Historique 2017

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20/01

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20/01

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19/01

... M'en souviens plus mais alors plus du tout hahahahaha
Mais il me semble qu'à l'époque du visionnage j'en voyais vraiment pas l'intérêt si ce n'était quelques plans...

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19/01

30 à 40 minutes de construction de l'intrigue très ennuyeuses et d'un comique de situation vraiment quelconque voire lourdingue. A partir d'un moment déclencheur (l'arrivée de la femme de Harold Lloyd), ça devient plus intéressant dans la construction des gags et leur mise en scène. La montée finale est assez géniale.

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19/01

Des moments de vraie émotion sans que ce soit tire larme mais j'ai failli m'endormir un gros moment au milieu. Ca fait bientôt un mois que je l'ai vu et je dois bien admettre avoir oublié une bonne partie de l'intrigue, même si j'en ai retenu l'idée globale : les couples préfabriqués sans affection, le rôle ciment de la famille, et la relation assez intéressante entre Setsuko Hara et son beau-père. A revoir....

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18/01

Pfiou Virginie Efira c'est quelque chose d'un point de vue esthétique.
Sinon le film en soi a ses qualités, notamment une certaine forme d'impertinence par instants, ce qui rend le côté comique assez attachant, mais c'est très vite rattrapé par des trames romantiques assez conventionnelles et faciles et des faiblesses niveau écriture qui sur la durée font tendre le film vers le quelconque. Même si c'est sympa.

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18/01

Quelques moments assez beaux mais globalement très ennuyeux et même très lourd dans sa narration et son propos, sur la famille, la fidélité....

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17/01

Vu y'a un mois, j'ai déjà quasiment tout oublié.

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17/01

Un Keaton mineur et pas forcément très fluide dans sa construction, vraiment moins drôle que d'autres, plus du quiproquo que du comique de situation, mais avec toujours cet attachant personnage indéfectible qu'on a l'impression de voir dans tous ses films, donc qui crée le lien avec la personnalité cinématographique de Buster Keaton, du coup ça reste globalement plaisant.

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16/01

Si ce n'est une partie au milieu (Jupiter) un peu bizarre, c'est vraiment un beau film, au montage et au noir et blanc captivants et immersifs.

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16/01

Plutôt pas mal foutu pour un film de cette année. Bon c'est pas non plus ultra moderne, mais l'animation des dinosaures quoique rudimentaire fonctionne plutôt. Après c'est un film d'aventure plutôt banal, mais sympa à suivre et pas inintéressant.

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16/01

Aucun intérêt. C'est pauvre visuellement, c'est très agaçant, c'est entre deux chaises entre le film quasi documentaire et la comédie faussement potache... Lourd.

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15/01

Mon Jean Epstein préféré, quoi que je devrais revoir la Chute de la maison Usher. Visuellement les expérimentations tombent moins dans le vide que dans ses autres films, notamment Tempestaire ou Finis Terrae, où l'absence de lien narratif se faisait cruellement ressentir : même si je suis ouvert aux films départis de narration classique, il faut sentir une forme de logique ou d'attache cinématographique que je n'ai pas trouvée dans ces deux films.
En revanche dans Chanson d'Armor, il y a une véritable logique narrative avec cette petite romance très simple, thématique avec cette imprégnation bretonne dans le chant et le cadre spatial. Le visuel est ainsi plus appréciable, la beauté plus parlante, et le film plus attachant.

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15/01

Alors ça c'est absolument délicieux. L'atmosphère sonore et visuelle est à tomber, c'est d'une maîtrise absolue dans l'imbrication de la narration avec cet enchaînement de plans tous plus beaux les uns que les autres. Du coup c'est enivrant, captivant, et de surcroît suffisamment court pour que l'expérience puisse être complètement vécue de bout en bout. Sublime.

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15/01

Pas sûr d'avoir trop compris l'intérêt fondamental de ce film composé à 99% de caméras fixes sur des bateaux en mouvement (du coup c'est des travellings ou des plan-séquences fixes?), mais bon je sais pas pourquoi c'est pas complètement ennuyeux, notamment par ce côté hypnotique et la certaine beauté urbaine qui s'en dégage.

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14/01

Dans la même veine que le 1.

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14/01

C'est sympa mais ça manque cruellement de simplicité et de douce poésie. C'est quand même un film qui joue énormément sur son idée, et qui de manière générale n'en sort pas vraiment, si ce n'est sur la dernière demi heure légèrement en grandes pompes. En revanche niveau mise en scène c'est vraiment intéressant par sa grande modernité, j'ai jamais vu un film d'animation 2D avec autant de profondeur et de relief. Et bon globalement c'est assez attachant.

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13/01

Je m'attendais à être profondément bouleversé; mais finalement très déçu... On sent une volonté de simplicité dans l'histoire, juste une rencontre amoureuse, le mariage, les enfants, quelques moments innocents, d'autres plus tristes voire tragiques, les problèmes d'argents... Mais cette simplicité ne tend jamais véritablement vers l'authenticité, et donc n'est pas sublimée ou vraiment poétisée... C'est peut-être dû au fait que le film ne prenne pas véritablement le temps de construire les relations pour qu'on puisse en être imprégné ou s'attacher davantage aux personnages. En définitive j'ai trouvé peu de scènes vraiment marquantes, et l'ensemble assez fade.

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13/01

Jouissif, puissant, drôle, beau, kitsh, passionnant. J'adore ces mythes de personnages tellement forts qu'ils semblent invincibles, et quand ils ont la classe d'Ogami Itto c'est encore mieux.

