Hallucinations Collectives 2017 : agent infiltré

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"Get Out est le prototype du film contre-productif : scénario bancale et réalisateur qui semble persuadé qu'un bon concept est suffisant pour proposer à un film abouti."

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Un grand film onirique, à la mise en scène baroque et enivrante et à l'ambiance sonore impressionnante de maîtrise.

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Un épisode de la saison 3 de Black Mirror un peu long et un peu raté.

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Beau et puissant malgré son manichéisme ambiant.

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Sans doute le plus mauvais film de Fabrice Du Welz, d'une banalité et d'un ennuie navrant.

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Objet d'ambiance insaisissable, jonglant entre le film de genre bas de gamme et explosions d'idées plastiques brillantes, ce film inclut dans les 73 "vidéos nasties" est aussi surprenant que jouissif.

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Beau, puissant, enivrant... et soporifique.

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Corruption est l'occasion de rappeler que le "film d'amour non simulé" fut aussi et surtout une pratique collective. Mais il est en l’occurrence un piètre film porno, amusant parfois mais globalement sage et répétitif.

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Malgré les irrégularités de son scénario et sa mise en scène, "The Limehouse Golem" reste sympathique et assez captivant jusque dans son retournement final aussi prévisible qu'amusant.

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Une sorte de mixe opportuniste entre Rosemary's Baby et L'Exorciste en un peu plus beauf.C'est un peu du James Wan avant l'heure mais en moins flippant.

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Premier film d'animation de Mandico. Sorte de grand hommage à Švankmajer, l'univers du jeune cinéaste s'y développe déjà.

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Réalisation folle et baroque qui n'est pas sans rappeler les Chevaux de Feu dans son approche stylistique et acrobatique.

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Sorte de film théorique sur les capacités de l'image à permettre la résurrection du corps... Illusion de mouvements et chronophotographie.

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Certainement les surimpressions les plus abouties de sa filmographie. En tout cas c'est très impressionnant de voir les films de Bertrand Mandico sur grand écran.

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J'avais découvert le film au festival de Clermont-Ferrand il y a quatre ans. Ce fut un choc. Le revoir a atténué l'émotion, mais Notre-Dame des Hormones demeure un grand film barré et furieusement inventif. D'un beauté saisissante.

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Le dernier court-métrage en date de Mandico. Sympathique et intriguant, bien que moins abouti que d'autres de ses travaux.

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Oui mais non. Aucune idée de mise en scène et un scénario irritant. L’archétype du film d'école qui manque d'humilité et de prise de recule.

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Film plutôt malin et drôle, mais aussi un peu chiant et répétitif.

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Une utilisation redoutablement efficace et intelligente du plan séquence. Sans le limiter au pure exercice de forme, les cinéastes mettent la forme au service de l'angoisse et d'une ambiance parfaitement étudiée.

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Nul.

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Forcément ça parle de cul donc c'est lol

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Faussement subversif, facilement choquant, un pure produit de festival. (grand prix du publique par ailleurs)

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Bonne idée de base, mais trop calibré pour fonctionner.

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Comment gâcher une idée brillante ? Faites un film de dialogues inintéressants en contournant le vrai sujet de votre scénario...

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Implacable, d'une noirceur absolu, le récit épuré et la mise en scène efficace font de HITCHER un film radical et percutant, indémodable !

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Comment nier le génie de Dario Argento après avoir vu OPERA ? Baroque, fou, sublime, hallucinant ! Jouant avec sa caméra comme jamais, le maestro offre une oeuvre indispensable et enfin remise à sa place dans une incroyable copie restaurée !

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Un peu méta, un peu foutage de gueule, un peu stressant, mais surtout totalement brillant.

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Le film qui a le plus divisé : certains y ont vu un grand thriller implacable, d'autres une abjecte prise d'otage émotionnelle...

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Avec en bonus après le générique la fin alternative tournée par Corbucci (toute pourrie).

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Plutôt cool malgré son scénario ultra balisé, une sorte de bon train fantôme à l'ancienne. Quelques séquences sont tout de même très flippantes.