Gamer v2024 (commenté)

Annotation :

Plus long, plus poussé que le 1er, il en perd un peu la magie de son principe assez fou : parcourir l'évolution du jeu vidéo le temps d'une aventure. Le jeu tire un peu en longueur, surtout que les nombreux aller-retour peuvent être un peu pénibles. Mais Evoland 2 fourmille quand même de très bonnes idées, et on prend plaisir à explorer tous les genres du jeu vidéo au travers d'une seule et même aventure. Le jeu est également très drôle.

Annotation :

On continue de créer des jeux auxquels on ne jouera jamais.

Annotation :

Après avoir fait Bastion et Transistor il y a quelques années, Pyre confirme le savoir-faire de Supergiant Games. Il en faut du talent pour réussir un jeu mêlant les genres du RPG, sport, et Visual Novel.
La DA est magnifique et l’OST incroyable, comme toujours avec Darren Korb. J'ai trouvé Pyre un peu moins bon que ses aînés d’un point de vue gameplay (j'ai eu un peu de mal avec ces "rites" parfois un peu laborieux) mais il compense avec une histoire et un univers vraiment très travaillé et intéressant. En tout cas, ça confirme que Supergiant Games est vraiment un excellent développeur dans la catégorie jeux indé !
Me reste à faire Hadès maintenant.

Annotation :

Le temps d'un WE gratuit sur Steam. Pas besoin d'y passer plus de 10h pour constater qu'il possède les mêmes défauts et qualités que ses prédécesseurs. En revanche aucun souci dû à leur agaçant programme "anti-cheat", contrairement à Fifa 23.

Annotation :

Pour la 7ème ou 8ème année de suite ? On ne compte plus.

Annotation :

Excellent jeu d'énigme et de casse-tête, pas évident mais jamais frustrant. Il est en plus joli avec une excellente atmosphère et un scénario cryptique.
Prix dérisoire en période de soldes (même pas 1€) c'est cadeau pour qui aime ce genre de jeu.

Annotation :

Jeu de cartes très sympa, facile à prendre en main, dans un univers top (si on aime Marvel évidemment). Des achats in-game, mais le jeu est déjà très plaisant sans dépenser un sou.

Annotation :

Après le succès de A Plague Tale Innocence, Asobo se permet d'être plus ambitieux avec Requiem, malgré un "petit" budget comparé aux jeux AAA du marché, C'est une réussite, même si il ne bénéficie plus de l'effet de surprise du 1er, et accentue certains de ses défauts au lieu de les corriger.

Commençons par les choses qui fâchent : Une IA et un gameplay un peu daté. C'est encore plus visible dans cet épisode qui laisse plus de place à l'action, exposant malheureusement un peu plus les défauts de level-design (ou les détails gênants, comme le fait que nos compagnons soient invisibles aux ennemis, que l'on soit caché parce qu'on est entre 3 bouts d'herbe hautes, que des chariots et brasiers soient toujours miraculeusement au bon endroit, ou que les soldats se fassent avoir 3 fois de suite par le fait qu'on lance des cailloux à côté d'eux).

Mais c'est, comme pour son aîné, compensé par un univers absolument incroyable et des personnages toujours aussi attachants, Amicia et Hugo en tête. On regrettera toutefois que des séquences s'aventurent parfois un peu trop dans le "too much" et le grandiloquent. Surtout quand les moments les plus simples, sans action, sont finalement les meilleurs (la séquence de l'exploration de l'île en est le parfait exemple). Mais globalement l'écriture est très réussie, vous faisant frissonner, rire ou lâcher une larme.

Visuellement splendide, Requiem offre peut-être les plus beaux décors qu'il m'ait été donné de voir dans un jeu vidéo. L'animation des rats fait toujours son petit effet, allant encore plus loin dans cet épisode. Les développeurs sont aussi particulièrement bon niveau character-design dans cette saga. Dommage que les animations faciales soient en deçà du reste sur le plan technique.

