Gnagnagna films 2017

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Revu le 1er janvier

Premier film de l'année, on commence bien. Note inchangée : le film est drôle, ouvert, et parvient à éviter le piège moraliste (m'enfin c'est d'une autre époque).

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Revu le 22 janvier

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Vu au cinéma le 27 janvier

Mon premier Makoto Shinkai, que je connaissais déjà de nom et dont la filmographie m'intéressait. J'apprends donc que l'amour à travers l'espace et le temps revient souvent dans ses films...
Le début du film m'a laissée plutôt sceptique et m'a fait peur, à cause de cette musique tapageuse... Un tapage qui revient souvent d'ailleurs et tranche un peu avec le traitement cinématographique (bah oui, dans un film d'animation jap j'ai moins l'habitude de ces sons qui relèvent davantage de la série animée...). C'était tout juste écoutable...
Ensuite, j'ai eu le sentiment d'être devant un long court-métrage, un film peut-être un peu trop long pour ce qu'il y a à raconter... Puis l'histoire est tout à fait banale au premier abord. Changement de corps, histoire d'amour entre lycéens, série de contrastes, voilà voilà.
Mais ce n'est pas l'histoire qui nous intéresse dans Your Name. De nos jours d'ailleurs j'ignore si on regarde encore un film pour l'histoire, car tant d'histoires ont été contées au fil des siècles et finissent par se répéter. Ce qui fait pencher la balance, notamment ici, c'est la patte de l'artiste, son message, le traitement de l'histoire et de ses éléments...
De ce que j'ai pu observer, chez Miyazaki on sublime l'imaginaire, chez Kon c'est l'être humain dans un environnement social, et finalement chez Shinkai, c'est peut-être bien le détail, que ce soit dans le paysage ou l'objet. Que de plans magnifiques, avec un sens du détail poussé. Le chara design est plus banal, il m'a rappelé Hosoda voire des réalisateurs moins connus, mais il y a une capture du mouvement qui colle bien avec le reste, qui s'inscrit dans ce sens du détail et ce jeu d'images.
Pas grand-chose à dire sur les personnages, si ce n'est que j'ai apprécié leurs différents degrés de maturité et d'importance dans l'histoire.
Ce n'est qu'un avis à chaud donc je n'arrive pas encore à mettre de mots sur la notion de lien et de relations dans le film... Pour l'instant je dirais surtout que c'était mignon tout plein ! Bien que je n'aie pas cette vision-là des choses.
A développer.

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Vu le 28 janvier

Tout est affaire de dualités dans ce film : ombre et lumière, bien et mal, amour et haine comme sur les mains du pasteur joué par Mitchum, enfants et adultes, des visions différentes de la religion... Le tout en évitant assez bien le manichéisme pour la plupart des personnages. Un excellent film pour moi, qui a peut-être vieilli et paraît plus classique mais se laisse largement apprécier.

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Vu le 2 février

En classe. Une synthèse intéressante sur une femme d'exception. Toutefois, il m'est difficile d'évaluer le documentaire plus que ça... Je ne donnerai donc pas de note.

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Vu le 12 février au cinéma

Photographie canon, et casting très bon. Classique dans le message (ne laisse pas les gens te définir), moins dans le traitement des personnages et le cas choisi (grandir en tant que Noir et gay dans un milieu difficile). Malgré la dureté du film sur les problèmes exposés, c'est un film assez rafraîchissant, révélant aussi bien le talent du réalisateur que le talent d'acteurs peu connus comme Mahershala Ali qui inspire directement la sympathie sous les traits de Juan, ou encore les 3 acteurs interprétant Little/Black/Chiron qui savent transmettre les émotions du perso sans parler des masses. La plupart du temps il évite le tire-larmes.
On retient quelques scènes fortes. On retient aussi quelques longueurs. Period.

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Vu le 13 février

Scénar' peu original et musique plutôt criarde bien qu'entêtante, mais l'univers m'a l'air bien foutu, on continue de prendre un peu de risques chez Disney par rapport au traitement des personnages et c'est plutôt drôle et mignon !

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Revu le 14 février (presque un an après le dernier visionnage !)

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Vu le 15 février

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Revu le 21 février

Meh

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Vu le 25 février

Du grand n'importe quoi assumé, un concentré de connerie, l'honneur n'est plus au Joker mais à "la femme chat" et au Pingouin. Pour les moments où il faut débrancher son cerveau et oublier les persos badass de chez Batman tels qu'on les connaît.

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Vu le 12 mars

Penser à actualiser

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Vu le 14 mars

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Vu en cinexpérience le 18 mars

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Vu le 21 mars

Un Marvel traité comme un objet cinématographique et pas comme un Marvel, avec un ton adulte qui se détache de la franchise tout en gardant les références et les épices, ça fait plaisir. Un des meilleurs X-men. Les antagonistes et certaines scènes m'ont quand même paru ridicules, mais c'est tout.

