Films vus en 2024 - XXIII ans

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Mort à la démone Allegra Geller

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Kubrickien

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esbroufe ostlundienne de petits jeux de pouvoirs

"Mise à mort du cerf sacré" était beaucoup plus réussi dans sa sobriété glaciale

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nous vivons dans une sauciétér..

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mou, pas très flippant, certaines scènes sont complétement foirées et par moments l'histoire est incompréhensible

Le remake américain s'en sort mieux

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*Vu au ciné*

C'est dommage ce trop-pleins de musiques tire larmes et ces plans de drones à la national geographic.

J’aurais aimé qu'on reste vraiment plus dans un aspect documentaire.

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*Vu au ciné*

La caméra n’existe plus on on se sent vraiment parmi eux.

Dans certaines séquences les travailleurs l’oublient tellement qu’on pourrait croire à de la fiction.

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Toujours cet humour et cette légéreté chers à Monia Chokri.

Une réalisation léchée et plurielle notamment avec ce basculement dans « l’horreur » à certains moments.

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*Vu au ciné*

Tout est génialement bien fait et senti dans ce film.

La photographie de ces grands espaces des Andes, la manière dont le réalisateur traite le sujet de la colonisation (la petite histoire dans la grande), les musiques, certaines scènes d'une dureté extrême (massacres, viols, meurtres).

La scène de fin retranscrit parfaitement la violence symbolique de la deuxième partie du film avec cette phrase de clôture parfaite :

"Voulez-vous faire partie de cette nation ou non ?"

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*Vu au ciné*

Palme du meilleur scénario amplement méritée !

Malgré ce super scénar l'effet rashomon étouffe quelque peu l'émotion.

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*Vu au ciné*

Magnifique fresque sociétale mongol avec Oulan Bator comme toile de fond.

Un film qui nous montre les problématiques d’une société mongol faisant sa transition entre la tradition et la modernité.

On voit cette petite famille vivre et galérer au quotidien, rien de bien extravagant, juste la vraie vie des vraies gens.

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Quelle énergie et quelle authenticité dans ce film qui oscille entre documentaire et fiction !

Que ce soit les gosses qui braillent (longuement), les engueulades, en passant par les scènes de liesses ou d’échauffourées, tout respire le réel.
Lier ces moments de vie réels à de la fiction ne donne qu’encore plus d’épaisseur à cette dite fiction.

La relation toxique entre Laetitia Dosch et Vincent Macaigne est super parce qu’elle est anti manichéenne, les deux ont leurs torts, ils se comportent comme des cons et ne font rien pour que la situation s’améliore.

Et quelle plaisir on a à voir tout ce beau monde péter un bon coup et rigoler à la fin du film !

Je pense bien avoir rigolé 5 minutes quand Vincent Macaigne demande à la serveuse asiatique si Arthur Harari à une tête d’avocat et qu'elle répond :"L'avocat, le fruit?"

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Comédie romantique sympatoche mais un film somme toute assez vain, je dirais même que son aspect « artificiel » me dérange.

J’ai trouvé « La bataille de Solférino » beaucoup plus intéréssant dans son propos et son parti pris oscillant entre la fiction et le documentaire.

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« Sibyl » n’est pas un mauvais film en soit mais il souffre de son scénario partant dans tout les sens et de sa narration trop décousue.

Le film ne nous laisse pas pas le temps de nous attacher aux personnages, certains malheureusement trop caricaturaux pour simuler une quelconque épaisseur.

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Un véritable film « d’épouvante ».

Kinski est terrifiant dans son maquillage vampirique, certaines scènes sont à glacer le sang.
Spécifiquement celle où Nosferatu rentre dans la chambre de Bruno Ganz depuis un tunnel bleu.

Les ambiances de mort et de désolation qui règne sur le film sont parfaitement réussies, notamment grâce aux superbes musiques.

Malheureusement la partie du film se déroulant à Wismar est trop vite expédiée.

La façon dont Herzog arrive à humaniser Nosferatu est assez troublante.

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Les 10 premières minutes sont tellement puissantes..

Jeux interdits est d'une justesse assez incroyable que ce soit dans la manière dont sont abordés les différentes thématiques, le jeu d'acteur des enfants ou bien la mise en scène de leur innocence face au monde des adultes.

Et qu'est ce que c'est mignon ce petit cimetière d'animaux !

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On pense avoir affaire à la typique comédie franchouillarde potache.

On a en fait un film avec un humour absurde qui fait mouche et une superbe illustration de ce qu’est d’accoucher.

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*Vu au ciné*

Une promesse hyper fantasque pour un film somme toute hypra convenu et qui sonne faux.

C'est quand même fou de mettre autant de sexe dans son film et de ne jamais réussir à le rendre érotisant ni même malaisant ne serait ce qu'une seule fois.

Pauvres Créatures est certes un délire visuel constant mais il souffre d'une platitude émotionnelle extrême et d'un propos vu et revu.

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Rigolo petit film de souvenirs de vacances.

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*Vu au ciné*

Voyage mystique aux confins de la folie.

Quel plan d'ouverture mémorable !

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Premier visionnage d’un film néo-noir chinois.

Une photographie incandescente, des scènes de violences poétiquement morbides, une ambiance envoutante qui nous place dans une torpeur lancinante, décousu comme ce scénario qui laisse entrevoir certaines séquences lunaires.

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*Vu au festival de Gerardmer*

Daniel Conversano pète les plombs en Turquie

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*Vu au festival de Gerardmer*

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*Vu au festival de Gérardmer*

Juste et rafraichissant.

Les musiques sont aux tops, la scène où Paul défonce la chauve souris est juste énorme.

Une grosse vibe Monia Chokri.

Génial pour un premier film !

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*Vu au festival de Gerardmer*

La réal est ok.

Reste plus qu’à trouver un scénariste, écrire des dialogues potables, apprendre à diriger des acteurs, gérer le rythme, puis savoir où va son film !