Comme dans le 1er jeu, le scénario se montre audacieux et prend un malin plaisir à faire souffrir ses héros, n'hésitant pas à tuer certains des personnages. Il souffre néanmoins de quelques petits problèmes de rythme. Et il n'est pas aidé par sa structure très linéaire de "jeu-vidéo" qui casse un peu l'immersion (marche / infiltration / course-poursuite / marche / infiltration / etc... toujours entrecoupés de portes que l'on ferme).

Enfin, comment ne pas en parler : l'OST de Olivier Deriviere, toujours au top, surtout avec l'ajout de chœurs sur ses magnifiques (et effrayantes) mélodies. Très impliqué dans le jeu, ses compositions participent grandement à toute l'ambiance générale de ce Requiem.

Annotation :

Avec son style aquarelle, Dordogne (malgré un budget minime) offre de superbes tableaux dans lesquels on prend beaucoup de plaisir à se déplacer. C'est là sa qualité principale, la beauté, l'ambiance, et le calme qui se dégage de ses images. Et le niveau sonore n'est pas en reste pour nous plonger dans l'atmosphère "petit village" de Dordogne.

Le scénario peine un peu à convaincre au début, puis on se laisser emporter et il finit même en beauté. Les différents thèmes explorés (transmission, deuil, acceptation des différences, conflits familiaux) le sont efficacement, de manière touchante.

Point de vue gameplay, on est proche du niveau zéro, puisqu'il est minimaliste au possible. Surtout, l'écran affiche constamment des tutoriels dans tous les sens, qu'on ne peut même pas désactiver dans les options, et qui resteront présents jusqu'à la fin du jeu, Dommage, mais je pense que le jeu s'adresse plutôt à des gamers "débutants".
On est plus proche de l'expérience narrative que du véritable jeu vidéo.

Les collectibles disséminés ça et là sont un peu pénible à chercher. D'un autre côté, j'ai trouvé la création de l'album de vacances assez sympa, et c'est à cela que servent les différents sons/mots/stickers à collectionner.

Comptez 3-4h pour finir ce jeu plaisant, très chill, reposant, explorant de jolis thèmes et offrant de somptueux paysages. Et si vous connaissez cette magnifique région (c'est mon cas :D), vous apprécierez encore plus ce jeu ! Sinon c'est le moment d'aller la découvrir.

Annotation :

Reçu gratuitement avec mon nouveau PC. Le lancement un peu compliqué a fait que je n'y ai joué que 2-3h. J'y reviendrais une autre fois

Annotation :

Immense fan de la série Dishonored, il fallait que je m'attaque enfin à ce jeu de science-fiction de chez Arkane, d'autant qu'il avait la réputation d'être particulièrement sous-coté. Et je n'ai pas été déçu ! La 1ère heure est tout simplement mémorable, l'une, voire la meilleure introduction de jeu auquel j'ai pu jouer. Mais ce qui marque le plus dans Prey après plusieurs heures de jeu, c'est incontestablement le level design du jeu. Sa station spatiale Talos, à l'échelle 1:1 est une référence de monde ouvert. Vous pouvez aller partout assez tôt dans le jeu, et par de nombreux moyens (même par l'extérieur de la station, en apesanteur !) En résumé, on dirait que les plus grands architectes du monde se sont réunis pour bosser sur ce jeu (et ils avaient sûrement bosser sur le manoir mécanique de Dishonored). Et si il n'atteint pas le niveau d'un Bioshock niveau Direction Artistique, Talos n'en reste pas moins très beau, avec son style luxueux et lumineux.

Les possibilités de gameplay sont infinies, les nombreuses armes et améliorations permettant toujours plus de créativité chez les joueurs. Le coté "Immersive Sim" est pleinement exploité grâce à un vaste nombre de pouvoirs et d'approches. Et ce n'est pas tout, toutes les personnes travaillant sur la station ont un nom, un job, un bureau, bref une vie, et peuvent être trouvés dans la station.

