|| FILMS VUS EN 2024 ||

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Sentiment de trahison aux deux tiers d'un film que j'étais en train de beaucoup apprécier. Quel est le message exactement ? Qu'il faut se méfier des prolos ? Qu'il ne faut pas croire au misérabilisme des jaloux qui voudraient avoir un train de vie qu'ils ne méritent pas ?
J'ai passé beaucoup de temps à lire des critiques et discuter avec des gens sur ce film, il m'a tout de même marqué.

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Revu avec H le 13/11/24. Toujours aussi queer.

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Vu et chialé avec H. On ne pourrait pas faire un film comme ça aujourd'hui, n'est ce pas ? - 05/02/24

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Vu avec H. Excellent pendant female gaze de Gone girl, en réalité, que j'ai vu juste après. Très bon film sur la justice, sur la manière dont on se forme une opinion, dont on tranche. On a dû passer 4h à regarder le film et faire pause tellement ça nous a fait réfléchir.

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Vu avec H.
Bouh les méchantes femmes manipulatrices qui jettent en pature de pauvres hommes innocents face à la justice

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Film compliqué, une métaphore de l'Anxiété, sans espoir, qui vient taper dans les mommy issues bien violemment, sans jamais sortir du côté cryptique, donc up to you pour te dépatouiller avec ce que ça vient remuer. Une genre de poésie kafkaïenne, dépressive et pessimiste.

Vu tout seul le 15/02/24

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Bwarf. J'ai eu du mal à le finir. C'est prévisible, dégoulinant de bons sentiments mais sans propos solide, tout tombe à plat, c'est ni assez loufoque ni assez dramatique, du coup osef. C'est dommage parce que le pitch promettait d'être au moins sympa, mais je me suis fait chier comme un rat.
Vu tout seul le 17/02/24

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Vu avec H le 15/03/24, ça m'a fait penser à la vidéo sur la logique génocidaire de Mass Effect, la morale de la fin en mode les colons sont très bien accueillis par les autochtones qu'ils ont l'intention de piller, j'ai trouvé ça eeew

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Quelques jolies images, et j'ai cru un instant que le propos sur la folie et la perception de la folie allait être un peu intéressant, mais pas vraiment. Ca raconte rien de spécial, au final, et le retournement de situation est vraiment wtf.
Vu seul le 21/03/24

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Tilda Swinton est géniale. J'ai bien aimé qu'on voie souvent les personnages écouter, et réagir en silence. J'ai trouvé ça trop long et détaillé, à un moment on a très bien compris le build-up, et ça ne monte plus vraiment en tension. Mais j'ai aimé la mise en scène du trauma, de la réminiscence, les bruits glissés de façon anodine dans les scènes, comme des échos... Par contre, je pensais qu'elle aurait un quelconque pouvoir de backlash à la fin, mais non. Elle subit, juste. Ca fait mal au coeur, de juste voir une femme se faire broyer par son propre enfant, et puis voilà.

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Vu avec H sous d, intense

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Pfffff en vrai c'est mal joué, les slowmo à l'infini c'est boring comme tout, les dialogues sont écrits avec le zgueg, j'en avais un excellent souvenir de baby queer, disons que je devais être facile à impressionner à l'époque

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Ca va, j'ai passé un bon moment. J'ai pas fait une analyse militante en même temps en tout cas.

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Après avoir vu la vidéo de Contrapoints sur le sujet, il fallait que je sache. Ben voilà, je sais. Je savais déjà en réalité.

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Vu avec Soli le 13/06/24

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Mon dieu que c'est chiant. Vu tout seul le 14/06/24

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Le propos de Ache expliquant que selon elle il n'y a pas de second degré dans le cinéma, et qu'on met en scène ses fantasmes, est très pertinent ici, je trouve. Tout ce que je vois, c'est le délire de pureté reproduit par un boug qui veut produire son propre Nymphomaniac, et tous les personnages masculins, même si rendus un peu ridicules à la fin de leur parcours, sont des pédos et des abuseurs dans le plus grand des calmes. Même le daron dit que son instinct paternel le protège de ses pulsions sexuelles ? La complaisance à gerber vraiment.
Vu tout seul le 20/07/24.

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C'était pas ce film mais "Queer planet", vu le 02/08/24 avec H. Des images magnifiques, un millier d'histoires incroyables, par contre faut doser sur le mot "queer" répété à toutes les phrases, et être pan, ça veut pas dire être polyamoureux, les gars.

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Film qui esthétise merveilleusement la transphobie dissimulée de sa réalisatrice.