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12/01

L'animation de Plympton, fondé sur les deux que j'ai vus (L'impitoyable lune de miel et donc Des idiots et des anges) est assez unique, et vraiment belle dans son côté volontairement laid et malaisant. Pour le reste c'est un cinéma d'animation qu'il est plutôt difficile de catégoriser.
Pour parler uniquement de Des idiots et des anges, c'est un cinéma très libre, qui se permet énormément de choses, qui peuvent aussi bien aller dans la poésie légère mais aussi (surtout) dans le vulgaire et l'impertinent. Le personnage principal par exemple : c'est un alcoolique abruti, mais qui se rachète une conduite, un peu forcé par cette histoire d'ailes qui poussent et le forcent à bien agir. Du coup le film est pas aussi "mal pensant" qu'on pourrait le penser au départ.
Donc c'est plutôt intéressant dans son ambigüité, après dans l'esprit cinématographique c'est pas forcément mon truc.

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12/01

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11/01

Bien foutu et globalement vraiment prenant, presque minimaliste dans le dispositif, même si c'est quand même bien estampillé film hollywoodien pas très fin... Et en même temps presque trop gentil... Limite ç'aurait eu plus de mérite d'être un poil plus cruel.

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10/11

Au ciné

Globalement c'est assez fadasse et ça manque cruellement de personnalité, après c'est pas inintéressant.

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10/01

Toujours un peu déçu quand on s'attend à être giflé violemment et vriller trois fois sur soi, mais c'est quand même assez grand. Visuellement on est au-delà du sublime, c'est vraiment intéressant dans le fond, notamment au niveau de la complexité des enjeux, de l'écriture en général... Après c'est quand même très froid, et finalement assez distant des personnages la plupart du temps, un peu trop pour que l'implication émotionnelle soit totale.

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08/01

Nancy Meyers c'est quand même tocardiña. Dans le genre film qui repose sur une idée et qui va pas plus loin, ça se pose là. Tout est prévisible, cousu de fil blanc, absolument tous les personnages sont insupportables, surtout les secondaires (mention spéciale à l'adolescente pseudo impertinente qui grandit trop vite pour son père, ça s'arrête quand ce cliché insupportable bowdel?)
Le concept aurait pu être sympa si ça avait été traité de manière un peu moins conventionnelle... Et un peu moins idiote en vrai... J'ai l'impression que Nancy Meyers à la réalisation, ça fait caution féminine des débilités et lieux communs qui sont mis en avant sur les femmes dans ce film, tellement c'est stéréotypé.
En plus c'est interminable...
Bref je vais pas m'éterniser, c'est vraiment pas top.

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08/01

Très sympa. Ca dure quasiment 2 heures mais c'est tellement dynamique qu'on voit pas le temps passer. Les répliques fusent, c'est drôle, loin d'être bête dans le propos, assez bien écrit et foutu niveau mise en scène même si c'est assez basique... Un bon moment.

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08/01

Le terme "Palestine" du titre est à prendre ici au sens neutre de "Région palestinienne", car c'est vraiment un docu sur les différents événements (hallucinants) qui ont abouti aux différentes redéfinitions géographiques du territoire, le partage des terres, et le destin des populations qui l'occupaient et celles qui les ont remplacées.
La construction à partir uniquement d'images d'archives permet au minimum de ne pas douter de ce qui est dit, quoique 140 ans d'Histoire, surtout d'une telle Histoire, et qui pourraient facilement faire l'objet d'une série documentaire d'une dizaine d'heures, permettent de se poser la question sur ce qui n'est pas dit.
Du coup j'ai mis une note neutre qui fait le lien entre la qualité intrinsèque de l'archivage et du montage du docu, néanmoins son manque d'intérêt d'un point de vue strictement cinématographique, et l'impossibilité dans laquelle je suis au niveau de ma culture historique d'être persuadé de son caractère exhaustif.
Mais je recommande tout de même, parce que pour ceux qui n'y connaissaient pas grand chose avant comme moi, ça informe sur les principales étapes de cette construction d'un état de cette manière à la fois méticuleuse et ultra-rapide, des innombrables conflits et morts que cette construction a engendrés, et sur le rôle indéfectible de l'occident et de l'ONU qui dans cette zone ont foutu un bordel sans nom.
Aussi parce que pour ce genre de sujet on marche en permanence sur des oeufs, donc du coup ça peut être pas mal de prendre les faits du docu tels qu'ils sont sans forcément chercher constamment à les remettre en question, et le fait qu'il ne prenne que des images d'archives le permet suffisamment.

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07/01

Bonne conclusion d'une bonne trilogie qui maintient une constante vraiment plaisante niveau ambiance et style narratif. "Rouge" ne raconte vraiment pas grand chose, mais il donne une véritable âme à ses personnages, sans qu'ils ne soient forcément très expressifs. C'est sûrement le film le plus pudique et le plus épuré de la trilogie, à mon sens même davantage que "Bleu", qui n'est pourtant pas non plus le parangon de l'effusion des sentiments.
La relation entre le personnage d'Irène Jacob et de Trintignant ressemble au film, intelligente, intense sans trop en faire, poétique.

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07/01

Pas grand intérêt.

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06/01

Pas toujours très fin mais ça sert le déroulement de l'histoire et permet plusieurs moment de rare intensité émotionnelle, même si c'est pas toujours le cas. Les 30 dernières minutes sont vraiment puissantes.
Sinon, Masumura a quand même une manière assez géniale d'érotiser de simples enlacements ou une simple caresse... C'est rare, ça prend 5 secondes à chaque fois mais c'est vraiment systématiquement magnifique.