Films vus en 2024

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Janvier - Vu

Un des rares Tarantino que je n'avais pas encore vu. Très bon film qui propose en quasi huit clos où se retrouvent enfermés des anciens ennemis de la guerre de secession et d'autres dont l'identité et régulièrement mise en doute.

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Janvier - Vu

Deuxième film de l'année, deuxième production avec Jennifer Jason Leigh en protagoniste principale et surtout deuxième Cronembreg (après sa découverte en 2023 avec Videodrome) N'étant pas encore assez "formaté" à son cinéma je ne peux que constater avec plaisir une mise en avant dérangeante du body-horror et un questionnement permanent opposé au spectateur. En revanche, je suis un peu moins convaincu par Jude Law & Jennifer. Est-ce pour ces personnages assez fade qu'ils incarnent ?

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Janvier - Revu

J'avais oublié que le film prenait son temps. Pour exposer l'équipage, leurs objectifs. Un véritable crescendo de l'angoisse. J'avais oublié à quel point la scène finale avec Ripley était érotique. En revanche, je n'avais pas oublié la peur engendrée par le monstre.

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Janvier - Vu

Sur le papier, le quotidien d'un nettoyeur de toilettes publiques dans le Tokyo contemporain n'a rien d'intéressant. Pourtant notre héro, bien que taciturne, est une merveille de profondeur. Petite-main minutieuse sur des taches ingrates au quotidien, il termine ses services dans une immuable routine qui se base sur l'hygiène, la lecture, la photographie sans oublier le lien social. Toujours heureux, son simple sourire aux lèvres dans les petits moments du quotidien vient illuminer le film. Beaucoup de mystère restent à l'issue de ce film : De quel milieu vient-il ? Pourquoi est-il seul ? Jusqu'à cette scène finale où l'émotion de notre héro est à son comble et pourtant si complexe.

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Janvier - Vu

Roméo et Juliette modernisé façon guerre des gangs des USA contemporains. La photographie est belle, la couleur judicieusement utilisée et certains plans sont assez astucieux (la scène de rencontre au bal notamment). Seulement j'ai détesté ces petites frappes clichées toutes gentilles, qui ne fument pas, ne boivent pas, ne jurent pas. Une bande d'adolescents sans intérêts qui semblent être les rares individus à peupler le quartier. Quant aux musiques, cœur d'un film du genre, elles m'ont laissées indifférent.

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Janvier - Vu

On ne peut contester la mise en scène grandiose, les panoramas somptueux, le nombre de figurants titanesque, la diversité des paysages et des intérieurs. Une prouesse technique sans aucun doutes. D'ailleurs, le film prends aussi le parti d'aborder la thématique du moyen orient, avec une certaines bienveillance, pendant la Guerre,et de ses problématiques. Pourtant, que c'est lent ! Il m'est arrivé de passer certain passage du film en vitesse 1,5 (une première !). De surcroit, le personnage de Lawrence est assez agaçant par son égocentrisme. On notera aussi une autre point assez dingue : Aucune femme à l'image en dehors des figurantes esclaves / cadavres violés. Enfin, les belligérants locaux prononcent bien volontiers le nom de "Dieu" mais seulement deux fois d'"Allah". Tout ça dans un Anglais impeccable.

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Janvier - Vu

Tom Jones est un personnage détestable. Il trompe, il boit, il cabotine. Un parfait con qui pourtant prétend être éperdument amoureux et que nous allons donc nous farcir comme héro. Ce supplice visuel nous dresse aussi l'image d'une population anglaise du XVIIIe siècle qui oscille entre pécords idiots et bourgeois crados. Mention spéciale à la ribaude, qui séduit notre Tommy, maquillée comme une voiture volée. Ah oui, c'est censé une comédie, aussi. Censé. Je n'ai pas esquissé le moindre prémisse de sourire, moi qui suis pourtant le premier à m'esclaffer comme un bossu au moindre pet de moineau.

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Janvier - Vu

Le féminisme peut s'illustrer de manière populaire et médiatique grace à de grosses productions comme Barbie mais ce genre d'oeuvre est bien au dessus, aussi bien en termes de réalisation, de visuels et de subtilité. La progression de l'héroïne, habillement amenée par cette créature de Frankenstein Victorienne, est jubilatoire. Le message est sublimé par cette liberté progressive qui débute dans la découverte du corps et se poursuit dans l'ouverture d'esprit grace au livre. L'héroïne s'extrait des contraintes imposées par les figures masculines pour se découvrir. Au delà du message, le film est aussi une prouesse visuelle avec ses décors et costumes colorés dans cet étrange univers rétro-futuriste. Emma Stone est brillante et incarne avec passion ce personnage fou.