L'ambiance est particulièrement inquiétante. Principalement car durant tout la 1ère moitié de l'aventure, vous êtes la "proie" (le titre vous avait prévenu). Le jeu vous recommandera d'ailleurs souvent de fuir les combats et privilégier l'infiltration, plutôt que jouer à la bourrine. Le scénario est très prenant, et on a vraiment du mal à se stopper quand on est lancé dans le jeu (j'ai du le plier en 10-12 jours alors que j'y ai passé 40h...). On sent Prey très influencé par de nombreux films de Sci-fi et les rebondissements sont nombreux. Même si il faut reconnaitre un léger problème de rythme dans les dernières missions, sûrement car notre personnage est devenu trop "cheaté".

Des points négatifs tout de même, pêle-mêle : des miroirs qui ne reflète rien, des temps de chargement trop longs, un twist post-générique too much, une technique parfois un peu daté, quelques bugs d'enchainement de scripts, un côté melting-pot de tout ce qui s'est fait dans les FPS passés (Dishonored, Bioshock, Deus Ex), des quêtes de qualité inégales, des passages un peu frustrant, sa furtivité largement en dessous d'un Dishonored.

Annotation :

Jeu gratuit sorti comme démo technique pour le Steam Desk (mais qui est tout à fait jouable sans avoir la console) se déroulant dans le même univers que les Portal. En seulement 30mn, le jeu montre tout le savoir-faire de Valve, et même si le gameplay est au second plan ici, l'écriture est, comme dans les Portal, hilarante.
Drôle, joli, et gratuit, Aperture Desk Job a tout de même un énorme défaut : vous faire regretter encore plus l'inexistence d'un Portal 3.

Annotation :

Après plus de 15 ans de jeux Lego tous réussis mais usant de la même formule, TT a tenté pour la première fois de revoir un peu sa formule !

Plus ambitieux, ce jeu "ultime" réunissant les 9 films Star Wars est, pour commencer, vraiment très beau : que ce soit les décors, les personnages, les animations, la gestion de la lumière et des effets, on sent qu'un véritable effort à été fait.
Et il est aussi très dense : un (semi) open-world avec de nombreuses planètes à visiter, 40 niveaux, des quêtes secondaires en veux-tu en voilà, des collectibles... bref vous l'avez compris le 100% prendra du temps (plus de 100h personnellement).
On notera aussi une nouvelle vue tps (la co-op est désormais obligatoirement en écran scindé, même si les 2 personnages sont proches). derrière notre personnage de briques, avec visée, système de couverture, etc. Le gameplay est plutôt nerveux et même assez jouissif (lancer son sabre laser avec Anakin ou sniper de loin avec Mando, c'est franchement classe). En parlant des personnages, ils sont au nombre de vraiment (vraiment !) beaucoup, et divisés en 9 classes différentes ayant chacune sa particularité.

Ce qu'il gagne grâce à sa "galaxie open-world", il le perd dans les niveaux, qui sont ici très courts, font un résumé très succincts de chaque film (5 séquences choisies un peu aléatoirement par film), et ces niveaux finissent donc par devenir la partie la moins intéressante du jeu. ("Ironic" comme dirait Palpatine.)
Dommage aussi que les chargements soient particulièrement longs dès qu'on change de map (les allers-retours entre planètes peuvent donc être frustrants). Quelques bugs également comme dans tous les jeux Lego.
Le fait que les Lego soient dotés d'une voix désormais enlève, il faut le dire, un peu de la magie (et de son humour qui passait en grande majorité par l'image).
Et pour finir, dommage de ne pas avoir fait de niveaux dédiés aux films spin-off (Rogue One, Solo) alors que les personnages eux sont bien présents (en DLC...).

En bref, c'est un très bon jeu Lego qui a enfin su tenter quelques nouvelles choses et viser plus haut, mais qui manque encore un peu d'expérience quand à la gestion de tout ça, et notamment son équilibre "niveau/exploration". La recette fonctionnait mieux dans Lego Seigneur des Anneaux ou les Lego Marvel.

