FILMS VUS EN 2024

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Paranhollywood prétentieuse. Morale "tous ensemble tous ensemble" complètement débile, effets spéciaux dégueulasses et placement-produit (pour la série Friends) complètement golmon.

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Dans l'esprit, ça ressemble un peu à des vieilles bédés trash des années 90, genre Lobo ou The Spawn, mais c'est juste de la grosse daube à faire passer Guy Ritchie pour un grand intellectuel. Le genre à être pondu par ChatGPT quand on lui demande "mélange Dracula et Mafia en mode post-Tarantino/post John Wick". Fuck off.

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Trois films en un : 1. la vie quotidienne d'une chef d'orchestre en mode quasi documentaire, 2. le portrait d'une femme non sans faille subissant la cancel-culture, 3. la sale ambiance glauque à la Répulsion/Locataire de Polanski, avec des voisins effrayants, l'oppression urbaine et des bruits bizarres dans le frigo. Vraiment bien, malgré un début très prétentieux et une fin pas vraiment convaincante.

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Pitch encore passable si c'était un épisode de The Twilight Zone ou une nouvelle de Stephen King mais là c'est tellement mal branlé, joué, monté, imaginé que ça nous fait juste 1h40 de perdues. Ca en rira pas mal sur Nanarland en 2060.

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Drôle de film, le cul entre le cinéma à l'ancienne mal joué, théâtral et tout amidonné et le néo-réalisme fin sixties/seventies. Bizarre aussi de tirer une romance hollywoodienne, certes fucked up, de ce qui n'est pourtant qu'une histoire de bouseux brutaux et alcooliques draguant tous une allumeuse concon. Tourné dix ans plus tard avec Shelley Duvall, Gene Hackman et James Caan, j'y aurais cru davantage. Super moment de cinéma, cela dit, quelque peu hallucinant même.

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Consternant. Comment peut-on rater à ce point un film au pitch pourtant parfait? Quelle horreur aussi pour Ray Liotta de mourir juste après cette bouse lui salissant le nom à jamais!

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Chouettes archives mais traitement arty-farty particulièrement pénible.

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Ils se seront moins emmerdés 72 jours à crever de froid dans les Andes que moi 2h24 devant leurs déboires rejoués à l'écran, je pense. Hohoho.

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Moitié Mad Max lubrique 5 ans avant Mad Max, moitié Le Village du Prisonnier 5 ans après le Prisonnier. Le tout avec un bobtail qui parle comme K-2000 7 ans avant K-2000. Pas vraiment convaincant mais assurément curieux.

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Beaucoup plus drôle que prévu par la bande-annonce mais quand même pas terrible non plus. Souffre fort du "syndrome Bill Murray vs Chevy Chase" tel qu'expliqué par Tarantino : qui a envie de voir Bill Burr pleurer et promettre de changer à la fin d'un film où il a avant cela fort jouissivement insulté tout ce qui bouge? Never surrender, Bill.

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Ca m'avait fait rire enfant et consterné adolescent. Là, adulte, j'ai souri quelques fois et apprécié la musique, certains détails et la toute fin, mais ça reste tout de même un film auquel je n'accroche pas : vannes nulles, allusions constantes au cul, scènes avec le vampire gay bien pourries (sauf quand il s'énerve!) et slapstick de boomers. N'y manque vraiment qu'une bataille de tartes à la crème et des proutes (à l'ail)...

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Dommage que ce soit tourné façon téléfilm fauché parce que ça aurait pu être épique, cette affaire. Reste une belle galerie de salopards avec de très bons acteurs prenant visiblement beaucoup de plaisir à jouer la fisdeputerie décomplexée. Surtout Rochefort, impeccable en ordure calculatrice mais surtout tarée. Cool shit.

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Littéralement consterné. Faut tout de même bien s'entrer dans la caboche qu'il y a 40 ans, ce même scénario serait juste passé pour un sketch un peu homophobe de Benny Hill. WTF de compète, ce film!

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Thrillers bidons des années 80/90 mis à part, ceci serait-il le plus mauvais film de Schlesinger?

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Motocross, frites, fanfares, vénalité, médiocrité, homophobie et beaucoup de vraies bites dans ce qui reste pourtant le film le plus sage que j'ai vu de Verhoeven. Ce qui n'empêche un type d'être violé, cela dit.

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Presque parfait. ACAB!

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Marrant de voir cette merde qui se veut ultra-provoc juste quelques jours après un Verhoeven bien plus chargé et néanmoins moins ramenard. Je dis "merde", mais ça va en fait : juste un mix neuneu mais regardable de Rules of Attraction et The Talented Mr Ripley, principalement destiné aux Millenials illettrés. J'étais bourré, j'ai bien rigolé.

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Network du pauvre, Dr Strangelove du con. Nul, pas totalement, mais presque.

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Malgré des scènes de combat chorégraphiées par Stevie Wonder et le fait que cela ait été tourné en pleine de période de déclin de la Hammer, ce n'est certainement pas la pire production de la boîte. Scénario carrément pas mal, en fait. Cela dit, j'ai bien l'impression d'avoir vu une version (DVD) dont il manque des scènes. Qui est le sosie d'Edgar Allan Poe dans la taverne? Qui est la femme aveugle? Et, surtout, Kronos cogne-t-il ses meufs quand il les baise?

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Cousu de fil blanc et entièrement tricoté à la culpabilité blanche : un vrai nanar de gauche.

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Fort plaisant, dites donc. Un Ingloriouz Basterds pour adultes!

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Drôle de film, à la musique insupportable genre Boléro de Ravel et à l'humour lourdingue mais malgré tout parcouru de bien chouettes moments de tension et/ou tordus. Pas très impressionnant, ni horrifique, mais sympa.

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Immensément influent, tant sur le jeu vidéo (GTA) que sur d'autres films (Drive, etc... mais peut-être bien Heat aussi et peut-être même encore American Gigolo à un certain niveau), ça n'en reste pas moins complètement con.

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Sorte de mix propret entre Shivers de Cronenberg et The Crazies de Romero. Et peut-être bien aussi l'origine de la conspiration des chemtrails. Curiosité planplan mais pas mauvaise.

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Les maniérismes de Truffaut (la déclamation, les scènes oniriques pouet pouet) me feront toujours marrer mais ce biopic d'Adèle Hugo, fille de Victor, complètement cinglée et harcelant un militaire, est plutôt bon. Faut dire qu'Adjani est toujours parfaite dans les rôles de complète cintrée.

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Globalement fort bien même si aussi quand même bien arty-farty. Ma question piège : la scène finale est-elle volée à From Hell d'Alan Moore?

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Premier film d'Elia Kazan, mélodrame à dégommer les kleenexs, cela dit non sans humour, ni optimisme. Encore assez "théâtre filmé", Kazan ne se montre pas encore aussi top et moderne que dans les années 50.

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Quasi chef d'oeuvre, mais les morts sont quand même vite expédiées, haha!

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Ryan Gosling est ici l'une des plus grosses erreurs de casting de l'histoire du cinéma mais ça reste sinon plutôt bien, après toutes ces années. Kitsch mais bien. Big up à Albert Brooks, Ron Perlman et au type en training; impeccables "méchants". Et au feeling seventies.

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J'en avais un bon souvenir. C'était avant de le revoir.