J'ai vu en 2022 (Films)

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Tout à fait ma came visuellement, je ne peux qu'être administratif devant ce tableau offert sur l'autel du sentiment chevaleresque. Dev Patel y est solaire. Les interprétations et messages du film sont légions et plusieurs visionnages permettra sûrement d'en apprécier toute la profondeur. Un bon cru.

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Pas de mystère ici, on voit venir l'intrigue de très loin mais force est de constaté que suivre cette histoire dont je n'avais rien entendu à quelque chose de très divertissant.

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Avec un ton série B et un casting au fraise malgré le label Cage en roue libre, je me demande comment le dernier quart du film peut être aussi fiévreux et cool. On peut remercier Colin Stetson pour le complément d'ambiance et à celui qui a décidé qu'il fallait s'inspirer des animatroniques des années 70.

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Un thriller qui échappe à la logique et qui condamne son héros à la spirale auto destructrice. Kurosawa a le chic pour faire des histoires étranges mais captivantes. Celle ci n'échappe pas à la règle. Il s'agira pour vous d'y trouver les réponses qui vous conviennent.

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Les chroniques d'une maison hantée qui tue à tour de bras ceux qui mettent un pied dedans. Avec son principe de flashback, on constate assez rapidement que nombreux sont ceux à avoir rencontré la mort suite à la rencontre avec la première morte. Pas le plus passionnant des scénario, il est prétexte surtout à quelques mise en scène inventives et à un sound design anxiogène.

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Un très beau film documentaire sur la jeunesse en 1969 au Texas. Fascinante plongée dans une Amérique déjà pleine de contradiction et d'un quotidien rempli d'avancées sociales. Très fun et captivant, la B.O. au petits oignons des tubes de l'époque n'y est pas pour rien.

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Malgré un travail certain de mise en scène, le gore pour si peu de contexte et d'enjeu sonne tristement futile. Un one shot de fin soirée plutôt mauvais.

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Kiyoshi Kurosawa est très fort pour faire des films étranges et déstabilisants. Avec Creepy, il donne l'occasion de faire du voisin un personnage malsain et charismatique. Fou et mauvais. Si certains dialogues forcent le trait et ne laisse pas beaucoup d'interprétation, si le scénario est assez simple, le film bénéficie de certaines scènes très impactantes.

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Une expérience fiévreuse et bouillonnante d'idées qui place un Edgar Wright dans la sphère des expériences horrifiques réjouissantes. Un peu à la manière d'un James Wan, beaucoup de détails visuels jouent un rôle narratif captivant et donne de la matière à cette histoire.

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Comme d'autres documentaires de Netflix, ce témoignage, cette bouteille à la mer est un crève coeur. On n'est pas là pour le scénario mais pour l'histoire de ces vies brisées qui se racontent avec émotion et qui prennent le temps de nous lancer un avertissement.

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Loin d'être essentiel, il a pourtant beaucoup de charme ce film. Tom Cruise est insolent de sex appeal et tout le casting semble plutôt respecté pour son côté choral. Le gros point fort reste les scènes de pilotages qui sont haletantes et impactantes. Tout s'emboite si bien qu'on en sort contenté.

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Une suite efficace qui joue aux jeux des ressemblances avec The Last of Us. Un monstre toujours terrifiant, des situations toujours bien réalisées. On en demande encore.

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J'adore ce que le cinéma peut offrir d'émotions. Visuellement, musicalement. Ce film transpire de bonnes idées de mises en scène. Des rappels constants à son histoire, au vécu du personnage principal. Superbement narré et justement narré.

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Le film recèle de bonnes idées de mise en scène et ses scènes d'action, à défaut d'être très variées (clés de bras...à tour de bras) montrent un bel effort physique de la part de M.Reeves. Quelques scènes frisent le nanar et ce n'est pas tant un problème. C'est plus dommageable quand les dialogues sont d'un ennui profond.

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Si le 3eme opus relève le niveau en terme d'interactions, et s'il continue d'agrémenter son univers d'assassins, certains combats semblent un peu trop mous, les coups se font attendre. C'est une bonne chose de laisser la caméra filmer un combat sans faire des coupes toutes les secondes comme l'a fait le cinéma d'action américain pendant 20 ans mais n'est pas hong kong qui veut.

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Clairement pas là où je l'attendais, ce film confine au délire psychique et métaphorique qui rend l'histoire de ce deuil un poil étrange. Visuellement abouti, terriblement efficace mais clairement pas à laisser à la porté de tous.

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Une séduisante descente en enfer dans un building délabré où tout s'enchaine de façon erratique. Une vision de la mort pertinente où le temps est suspendu pour ceux qui errent inlassablement.

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Un film simple mais forcément bien mené parce que Danny Boyle. Un regard bienveillant et pertinent sur ce qui fait le succès des chansons et sur la production actuelle, un poil boomer mais pas trop.

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Avec un langage cinématographique ciselé et un scénario particulièrement séduisant, on sort du film avec un vrai sourire de satisfaction. La galerie de personnages et le lien qui unie tout ce petit monde donne raison à une bonne appréciation d'un film de genre un peu à l'ancienne.

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Vu il y a longtemps dans sa version américaine, ce film a clairement aujourd'hui une aura étrange qui lui colle à la peau à cause des événements du Cecil Hotel. Pour ce qui est du film en lui-même, son esthétique propre aux années 90, un ton jaunâtre et poisseux, une composition idéale par Kenji Kawaii qui épouse le genre et un fond pertinent sur la détresse d'une mère seule face aux institutions (+bonus sur l'ingérence privée de l'immobilier). Angoissant et triste.

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Frais et catchy à souhait, cette histoire de moeurs en milieu ultra riche satisfait par son casting et par sa propension à montrer le bon exemple pour la prochaine génération. On aime en rire, on aime quand ça va dans le bon sens.

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Un film que je n'avais jamais vraiment vu. Déjà pour l'époque, certaines scènes restent percutantes et haletantes, surtout grâce à la composition terriblement efficace qui amènera peut-être Dick Wolf a s'inspiré pour ses œuvres judiciaires et criminelles. Une traque très bien menée et un déroulement logique des événements. Je regrette juste un peu la dernière partie glorifiant un peu trop ces antihéros.

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Un film aux couleurs froides et à l'ambiance pesante qui joue sur l'incertitude des situations jusqu'à un climax inattendu. Dans la lignée des thrillers espagnols du moment. Pour un réalisateur qui signe son premier film, c'est très encourageant.

Annotation :

Le film a du mal à dépasser l'ébauche de ce qu'il aurait pu être. Pas forcément prétentieux mais pas non plus original. Ce petit Clark Kent se prend pour un Jason Voorhees colérique et hautain. Dommage