En attendant, vivement le prochain ! (ici on rêve toujours d'un RVLF)

Annotation :

Juste refait une partie. Trop déprimant pour en faire plus d'une par an de toute façon ^^

Annotation :

Enfin testé pour avoir un avis "objectif" dessus (qui est finalement plus ou moins le même que celui que j'avais à priori) :
Le jeu est parfois fun, encore plus en groupe, mais on peut aussi étrangement s'ennuyer en attendant de croiser du monde.
À coté de ça, Fortnite vous fait crouler sous un contenu ultra dense à coup de partenariats plus insensés les uns que les autres (dans le but de vous faire chauffer la CB et d'abandonnez toute envie d'avancer dans les autres jeux de votre bibliothèque).

Annotation :

Un chef d'œuvre, bourré de défauts.

(je détaillerais plus tard, si motivé)

Annotation :

Pas facile de se lancer dans la gestion sportive, surtout pour du tennis, donc on salut la tentative. Mais il est encore loin des modèles du genre.

+ la possibilité de modder tous les noms et photos corrects des joueurs et tournois.
+ l'inspiration fortement piochée chez le maître de la gestion sportive (Football Manager)
+ le moteur 3D des matchs franchement pas mal

- beaucoup moins de données que son homologue du foot mais pourtant on s'y perd encore plus. Ergonomie franchement à revoir car prise de tête.
- gestion des joueurs de l'académie, du staff, à grandement amélioré.
- le suivi du "lore" de notre partie est compliqué, on trace notre route mais à part en cherchant, pas vraiment de fil info pour savoir qui gagne quoi.
- les blessures et calendriers sont particulièrement mal gérés.

A voir si les jeux suivants ont fait mieux.

Annotation :

Super addictif, franchement fun, difficile mais pas impossible, jamais frustrant au point d'avoir le seum (badam tss).


C'est Super Meat Boy, mais en FPS et dans un monde de métalleux. Et c'est génial.
(Tellement bien que même les collectibles sont funs à chercher.)

Et il y a même un éditeur de niveaux, et ça pour moi c'est direct point bonus !

Annotation :

Refait (avec @Ginny444)

Annotation :

Graphiquement, ce style "dessin à l'encre" est fort joli et original.

MAIS.
- Le gameplay est particulier, pas vraiment intuitif.
- le scénario est au mieux inintéressant (dialogues nuls, mais je pense que c'est volontaire)
- les maps ne sont pas toujours lisibles.
- Pas mal de bugs.

Mais bon, il est assez court, pas cher, et on prend finalement du plaisir à faire du die&retry dans ces niveaux très courts donc peu punitif, au sein d'un univers western en noir et blanc bourré d'actions.

Et surtout! Et c'est là son principal point fort : la musique est géniale ! Moi qui sortait de RDR2 un peu déçu par le manque de thèmes musicaux forts (hormis l'incroyable "American Venom"), ici on enchaîne les partitions épiques pour parfaitement ambiancer nos fusillades. Et même nous rendre le jeu agréable.

Annotation :

Après 80h, on est arrivé au bout de l'aventure avec @AntoineBrizais !

Un jeu de survie très efficace, très fun, laissant une grande place à l'exploration et à la créativité également (un quart des 80h a du être passé à construire notre belle demeure).

Annotation :

Très relaxant, très doux. Un vrai plaisir à parcourir, à explorer. Teinté de poésie et surtout de pas mal d'humour, c'est vraiment le genre de jeu qui, sans être incroyable, nous fait passer du bon temps.
Dommage qu'il soit si court.

Annotation :

J'ai lancé ça intrigué par son concept mais sans en attendre grand chose...
J'ai dépassé les 100h dessus. ADDICTIF.

Ah, Disney, ils sont forts, ils sont très très forts.

