Homme et nature au cinéma

Annotation :

Être en harmonie avec la nature, avec son environnement, non tant pour vaincre l'Autre que pour le comprendre et l'annuler. C'est ce que Schwarzy finit par comprendre (l'indien du film l'a compris bien avant), il ne fait plus qu'un avec la nature et devient lui-même le prédator du titre.

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Quand des yuppies sûr d'eux et arrogants s'aventurent dans une nature inhospitalière peuplée de Rednecks dégénérés, ça peut vite mal tourner. Vous ne ferez plus jamais le cochon de la même manière.

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Face à une communauté corrompue et aveugle qui ne veut plus de lui, Rambo part se réfugier dans les bois et apprend à communier avec la nature. Un retour aux sources un brin réac (purifier l'âme humaine) pour un film qui a un pied dans les 70's (l'individu qui ne trouve plus sa place en société) et un autre dans les 80's (le héros reaganien qui défend les "vraies" valeurs).

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Deux potes ayant emprunté des chemins différents se retrouvent pour une rando en forêt. Un voyage initiatique en forme de retour aux sources (littéralement puisque un bain dans une source d'eau chaude sera le punctum du film). Un peu chiant mais très beau.

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Et si la nature n'était jamais aussi présente que quand elle est absente ?

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Une première heure passionnante, quand l'arrogance humaine pense pouvoir surpasser la nature. Après ça devient n'importe quoi avec des monstres cannibales et des filles à découper.

Annotation :

Loin des films de guerre classiques, une réflexion sur les liens de l'homme avec la nature. Atrocité de la guerre vs beauté fulgurante de la nature