la relation incestueuse père/fille rejoués dans le mariage.
La quatrième partie est fade avec son discours de "libération" éclaté et pleine de stéréotypes. La quinqua bourgeoise qui a passé sa vie à se mentir et à jouer des rôles qui crée une association pour aider des jeunes qui souffrent. Tout ça pour, en réalité, parler d'elle et leur raconter sa fabuleuse histoire d'émancipation censée les inspirer. Pfff... On souffle.

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Le début est touchant sans être resservant. On a beau s'attacher aux personnages, il ne font pas oublier les longueurs d'une première partie qui s'éternise. La fin est bouleversante de mélancolie et nous fait oublier que le film est resté trop longtemps sur le mode de la tendresse. Mais il y est tout de même resté trop longtemps.
Traitement des souvenirs interessant, à creuser...

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Euh ? Pff

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Voir "La Fiction Réparatrice" d'Émilie Notéris, chapitre "Is Gone Girl really gone ?" et le concept de "comédie du remariage" : l'épouse qui joue la mascarade de la féminité pour accéder au mariage et qui, plus tard s'enfuit pour revenir et signer un remariage donc, dont elle aurait, cette fois, elle redéfinit les terme, le mari devant accepter son elle désirant et non plus son image désiré. J'aime imaginer Noémie Lvovsky lire se chapitre et se dire que, décidément, non, "le remariage n'aura pas lieu" car il n'a pas lieu d'être.

Voir aussi, en vrac (et à développer) :
- Les personnages sont attachants et interessants.
- Les propos politiques et philosophiques sont subtils et, selon moi, pertinent.
- Le propos sur l'illusion et l'illusion du cinéma est bien ficelé. Elle choisit de briser l'illusion du cinéma pour nous y faire souscrire à nouveau plus fort : elle veut nous faire choisir de vivre l'illusion.
- Jeu d'acteur se transforme en jeu d'enfant (montre que le jeu est un jeu)
- Le cinéma est un "tissus sensible" sur lequel la réalisatrice vient projeter son film. L'illusion du cinéma veut nous faire oublier ce tissus pour projeter ses images en nous directement. Ici Lvovsky nous donne le "tissus sensible du cinéma" pour ce qu'il est. Les moments de contact avec ce tissus n'en est que plus fort et crée cette "nouvelle expérience cinématographie" que je recherche. On ne vit plus les émotion à travers l'écran mais contre l'écran : on ne ressent plus des émotions pour les personnages mais avec eux.

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Ça m'a pas beaucoup intéressée. Pourtant le personnage avait le potentiel pour est interessant et me plaire personnellement mais je ne m'y suis pas attachée. Souvent un peu facile, pas toujours crédible - la fille adoptée qui est triste et en colère, qui n'a aucune attache et peut tout quitter du jour au lendemain, qui semble ne rien attendre de rien mais quand même un peu de retrouver sa génitrice...
L'intrigue principale de la retrouvaille des parents biologiques est un peu trop cliché pour être vraiment interessante. Pourquoi ne tient-elle qu'à retrouver sa mère ? Pourquoi le film fini par nous donner la rencontre, trop attendue, avec sa mère pour ne rien en faire ? Cette ligne narrative est pourtant un peu éludée, ce qui aurait pu être interessant mais rien ne prend le relais. On la suit sans trop comprendre ce qu'on cherche à nous montrer ou à nous dire.
Et puis pourquoi avoir choisi une actrice visiblement lesbienne pour la mettre en couple qu'avec des hommes. Et pourquoi elle fini en couple avec un mec gay ?

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L'eau, la terre, l'air et le feu
L'eau, la terre, l'air et le feu
L'eau

J'ai étonnamment bien aimé, je ne me suis pas ennuyé. Pourtant je saurais pas vraiment dire ce qu'il s'est passé devant mes yeux. La photographie est belle. La FX beaucoup moins. Ça aurait pu créer un truc interessant (peut être le but ?) : des images volontairement "surnaturelles" au milieu d'un film très naturaliste. Ça marche sur le plan de la respiration de la terre. Mais plus tant après, ça fait cheap...