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Vu le 26 mars

À chaud : tout n'est pas à jeter. Y avait d'assez bonnes bases... Très inspirées de thrillers coréens (je dirais pas hongkongais parce que j'en ai pas vus) certes, mais c'étaient de bonnes bases. Et c'est pas non plus filmé avec les pieds. Ça n'avait pas l'air si nul à première vue. Et puis très vite on tombe dans le ridicule. Et puis le délire de mélanger Chinois et Coréens, parce que c'est vrai, ils se ressemblent tous... Et Scarlett Johannsson toujours utilisée comme une bombe sexuelle, même dans un film où elle est supposée être hyper intelligente... Et cette confusion entre intelligence et culture... Décidément, y a plein de choses qui pardonnent pas dans ce film. Je comprends le bashing.
Dans presque le même genre, presque, il y avait eu Nikita, du même réalisateur... C'était vachement mieux.

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Vu le 1er avril

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Revu le 2 avril

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Commencé le 9 avril, fini le 10 avril

Un beau parallèle entre l'ascension de Vito Corleone, possédé par Robert de Niro ou l'inverse, je ne saurais dire, et la déchéance lente de son successeur Michael Corleone/Al Pacino. La chronique familiale est toujours aussi passionnante à suivre, bien que les choses se compliquent pour tout le monde.

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Vu le 10 avril

- Trop de CGI tue le CGI
- Léa Seydoux, la Kristen Stewart française. Et sa poitrine ne sauve pas sa "performance"...
- Des créatures censées être mignonnes MOCHES
- Un jeu sans saveur en général, sans passion
- Dialogues chiants
- Une relation basée sur du vent
- La go est prisonnière, elle a le temps de penser à faire des coiffures sophistiquées alors qu'on lui demande rien. Détail inutile à mentionner peut-être, mais risible quand même, ajoute un peu au côté malheureusement ridicule de l'ensemble.
- Des persos inutiles
...C'est dommage, y a pas que des choses nulles, le film est visuellement beau.

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Revu le 13 avril

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Vu le 25 avril

Un excellent appui aux lectures que j'ai pu faire sur le sujet et à l'exposition The Color Line vue en janvier dernier. Des images et des paroles fortes.

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Vu (ou revu) le 27 avril

Ce n'est pas une simple comédie. Plein de bons sentiments mais en même temps l'idée de faire revivre le même jour à un connard pour qu'il se remette en question est sympathique. À l'époque ce n'était pas encore du déjà vu.

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Revu le 28 avril

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Vu le 1er mai

Tantôt très joli, des décors et des plans beaux à s'y perdre... Tantôt de la 3d un peu too much...
Une bonne suite dans l'ensemble, que l'absence du Major n'empêche pas d'apprécier, cependant j'ai trouvé que c'était très verbeux par moments, des citations qui fusent par-ci par-là pour rien, et une intrigue qui a tendance à partir un peu dans tous les sens... Finalement les meilleurs moments sont bien ceux où les personnages ne parlent pas, c'est là qu'on voit leur part d'humanité, comme le lien entre Batou et son chien.

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Vu le 2 mai

Sympa.

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Vu le 9 mai

Autant "La Fureur de vivre" c'était drôle, autant "La Fureur du dragon" c'est ennuyeux de bout en bout, même la scène avec Chuck Norris ne m'a pas fait grand-chose. Si je n'avais rien eu d'autre à faire à côté j'aurais juste éteint la télé après la première demi-heure... 2 points pour saluer les pirouettes de Bruce Lee, c'est tout.

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Vu le 10 mai

Mouais, beaucoup de clichés (les noires gueulantes à Châtelet/La Défense/dans le métro ou qui viennent aider leur mère femme de ménage au taf, un classique bien sûr), une vision de blanc sur la jeunesse noire de banlieue (désolée), une troisième partie poussive... de quoi lâcher un gros tchip méprisant... Maaiiis de très belles scènes de joies éphémères entre amies qui s'amusent et qui s'enjaillent + la scène d'ouverture, photo impeccable, BO de qualité, des protagonistes malgré tout attachantes (en-dehors des scènes clichés), un lien de fraternité/sororité justement représenté, et une vision du machisme dans les banlieues pas si fausse que ça, je dois bien l'admettre. A part à une énième vision de bobo sur les banlieusardes je ne savais pas trop à quoi m'attendre ; je suis effectivement mitigée mais ce n'est pas non plus un naufrage. Je suis curieuse de voir le reste du boulot de la réalisatrice.

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Vu le 12 mai

Voir film d'en-dessous.

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Vu le 14 mai

Je donnerai mon avis un jour. Un jour.