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Janvier - Vu

Sorte de Pygmalion et Galatée moderne, notre Maitre enseigne à cette femme quasi mendiante et illettrée les manières de la haute société. Si sur le papier l'idée est très bonne, l'exécution laisse à désirer : La transformation de l'héroïne se fait en une quasi-ellipse ponctuée de moment musicaux dont je n'ai rien retenu de mémorable. Ici encore, la conclusion m'échappe : Comment une jeune et indépendante femme se retrouve à servir les chaussons de ce vieux con suffisant affalé dans son fauteuil ? Ça me dépasse. Heureusement, la prestation d'Audrey Hepburn est bluffante et les décors et costumes sont très beaux.

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Janvier - Vu

Je n'aime toujours pas le genre "comédie-musicale" mais il faut reconnaitre que celle-ci est efficace. Une belle histoire sur une femme qui cherche sa voie. Elle pense s'enfermer dans un couvent mais sa soif de liberté la conduit dans une famille d'un père veuf qui élève "seul" ces 6 enfants, tous aussi fripons que mignons ! Évidement, l'histoire se déroulant en Autriche à la fin des années 30, la conclusion se dessine d'avance mais est plein d'espoir. Les panoramas et les costumes sont impeccables, tout comme les mélodies entêtantes.

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Janvier - Vu

L'histoire de deux couples unis depuis des années dont l'osmose va être brisé par l'arrivée d'une nouvelle personne. Sans être bouleversant d'originalité le rythme est solide tout comme les jeux d'acteurs. Le film surprend même parfois en esquivant des évidences et offre une conclusion qui nous plonge dans les remords de l'instigateur de l'affaire.

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Janvier - Vu

Terrible contraste entre cette maison qui pourrait s'apparenter à celle d'une famille Allemande aisée quelconque et cet horizon terrifiant où se dresse les miradors, les fils barbelés et cette fumée constante. Parallèlement à ces petits tracas du quotidien, c'est le sons permanent hors champ qui vient glacer le sang. Hurlements, ordres, cris, coups de feu ... Une horreur qui vient trancher radicalement avec ce qui nous est présenté à l'écran. Une histoire vraie et pourtant si irréaliste qu'inhumaine.

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Revu - Janvier - Séance "Ciné Hits".

La présentation de cette séance par Jean Jacques Anneau a été riche en informations : Le travail des historiens pour la fidélité ; La construction du chateau sur mesure ; Le Sean Connery qui n'était pas le choix de base du réalisateur. Bref, au delà de ses éclairages c'est avant tout un des meilleurs, si ce n'est le meilleur, policier prenant place à cette époque médiévale. L'ambiance est sombre, glauque et paradoxalement avec beaucoup d'humour.

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Février - Vu

Oui, le personnage de Sir Thomas Moore mérite d'avoir plus d'écho et ce film lui rend hommage. Paul Scofield incarne avec justesse la rigueur qui a scellée le sort de cette homme hors du commun. Seulement, au delà du sujet évoqué, la réalisation est catastrophique : Décors pauvres et exigus loins du prestige d'une cours Anglaise du XVème siècle ; Costumes dignes des déguisement de grande surface plus communs ; Mise en scène quelconque. Par dessus tout ce sont les jeux d'acteurs qui sonnent terriblement faux ponctués de moments de gène absolue, comme cette scène de malaise hallucinant lorsque le bon Roi chante à sa nouvelle femme.

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Février - Vu

Particulièrement moderne quant on le compare aux précédents films récompensés de l'Oscar du Meilleur film, ce film de Norman Jewison, nous propose trois idées jusqu’à présent inédites dans cette catégorie : Un héro Afro-Américain dont la couleur sera au cœur de l'intrigue ; Des jeux et angles de caméras novateurs ; Une intrigue policière particulièrement bien rythmée qui ne se morfond pas dans une manichéisme patriotique. Bref, un très bon film qui restera dans ma mémoire de cinéphile.

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Février - Vu

Le vieillissement, c'est une fatalité. On peut penser le maitriser via la technologie ou le paranormal. Ou alors on peut l'accepter. Surréaliste mais terriblement drôle.

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Février - Vu

Quelque part, Dali est à la peinture ce qu'est Dupieux au cinéma Français : Surréaliste, extravagant mais incroyable. Solides interprétations de notre artiste par ces différents acteurs.

