Ils ont visé juste

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Bravo au formidable travail de recherche, nécessaire pour peindre cette réalité compliquée du monde de la bourse, qui finit par tous nous impacter. Le film possède une morale très cynique, et elle est d'autant plus forte que la situation est tout à fait réelle... C'est un peu déprimant en fait.
Dommage que le film se perde en explications pas forcément évidentes pour le "commun des mortels", et on aurait aimé un film plus accessible pour que le message passe mieux.

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Un grand classique, qui réussit son pari de peindre des personnages "clichés" mais attachants, que l'on a tous retrouvé dans un million de films pour ado, tout en travaillant un point trop souvent oublié par ce genre : les relations entre les représentants de ces "factions" que tout sépare, ce que l'utilisation du huis clos sublime parfaitement.

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La banlieue américaine dans sa caricature la plus cynique. Le thème de l'artiste faisant irruption dans ce monde conservateur est très présent dans ce conte de Noël au message fort.

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Mention spéciale pour Edward Zwick et le trio d'acteurs principaux qui réussissent à chaque fois à me tirer une petite larme. Enfants soldats, guerre civile, esclavage : réalité derrière le business du diamant dans les années 90, avec en prime une relation père-fils touchante (mais terrible)

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Une uchronie qui vise juste sur les épisodes de l'histoire des séparations absurdes entre les hommes : l'Apartheid en est l'exemple le plus évident, mais on peut très bien étendre l'analyse faite par le film aux ségrégations passées et présentes, de l'histoire américaine à la situation au Proche Orient.

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C'est dans les 15 premières minutes de ce biopic que Mark Hanna décide de marquer l'histoire par sa deuxième conversation avec ce cher Léo, qui vous aura sûrement marqué : en Bourse, nous ne créons rien de concret, l'argent lui-même est virtuel. Et c'est sur ce "rien" que Jordan Belfort construira son Empire.

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L'enfant, le père. La divinité, le croyant. Le monde, la Route. Une fable symbolique dans un contexte post-apocalyptique saisissant.

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Pour celui-là, il faudra attendre la fin du film pour remarquer un sous-texte pertinent sur la démocratie à l'américaine (pourrait-on dire, à l'occidentale?)

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Oui, où allons-nous ? Dans ce pays divisé en une quinzaine de communautés qui au mieux, se tolèrent, au pire, se tirent dessus, quelle place reste-t-il pour ces libanaises qui on fait le choix de la cohabitation avec ces croyant(es) adorant le même Dieu sous un nom différent ?

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My name is Khan, and I'm not a terrorist. Khan n'aurait jamais eu à prononcer cette deuxième partie s'il avait vécu dans un monde rationnel et sensé. Hélas, il appartient au nôtre.

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Charlie Chaplin, un artiste engagé, injustement condamné par le manichéisme qui caractérise si bien le XXème siècle. Non, Charlot n'est pas une allégorie communiste, une simple critique du capitalisme ou un personnage de propagande socialiste : il représente par l'humour une réalité historique, sociale, et dans une certaine mesure, intemporelle.

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L'énième comédie dramatique de l'égérie des cinéastes new-yorkais, qui pose une question-réponse pertinente : pourquoi pas ? Une remarque intéressante, dirigée vers les défenseurs d'une sexualité traditionnelle reposant sur des principes que ces derniers peinent à expliquer. Effectivement, tant que ça marche...

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L'impuissance des Etats du Nord face à une menace dont on ne comprend pas les motivations. Sacrément en avance. En outre, une parodie des films à la Roland Emmerich qui sont étrangement bienveillants vis-à-vis du pouvoir.

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"Qu'est ce qui est le plus sacré ? Le Mur ? La Mosquée ? Le Sépulcre ?"
"Personne n'est dans son droit. Tous sont dans leur droit"
"Si nous ne brûlons pas les morts, nous mourrons tous de la fièvre en trois jours. Dieu comprendra, messire. Et s'il ne comprend pas... alors nous n'avons rien à craindre. Car il n'est pas Dieu."
Orlando Bloom Mesdames Messieurs. Dans son seul vrai rôle.

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Toute personne qui a un jour été tenté de voter pour les extrêmes devrait voir ce film, il est plus pertinent que n'importe quel débat ou discours politique.

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Ou comment meurt une démocratie affaiblie par la guerre et la bureaucratie. Un parallèle peut être aisément fait avec V pour Vendetta.
En outre, un star wars impressionnant, même s'il souffre de quelques faiblesses au niveau des dialogues (mais toujours moins que le volet précédent...)

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Malgré un film inégal et certes un peu mainstream, une très belle utilisation de ce personnage comme héros de propagande, clin d'oeil à sa fonction originelle.

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- Private Joker, why did you join my beloved Corps?
- Sir, to kill, Sir !
- So you're a killer ?

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Authentique