Annotation :

Un jeu à énigmes qui nous fait suivre le parcours d'une botaniste anglaise.

Dans ce joli manoir, on s'amuse à trouver comment faire pousser toute une liste de fleurs aux propriétés particulières. (Si elles sont inspirés de véritables fleurs, toutes celles dans le jeu sont malheureusement fictives, contrairement à ce que je pensais au début du jeu ^^).

La collecte d'informations est sympa, les énigmes sont assez recherchées sans être introuvables, et le jeu offre une durée de vie correcte. Le scénario n'est qu'une légère toile de fond mais offre tout de même un aspect féministe intéressant.

Pas mémorable mais relaxant.

Annotation :

Aussi beau que le 1er, et très plaisant à faire à deux (avec @Ginny444).
La difficulté est bien gérée, on a un bon challenge sans pour autant se sentir frustré.
Scénario un peu cryptique, mais on se laisse porter par la poésie du titre, de ses décors et de ses musiques.

Annotation :

Pas aussi emballé que par un Dishonored ou un Prey, peut-être la faute à son ambiance "décalée" à laquelle j'ai eu un peu de mal à adhérer. Mais Arkane a tout de même fait du bon boulot sur ce Deathloop.

Il faut vraiment s'accrocher au début, à son tuto géant, à ses innombrables menus et informations (le jeu met bien 2-3h à expliquer son concept tordu mais incroyable). Et puis finalement, le jeu a tellement peur de perdre le joueur qu'il l'assiste constamment. On ne réfléchi jamais à la suite de nos actions puisque le jeu nous explique lui-même ce qu'il est temps de faire, et pourquoi il faut le faire. Dommage, mais compréhensible pour ne pas perdre 90% des joueurs en cours de route. Mais ça aurait vraiment pu être incroyable de devoir deviner soi-même comment tuer ces 8 cibles en une seule boucle.

Mais bon, une fois lancé dans le coeur de Deathloop, le gameplay est brillant, la variété d'actions également grâce aux armes et aux pouvoirs. Les maps sont agréables à parcourir dans tous les sens, à fouiller dans les moindres recoins pour découvrir de nouvelles choses.
Enfin, l'idée de voir sa partie envahie par un autre joueur était une idée très bonne sur le papier.. et c'est aussi une réussite à l'écran ! (si on excepte les problèmes de connexion que j'ai pu avoir parfois).

Bref, une expérience plus légère et pas aussi marquante que les autres œuvres d'Arkane, mais quand même plaisante et reposant sur des concepts originaux, ce qu'il faut toujours encourager dans le Jeu Vidéo.

Annotation :

l'ASMR est possible dans le jeu vidéo, Unpacking en est la preuve, avec son concept tout simple mais charmant.
c'est "Satisfaying", comme on dit.

Annotation :

Très bon exemple d'une idée géniale sur le papier mais bancale dans l'exécution.

Maquette est difficile à juger. Son concept est innovant, son univers est beau, et sa narration plutôt touchante (bien aidée par un excellent doublage). Mais on se retrouve frustré à de si nombreux endroits (la faute à des puzzles un peu trop confus et un gameplay hasardeux) qu'on sort de l'expérience sans avoir pris tant de plaisir que ça. Et c'est quand même bien dommage.

Annotation :

Il aurait pu être tellement incroyable, si le maniement n'était pas si laborieux, et les puzzles si mauvais. On a parfois du mal à se repérer dans l'espace et dans ce type de jeu, ça peut être très frustrant. Et même si cela peut avoir son charme, on aurait tout de même apprécié un scénario un peu moins cryptique.

Le travail sur le Sound design et l'atmosphère de cet univers SF est lui fabuleux et justifie à lui seul la moyenne. Manette en main et casque sur les oreilles, ça fait son petit effet !

En plus les jeux avec des animaux de compagnie inutiles mais qu'on colle là juste pour l'argument marketing du "c'est trop bien on peut le caresser", c'est non.

Annotation :

Si simple mais si addictif.