Domestication : barrage et thé ; briques et four ; poudre qui s'envole au dessus du four ; feu sous le four pour cuir les briques.
Destruction : les courants qui noient et la pluie qui détruit l'argile ; le retour à la terre ; le mirage ; incendie du camp
Guérison : guérit les plaies détruit les mirages

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Le contexte de visionnage était pas optimal (plusieurs arrêts, DVD qui saute, coup de fatigue, etc.). Je crois qu'il m'aurait mieux plus si mon cerveaux avez était mieux disponible à l'interprétation. Je suis passé à côté d'un pan du film qui je pense m'aurait beaucoup plu - analytique peut-être, notamment de la mise en scène.
La critique du marché de l'art m'a fait beaucoup rire, la scène de l'interview bullshit sur l'art était parfaite !

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Début prometteur, la fin m'a un peu perdu : moins drôle, moins clair...

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La forme n'a aucun intérêt. Et la réalité a l'air plus interessante que le film. Alors pourquoi ? Pourquoi une pas avoir fait un podcast de "retranscription" du procès ? Pourquoi les acteurs jouent mal ? À quoi rime le sur-jeu théâtral ?
Bon.... À chaque fondu au noir j'espérais que ce soit la fin.

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Je me suis vraiment pas fait chier une seule seconde, mais je suis pas capable de dire ce qui m'a intéressé. J'ai pas ressentit grand chose.
J'ai compris très vite que l'intérêt du film n'étais pas de "dénicher" la vérité. Et je crois que j'ai passé tout le film a essayer de "saisir" le but du film. Qu'est ce qu'on essayait de me montrer ? Un peu perdu par le point de vue dans lequel j'était placé. Je sais pas, j'ai pas ressenti grand chose quoi. C'est tout. Et en même temps je me suis pas fait chier. Je suis confuse. Perplexe...

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Ça va, c'était marrant. Hyper classique dans la forme. Venant de mecs de YouTube je trouve ça un peu triste de pas essayer de renouveler la forme, d'inventer des trucs quoi !
Je me permet d'imaginer, même si c'est pas explicite du tout, que le côté états-unien est parodique.

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Woa c'est d'un classique terrifiant ! J'ai du le voir en vf ce qui n'aide certainement pas

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C'était un peu touchant, intéressant sur l'univers du vin. On aurait peut être peu rentrer plus en profondeur dans la relations des frères et soeur. Genre les voir plus, sans rien dire, voir des émotions en dehors des grands sentiments. C'est un film qui prends un peu le temps, il aurait pu le prendre vraiment

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C'était émouvant. Il y a des films qui racontent des choses interessante et des films qui nous font raconter des choses intéressantes. Ce film fait parti de la première.
Même si crois que je préfère la seconde catégorie, je suis heureuse d'avoir voir vu ces histoires. Pendant le film je me sis même dit que je voulais en voir plus : d'autre récit de ces processus de justice réparatrice. Aussi parce que tout se finit bien et que je me doute que c'est pas toujours le cas. Je voulais suivre plusieurs groupe de discussion, plusieurs personne seule qui font appellent à ces services aussi, en voir plus et multiplier les expériences montré. Parce que le sujet est passionnant. Et ça c'est plutôt bon signe quant à mon avis sur le film je pense.
Je crois que dans "Anatomie d'une chute" quelqu'un dit que la fiction est le meilleur des documentaires. C'en est un brillant exemple ! Aristote aurait VALIDÉ !

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Franchement j'ai rigolé

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C'est évidement toujours aussi beau. Incroyablement inventif dans la forme, et les manipulation de la matière et de la réalité. Mais j'ai trouvé la trame narrative moins complexe que certains autre de ses films. Un peu moins intéressante et prenante, un peu moins mystérieuse et difficile à saisir. (la complexité des imbrication narratives, ça fait parti du charmes des Miyazaki !)

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Visuellement inspirant. Histoire d'amour qui ne méritait pas un film... Peut être elle l'aurait mérité sans ce happy end qui n'avait pas du être ? Un retour conscient à la médiocrité pourquoi pas, mais pourquoi ne pas briser l'idée du conte fée ?