Hérésie d'Horus (WH30K)

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Bienvenue au trentième millénaire ! L'ascension d'Horus est le premier tome d'une longue aventure littéraire. Que vous soyez un expert de 40k ou un véritable néophyte, préparez-vous à découvrir toute une épopée véritablement épique !

Ce premier tome nous invite à découvrir la légion des Luna Wolves sous le regard de Garviel Loken, un capitaine émérite de la légion d'Horus Lupercal. Ce dernier est alors le primarque le plus célèbre de l'Imperium, tandis qu'il vient tout juste d'être nommé Maître de Guerre, Horus découvre les difficultés du commandement et tente d'obtenir la confiance de ses frères primarques. Le personnage de Loken est particulièrement intéressant, bien au-delà des clichés que l'on pourrait attendre de l'Astartes. On y découvre un guerrier avec des sentiments, des doutes et des certitudes, un personnage qui devient rapidement attachant.

Dan Abnett nous livre ici une solide prestation, l'ascension d'Horus est une lecture gratifiante qui devient rapidement passionnante. C'est la première lecture obligatoire d'une trilogie centrée sur Loken, sa légion et surtout le destin d'Horus. Autant dire que je vous la recommande fortement !

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Les "Faux Dieux" est le deuxième tome de la trilogie "Loken" qui introduit les évènements qui vont mener à l'hérésie d'Horus. C'est la suite directe des événements de l'ascension d'Horus.

Cet opus est l'occasion de découvrir les premiers indices sur le drame à venir. Je craignais le changement d'auteur mais Graham McNeill arrive à fournir une superbe prestation en ajoutant même plus de profondeur aux personnages. Mention spéciale pour la bataille de Davin contre les zombies de Nurgle, un passage particulièrement épique.

Globalement c'est une réussite, je le recommande donc forcément comme une seconde lecture après le premier tome.

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Ce troisième tome vient clôturer la trilogie "Loken" et mettre en lumière les évènements d'Isstvan III, première étape clef de la guerre civile à venir. On y retrouve plusieurs personnages des précédents tomes et bien évidemment notre Garviel Loken pour lequel on se prend d'affection.

Ben Counter nous livre ici une très bonne prestation. On regrette néanmoins le saut dans le temps n'ayant pas permis d'explorer plus en détail la transition d'Horus vers le chaos. Le final reste toutefois particulièrement épique et vous restera longtemps en mémoire.

Pas de panique, la trilogie est terminée mais La Fuite de l'Eisenstein est la suite directe de l'histoire !

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Quatrième tome de l'hérésie d'Horus, la Fuite de l'Eisenstein se distingue de la trilogie de Loken même si cet opus est la suite directe du précédent. On change ici de décor en suivant l'histoire sous les yeux du Capitaine Garro de la Death Guard. Ce changement de Légion est particulièrement intéressant car il met en lumière les différences entre les Légions de l'Astartes.

À la suite des évènements d'Isstvan III, on assiste à la fuite de Garro et de son équipage aux côtés de Euphrati Keeler et de Kyril Sindermann qu'on connaissait déjà des précédents tomes. C'est une quête désespérée pour alerter l'Empereur de la trahison à venir.

James Swallow nous offre une très bonne prestation. Je ne comprends pas les critiques contre cet opus. Il est vrai qu'il peut se perdre en longueur mais c'est assurément une lecture "obligatoire" tant il permet d'ancrer le contexte du trentième millénaire.

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Fulgrim c'est un roman assez controversé, soit on l'adore, soit on le déteste. Il faut l'avouer ce cinquième tome est particulièrement long et il faut un peu de patience pour réussir à cerner l'intrigue. C'est toutefois la dernière lecture "obligatoire" pour se lancer dans l'hérésie car on va y découvrir les événements d'Isstvan V, le moment clef du début de la guerre civile. On y retrouve des personnages que l’on connait déjà lors des précédents opus, comme par exemple Saul Tarvitz. Mais c’est surtout le destin du primarque Fulgrim qui va être au cœur de cette histoire, notamment sur comment il s’est fait corrompre par le Chaos. Pour moi, c'est une réussite de Graham McNeill, on dévore la deuxième partie du livre tant le suspens est à son comble et bien évidemment la bataille finale est digne des précédents opus.

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C’était un épisode que j’attendais tout particulièrement, il faut dire que j’aime beaucoup l’esthétique des Dark Angels. Malgré la mauvaise réputation de cet opus, j’ai décidé de lui donner sa chance. Clairement, l’ambiance est totalement différente des cinq premiers tomes de l’hérésie, on sort même complètement de la timeline pour revenir à l’origine des Dark Angels sur Caliban. Je peux comprendre la frustration de certains lecteurs, surtout que Mitchell Scanlon n’est pas le meilleur auteur de la série. On a un peu l’impression de suivre un roman techno-médiéval qui n’a rien à voir avec l’univers de 40k (même si bien sûr, la fin du roman nous ramène dans ce sens). Ce n’est pas non plus un désastre, on y passe quand même un bon moment même si la profondeur des personnages laisse largement à désirer. Si vous n’êtes pas un grand fan du Lion, vous pouvez largement sauter cet épisode sans trop de regrets.

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Septième tome de l’hérésie, il est considéré par de nombreux lecteurs comme étant parmi les meilleurs épisodes de la série. On retrouve ici l’excellent Dan Abnett qui nous plonge cette fois au cœur d’une campagne impériale visant à purger une race xénos sur sa propre planète. C’est un tome qui nous permet de sortir plus ou moins du carcan Astartes en se focalisant notamment sur la chiliade 52, une unité d’élite de l’armée impériale. C’est un roman d’espionnage avec une intrigue complexe et un peu moins d’action que lors des précédents épisodes. On n’en attendait pas moins d’un roman sur l’Alpha Légion ! Mon principal reproche c’est la longueur de certaines scènes parfois confuses. Quoi qu’il en soit, le final de ce roman vaut largement la lecture ! Je vous le recommande largement.

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Globalement un film d'action assez classique en version littéraire. Une "dream team" d'Astartes en provenance de différentes légions (Ultramarines, Space Wolves, World Eaters, Thousand Sons) découvrent la trahison des Word Bearers et se lancent dans une mission suicide pour détruire un immense vaisseau adverse. Les personnages manquent clairement de profondeur et l'intrigue est très simpliste mais cela se laisse lire sans trop de soucis. Vous pouvez le sauter sans regrets.

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Honnêtement ce n'est pas un roman que je souhaitais particulièrement lire, je n'ai jamais été un grand fan du Mechanicum ni même des Titans. Eh bien, je dois avouer que c'était une bonne surprise ! L'intrigue est très bien réalisée, elle nous plonge sur Mars au cœur des machinations politiques des prêtres et des forges de la planète rouge. Non seulement le roman s'attarde sur la rébellion du Dark Mechanicum, ce qui permet de faire avancer le scénario global de l'hérésie, mais nous avons même le droit à des scènes et des informations inédites sur l'Empereur ! Une bonne prestation de Graham McNeill que je recommande à la lecture.

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Ce roman est en réalité une série de courtes histoires de qualités inégales. J'ai beaucoup aimé la nouvelle sur le Custodes ou sur les Spaces Wolves, mais je n'ai pas accroché aux autres histoires. Honnêtement vous pouvez le sauter sans regrets.

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Je l'ai sauté pour ma part.

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Lecture en cours

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Je l'ai sauté pour ma part.

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Je l'ai sauté pour ma part.

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Lecture à venir.

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Lecture à venir.

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Lecture à venir.