Films vus en Novembre 2023

Annotation :

Personne ne l'a noté mais Sidney Pollack a joué dans TOUS les meilleurs Thrillers de son temps : PRÉJUDICE, L'INTERPRÈTE (bon d'accord, celui-là, il l'a réalisé), EYES WIDE SHUT et donc MICHAEL CLAYTON.
La classe ? Le bol ? Le pif ? Ou les 3 à la fois ?

Annotation :

Un 'Murder Mystery' ludique et gentiment barré, un jeu d'espions hilarant et touchant à la fois, un vibrant hommage aux diverses formes artistiques européennes des siècles passés (de l'architecture au cinéma en passant par la bande-dessinée), une farandole de bons mots et de répliques tordantes, une BO formidable, une mise en scène brillante faite de mouvements d'appareils discrets mais toujours opportuns ; LE PARFUM VERT propose tout cela à la fois.
Son seul défaut : qu'il se termine quand on aimerait qu'il ne prenne jamais fin.
Nicolas Pariser gagne tous ses paris, les uns après les autres et se construit, l'air de rien, une formidable filmographie.

Annotation :

Petite pépite injustement passée inaperçue hors de ses propres terres.

Annotation :

Une tragi-comédie d'une acuité et d'une précision chirurgicale, dans son écriture mais aussi dans son interprétation !

Révision à l'identique

Annotation :

Léger en apparences mais d'une grande intelligence et d'une liberté inspirante.

Annotation :

Cocktail Molotov de genres et d'influences, riche, drôle, cru, simple et désespéré, renfermant une formidable histoire d'amour.

Annotation :

C'est fou comme il suffit d'1 film décevant ou de 2, 3 mauvais choix successifs pour perdre de vue des artistes et oublier leur talent essentiel dans un paysage comique monotone, puritain et formaté.
Pourtant les bienveillants Farrelly, en "anti-Solondz" généreux et régulièrement brillants, ont leur place réservée au panthéon des plus grands auteurs de la comédie américaine.
DEUX EN UN propose un dosage équilibré à l'assaisonnement parfait, de tout ce qui fait l'importance capitale de leur œuvre au sein de l'industrie hollywoodienne, sclérosée en matière de comédies.
Une réussite exemplaire jusqu'aux choix de casting extraordinaires.
C'est peut-être d'ailleurs, la meilleure prestation de Matt Damon, tous genres confondus.

Révision à l'identique

Annotation :

Entre ASSASSINATION de Dong-hoon Choi et THE AGE OF SHADOWS de Jee-woon Kim, CLIFF WALKERS emprunte le mélo flamboyant aux relents Woo-iens du premier et la rigueur formelle du second tout en évitant d'être aussi schématique et distancié.

Annotation :

Délices du verbiage, ravissements visuels, émerveillements sonores, MAGIC IN THE MOONLIGHT pétille et brille de mille feux.
Colin Firth y est parfaitement exceptionnel.
Et c'est peut-être le film de Woody Allen le mieux photographié depuis MANHATTAN.

Révision à l'identique

Annotation :

L'une des meilleures prestations de Jim Carrey, tous genres confondus.
Décidément, les frères Farrelly font souvent ressortir le meilleur des acteurs qu'ils dirigent !

Révision à l'identique

Annotation :

Amusante extrapolation autour du NIGHTMARE ALLEY de 1947, emballée à la manière d'une 'Screwball comedy'.
Le casting est formidable (Wallace Shawn ♡).

Révision à l'identique

Annotation :

Révision à l'identique

Annotation :

Surprise inespérée (malgré sa fin convenue) !
Serait-ce le meilleur rôle de Tina Fey au cinéma ?

Annotation :

Un film brouillon (photographie hideuse, caméra hésitante, montage à l'avenant) qui fonctionne finalement plutôt bien en tant que mise en abyme d'un script à l'auto-dérision constante, dans lequel on suit les tracas d'un réalisateur qui devient aveugle sur le tournage de son dernier film.
Belle ironie.
Et puis, il y a Téa Leoni ♡

Annotation :

Comme dans VERY BAD TRIP 2, le dernier quart d'heure gâche un peu la fête et c'est vraiment dommage.
Mais comme dans VERY BAD TRIP 2, les 90 minutes qui précèdent sont tellement bonnes qu'on pardonne facilement.

Révision à l'identique

Annotation :

Exemple caractéristique de comédie indépendante new-yorkaise dont on retient des personnages tangibles aux belles dynamiques et un casting d'ensemble vraiment excellent (notamment Liev Schreiber et Hope Davis).
Des défauts, eux aussi caractéristiques de ce type de production (prise de son chaotique, cadrages hésitants, mise en scène fonctionnelle, ventre mou à l'arrivée en ville) ainsi qu'un choix musical pas toujours très heureux, noircissent malheureusement le tableau et empêchent le film d'atteindre le niveau des meilleures comédies indépendantes new-yorkaises (de Allen, DiCillo et consorts) plus pêchues.
Malgré tout, EN ROUTE VERS MANHATTAN reste un premier film prometteur.

Annotation :

Révision à la hausse

Annotation :

Révision à l'identique

Annotation :

S'il règle certains problèmes du montage original (bye-bye les 15 premières minutes toutes pourries), ce re-montage expurgé de tout débordement gore et de toute violence trop "graphique", en rajoute d'autres.
Encore plus si le spectateur n'est pas fan de PRINCESS BRIDE ou si Fred Savage ne lui évoque absolument rien.
Le principal intérêt du "projet DEADPOOL" étant sa mise en scène décomplexée de la violence, l'entreprise 'DEADPOOL PG-13" était forcément casse-gueule.
Sans surprise, le résultat manque de sel et de peps.

Annotation :

Des extrémités sensuelles et magnifiquement filmées, d'une vingtaine de minutes chacune, prennent en sandwich un ventre mou et flasque sur un script gauche et hésitant.
Un troisième épisode maladroitement écrit et globalement décevant.

Annotation :

Révision à la baisse

Annotation :

Révision à la légère hausse

Annotation :

Révision à l'identique

Annotation :

Révision à l'identique

Annotation :

Révision à la forte baisse