Il était une fois mon 2018

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MENTION : DECOUVERTE 2018

Et très belle découverte qui m'a permis d'inaugurer mon premier vidéoprojecteur. Je ne m'attendais pas à un "found-footage" à vrai dire, mais pour le coup, je trouve que le procédé est justifié et le fait qu'il soit doublé par l'utilisation du point de vue multiple dans certaines scènes me semble très pertinent.

Scène marquante : scène du climax final

Malheureusement pour moi, au bout de 5min de film, je me rends compte qu'une tâche noire indélébile a établis son logement sur le côté de mon écran. Go back Amazon videoprojecteur, tu fus un joyeux compagnon le temps d'un film !

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MENTION : DECOUVERTE

Un petit court-métrage vu en famille au retour d'un voyage à Disneyland Paris et qui est parfait pour illustrer à quel point le montage est un langage à part entière.

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MENTION : REDECOUVERTE

Un court-métrage se présentant comme une sorte de "Fable de La Fontaine animée". Cela fonctionne bien mais ça reste assez oubliable.

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MENTION : REVISIONNAGE

Pas le plus drôle des courts métrages Pixar mais une animation intéressante qui présente des formes un peu différentes de d'habitude

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MENTION : REVISIONNAGE

Un pastiche hilarant du cliché extraterrestre. Je me fais avoir à chaque fois.

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MENTION : REVISIONNAGE

Un court-métrage dont le seul mérite est d'être extrêmement drôle. Une petite pastille à déguster sans modération.

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MENTION : DECOUVERTE 2018

Et mon premier Argento ! Vu pour un cours de fac, un film étonnant à de nombreux points de vue. Que ce soit l'utilisation expressive de la couleur, les décors singuliers ou la musique ô combien glaçante, tout dans ce film se rassemble de façon organique pour donner plus qu'un film d'horreur, mais une véritable oeuvre de cinéma.
L'histoire, d'une simplicité enfantine, laisse toute la place à la mise en scène pour travailler ses effets. C'est prodigieux.

(SPOILERS) Scènes marquantes : 1er meurtre, meurtre du pianiste aveugle, scène finale.

Vu une deuxième fois le 09 mai, mais le visionnage ne s'est pas fait dans les meilleures conditions...

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MENTION : DECOUVERTE 2018

Trouvé pour 2€ à "Gilbert Joseph", je m'attendais à un joyeux nanar et il s'agit en fait principalement d'un petit film sans grande prétention, mélange maladroit entre E.T. et Terminator, à la réalisation téléfilm.

Scène marquante : Evolver s'échappe du fourgon de police pour tout casser

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MENTION : DECOUVERTE 2018

Autre film issu du pack "Je l'ai acheté à 2€ donc je vais bien rigoler", "Total Western" est un film au scénario indigent, au titre incompréhensible (à part l'apparition d'une musique type Ennio Morricone à un moment du film) et au casting très incertain.
Les émotions de Samuel Le Bihan semblent mourantes tout au long du film, l'envie d'appeler une ambulance m'a démangée à plusieurs reprises.

Scène marquante : la fusillade finale, pas trop mal organisée

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MENTION : REVISIONNAGE (3ème fois)

Que dire de ce film sinon qu'il a tout compris. C'est inventif, soigné, touchant, drôle. Du Pixar comme on l'aime, touchant à nos émotions les plus simples avec une intelligence et une subtilité hors-du-commun.

(SPOILERS) Scènes marquantes : les 15 premières minutes, Bing Bong s'en va, la discussion à table entre les parents

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MENTION : REVISIONNAGE

Court-métrage sympatoche dont le seul mérite est de jouer sur l'aspect comique que peut engendrer le concept de Vice-Versa.

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MENTION REVISIONNAGE (3ème fois, 1ère fois en DVD)

Go voir ma critique où je défends le film

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MENTION : REDECOUVERTE

Pixar nous offrent ici leur film le plus grave, abordant les thématiques du deuil et de la séparation des êtres chers, ainsi que du rêve inaccompli.
La première partie du film est de l'ordre du génie poétique. En 5 min seulement, on nous résume la vie d'un homme et tous les enjeux que présentent son existence.
Le film s’essouffle un peu par moments ensuite, mais reste au final une oeuvre très touchante.
Carl, c'est un peu le papy que j'aimerai devenir, vieux et limité physiquement, mais dont l'esprit ne désempli pas de rêves.

Scènes marquantes : ouverture, Carl s'envole, Carl atteint les chutes du paradis

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MENTION : DECOUVERTE

L'idée du court-métrage est vraiment drôle bien qu'un peu répétitive, dommage qu'il s'agisse juste d'un story-board animé

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MENTION : DECOUVERTE

Quelle surprise ! Tant de créativité au service d'un seul film, si bien qu'il est très difficile d'interpréter tous les symboles que le long-métrage contient.
Une héroïne très attachante, évoluant dans un univers fascinant, une animation qui relève du superbe : tout était réuni pour que ma rencontre avec Miyazaki se déroule sous les meilleurs hospices.
Un petit bémol, l'utilisation de la musique peut-être un peu trop prégnant en début de film.