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Une comédie-musicale plutôt bien rythmée qui propose de magnifique décors et costume avec un très joli casting. Un film qui a marqué sans nul doute la pop culture puisque j'y ai retrouvé quelques répliques de séries que je comprends désormais ("May I have some more, Barney "HIMYM" ; "Consider youself at home, Andy, the Office)

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Février - Vu

L'histoire terrible de deux marginaux perdus dans une société contemporaine qui, si elle ne s'amuse pas d'eux, les ignores complétement. On s'attache pourtant à ces personnages atypiques dont la personnalité semble diamétralement opposée et où la scène finale vient apporter une conclusion douce-amère.

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Février - Vu

Vierge de "Dune" dans toute ses adaptations et origines, je découvre un univers de SF crédible et particulièrement impressionnant visuellement. Ces maisons qui se partagent le pouvoir autour d'un leader font beaucoup penser à Game Of Throne, le contenu choc et mature en moins. A côté de ça, l'ensemble des maisons, des protagonistes et leurs affiliations est quelque peu difficile à saisir mais néanmoins intéréssant. La trajectoire que prend notre jeune héro nous donne envie de connaitre la suite.

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Mars - Vu

Mon coup de cœur de l'année 2023 se confirme. A ce jour, mon Dupieux préféré.

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Mars - Vu

Un scénario fou qui brouille constamment la perception de ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas. Une dinguerie scénaristique qui n'est malheureusement pas soutenu par un casting exeptionnel, quand bien même Alain Chabat offre une belle performance.

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Mars - Vu

"La guerre c'est trop cool". Le portrait d'un homme égocentrique au possible dont l'objectif est d'entrer dans les livres d'histoire, pas de penser à ses hommes. Un général qui ne doit ses quelques succès qu'à ses ambitions personnelles au détriment d'innombrables vies humaines. L'important n'est pas la victoire mais SA victoire. Les scènes de combats, en revanche, sont spectaculaires et les paysages de morts d'après ces actions sont particulièrement choquants.

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Mars - Vu

La poursuite de ce réseau criminel par ces deux flics est plutôt bien amené et propose sont lot de filatures et de scènes d'actions mémorables. On regrettera cependant des personnages manquant à mon sens de profondeur et des "Français" qui n'en sont pas. Quand à la prétendu violence qui à valu pour le première fois à un film oscarisé d'être classé R, je la trouve très gentille.

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Mars - Vu

Je ne m'en lasserai jamais.

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Mars - Vu

Film dans le milieu de la pègre Américaine du XXe à l'opposé du Parrain, dans le bon sens du terme. Beaucoup d'humour et avec un message plus léger et joyeux. Le film propose son lot de rebondissements, notamment sur la fin. Paul Newman est incroyable de charisme.

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Mars - Vu

Visuellement et musicalement magnifique, Dune 2 propose une histoire qui se consolide avec des factions désormais établies. Les scènes d'actions sont très souvent époustouflantes et apportent leur lot de surprise. Le développement du héro est quant à lui assez dérangeant mais cohérent. On regrettera peut-être une durée un poil trop longue. Il faut espérer un dernier volet qui s'annoncer sur le papier très prometteur.

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Visuellement, les images de synthèses sont complètement dépassées. Ces créatures effrayantes qui ont pu traumatiser les jeunes spectateurs de l'époque ne feront que sourire les nouvelle générations. Pourtant l’atmosphère 90 se fait ressentir et on est porté par une histoire riche en rebondissements et scènes épiques, pour peu que l'on prenne conscience que nous sommes face à une production destinée aux enfants.

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Avril - Vu

De magnifiques décors et costumes pour sublimer l'histoire de la dernière reine de ce tyran. Féministe oui mais sans plonger dans l'idéologie totalitaire. Un Jude Law méconnaissable qui incarne cet homme aussi imprévisible que détestable face à une Aliwia Vikander intelligente et brave que je découvre et espère voir plus souvent au cinéma. Ce film aura eu le mérite d'éclairer une personnalité historique que je ne connaissais que peu. On regrettera cependant des longueurs au détriment d'un épilogue complètement balayé.

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Avril - Vu

Une comédie sympathique qui comprend son lot de situations savoureuses et de répliques bienvenues sur une bande de potes. Pourtant on a peine à s'identifier à ce groupe de petits bourgeois Parisiens qui semblent éloignés de la jeunesse de la majorité des Français. Quant au scénario, complètement absurde, il a le mérite d'offrir des scènes, à défaut d'être originales, efficaces.