Scènes marquantes : l'arrivée des convives, le bain de l'esprit sale, tous les passages mettant en scène le "sans-visage"

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MENTION : DECOUVERTE

Un film hypnotisant, au rythme posé (voire lent) mais qui soulève LA question fascinante aussi bien qu'effrayante : "Que restera-t-il de nous ?"
Le travail sur la photographie est vraiment mis en avant, avec ces dominantes chaudes qui nous placent dans une sorte de cocon.

Scènes marquantes : il fait découvrir sa chanson, la fête dans la maison, les 15 dernières minutes

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MENTION : DECOUVERTE

Je ne suis pas un grand fan de biopics, mais j'avoue que celui-ci ne m'a pas laissé de marbre. Une mise en scène tantôt "punchy", tantôt étouffante, accompagnée par certains moments de fulgurances photographiques.
La performance de Gary Oldman est troublante.
Mon principal bémol concerne les figurations de scènes de batailles, aux effets spéciaux visibles et au symbolisme un peu trop exubérant à mon goût.

Scènes marquantes : la prise de parole à la radio, la discussion avec Roosevelt, le discours final

M'étonnerait pas qu'apparaissent d'ici peu des coffrets couplant ce film à "Dunkerque" tant ils se complètent

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MENTION : REVISIONNAGE (près de la 10ème fois)

Un de mes films d'animation favoris.
Tout le talent de Pixar est là, donner vie à l'inanimé, donner humanité à l'inhumain. On pourrait suivre pendant des heures ce petit robot romantique et maladroit. Plusieurs magnifiques fulgurances de mise en scène et une superbe composition musicale viennent ajouter à cette jolie fable écologiste une touche de fantaisie.
Comme dans toutes les plus grandes oeuvres, tous les éléments s'agencent pour créer un équilibre idéal, ce qui me fait placer ce film dans mon panthéon des petits chefs d'oeuvre personnels.
"Wall-e" est un film qui vise juste à bien des niveaux sans tomber dans un prosélytisme de bas étage.

Scènes marquantes : Les 30 premières minutes, "Define Dancing", la découverte du vaisseau

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MENTION : REVISIONNAGE

Un court-métrage très caustique dont l'action se passe en parallèle du film.

Pas grand chose à dire de plus, c'est extrêmement efficace.

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MENTION : DECOUVERTE

Un excellent film sur la rupture et le souvenir de l'être aimé.
On perd nos repères émotionnels comme narratifs au cours d'un tourbillon d'images mentales d'une part, et de scènes absurdes de l'autre côté du dispositifs. Témoignage de l'époque de désorientation sentimentale qu'est la nôtre tant par son fond que par sa forme.
Ce film est traversée par une poésie constante et servit par des acteurs justes en tous points.
La musique est parfaitement appropriée.
Un deuxième visionnage me permettra peut-être d'encore mieux l'apprécier (d'où "seulement" 8)

Scènes marquantes : la maison abandonnée sur la plage, difficile du reste de relever de véritables scènes tant le film est un assemblement de fragments

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MENTION : DECOUVERTE

Un peu bizarre d'aller voir ce film tout seul je l'avoue. Les parents des enfants assis près de moi étaient pas très rassurés...
En terme d'animation, on atteint quand même des performances folles (on aurait envie de toucher l'eau) et le film est traversé d'images sensationnelles.
Mais dans le scénario, je perçois une redondance qui me laisse un petit peu perplexe.
Reste l'émotion toujours, et je dois dire que Coco est particulièrement efficace dans son final.

Scènes marquantes : l'arrivée dans le royaume des morts, le concours de chanson

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MENTION : DECOUVERTE

Aïe...premier Bresson et première déception.

La séance débat haute en couleur suivant la projection m'a permis de mieux comprendre certaines intentions, mais il n'en reste pas moins que l'expérience fut vraiment très éprouvante.

Le film défend une vision du cinéma et de l'humanité qui va à l'encontre de mon opinion, mes valeurs, comme un tourbillon nihiliste qui méprise autant les êtres que le cinéma lui-même.

Dans une façon de figurer méprisante et élitiste, le film se veut tellement "choquant" dans sa forme, que l'étonnement et le dégoût qu'elle provoque occultent tout le propos du film.

Ici on en arrive à un refus de tout cinéma, qui peut résonner parfois presque comme une sorte de culpabilisation du spectateur de films.

Ce film doit exister parce qu'il a au moins le mérite d'être issu d'une vraie subjectivité d'auteur.

Mais c'est pas le cinéma que je défends.

Ce qui m'exaspère le plus, c'est que le propos est pertinent, c'est qu'il y a des choses à en tirer. Mais je ne pense pas que ce soit en éprouvant le spectateur de film et en lui donnant envie de quitter la salle au bout d'une demi-heure qu'on arrive à ses fins. Ce film m'a donné l'impression d'assister à un spectacle de "philosophe Roi", méprisant son auditoire.

Donc, je comprends que ça puisse plaire, je comprends qu'on puisse trouver ça intéressant, mais les intentions me déplaisent. C'est pas mon cinéma. Et, ma foi, c'est comme ça, c'est ce qui fait la beauté de l'art aussi, c'est qu'on en ait tous une conception différente.

Peut-être monsieur Bresson qu'un jour nos chemins se recroiseront et que je me repentirais. Mais pour l'instant je ne suis pas de vos fidèles.

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MENTION : DECOUVERTE

J'ai eu la chance de le découvrir au cinéma, ce qui m'a permis de profiter au mieux de la mise en scène classieuse de Blake Edwards.

On sourit, on pouffe et on tombe en quelques minutes complètement amoureux d'Audrey Hepburn.

On évitera pas néanmoins quelques clichés (le baiser sous la pluie battante, fantastique !) et quelques longueurs.

Scènes marquantes : "Moon river", la première fête dans l'appartement, la journée des défis

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MENTION : DECOUVERTE

Bon faut savoir qu'en parallèle de tous ces films je continuais de progresser dans la série Twin Peaks jusqu'à fatalement arriver à la fin de la saison 2 (splendide en tous points) et au film.

Un film maîtrisé de bout en bout, qui apporte un bel étayage à l'univers de la série et donne à quelques reprises de bons frissons comme on les aime.

Scènes marquantes : Bob s'introduit chez Laura, le "banquet", l'assassinat final

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MENTION : DECOUVERTE

Et bien bonnes surprises que ces scènes coupées ! Entre petits sketchs assez caustiques et scènes permettant d'approfondir certains liens entre les personnages, je ne peux que recommander leur visionnage !

Scènes marquantes : "le banquet" version longue, Harry et Andy qui ne se comprennent pas, le repas de famille où Leland apprend à sa fille et sa femme à parler norvégien

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MENTION : DECOUVERTE

J'ai beaucoup d'affection pour InthePanda mais là c'est un grand non. On reprend totalement le scénario de "Lights out", sans la peur et avec une mise en scène qui se contente de très peu. Victor tend par ailleurs sur le sur-jeux à certains moments et tout ça c'est très dommage.

Parce que l'intention de base est bonne de refaire un court métrage pour "0 euros" mais il en existe des biens plus inventifs et inspirés. Tant pis pour cette fois, je continuerai à suivre ses prochains travaux.

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MENTION : DECOUVERTE

Quelle chance d'avoir pu le voir au cinéma !

Je me "limite" à 9 en attendant de voir de quoi est encore capable le bonhomme mais c'est juste fou.
C'est la beauté dans la simplicité, une suite d'images mentales qui se logent dans votre esprit et un des meilleurs films pour aborder la thématique du souvenirs.
Souvenirs abîmés, souvenirs inventés, souvenirs réinterprétés, souvenirs en noir et blanc ou en couleur, on atteint ici une certaines essences du cinéma.
Une sorte de pureté où le cinéma compte pour lui même et transcende les structures qui le codifient pour donner quelque chose de tout autre.
Comme un bloc de poésie.

Là c'est un grand oui. A très vite Tarkovski.

Scènes (images) marquantes : le vent se lève alors que l'homme part, la maison s'effondre, "l'aventure" dans l'imprimerie, le garçon attend enfermé dans la pièce d'à côté.

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MENTION : DECOUVERTE

"Médecin fou de cul" comme dirait mon comparse de visionnage.

Un film testament grandiose, sur la curiosité et la frustration sexuelle.
Une séquence centrale monstrueusement malsaine et déstabilisante. Un travail expressif sur les lumières très,intéressant. Tom est juste.
Kidman cabotine un peu puis revient dans le droit chemin.

La musique est parfaitement employée, et ce piano me fait encore frissonner.

Scènes marquantes : dispute au couché, séquence centrale dans la société secrète, elle lui raconte son rêve fantasmatique

P.S : MON NOUVEAU VIDEOPROJECTEUR FONCTIONNE DU FEU DE DIEU

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MENTION : DECOUVERTE

Dernier film de la collection "Je l'ai acheté à 2€ donc je vais me marrer".

Sauf que celui-là je l'ai acheter à 1€ et on s'est même pas marré.

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MENTION : DECOUVERTE

Premier Terrence Malick.

Pas facile de parler de Tree of Life tant c'est un film qui peut diviser.

Moi je rentre complètement dedans.
Comment parler de l'essence de la vie, des questionnements majeures qui peuvent se poser dans la vie d'un homme : "Pourquoi je suis là ? Qu'est-ce que je dois faire ?" à l'échelle d'une famille américaine moyenne.

Qui-plus-est, c'est fait avec énormément de poésie et de subtilité, et c'est servi par des acteurs tous les plus excellents les uns que les autres (Brad Pitt et Jessica Chastain en pointe évidemment)

On reprochera simplement quelques longueurs sur la fin et les passages avec Sean Penn.

Scènes marquantes : les planètes et l'histoire de la vie, "be quiet" et le père qui est pris d'une folie destructrice, la scène finale de la plage