Je vous lirai en 2022
26 livres
créée il y a presque 3 ans · modifiée il y a plus d’un anFictions (1944)
Ficciones
Sortie : 1944 (France). Recueil de nouvelles
livre de Jorge Luis Borges
Iorveth a mis 8/10.
Annotation :
Fini le 23/01 : premier livre de Borges que je lis, je découvre l'auteur et tombe immédiatement sous le charme. Même si les nouvelles sont assez inégales, j'ai retrouvé cette sensation d'infini, de récits qui dépassent notre humanité de façon incommensurable, que je n'avais trouvée que dans La maison des feuilles jusqu'à présent.
Je le relirai probablement à l'avenir.
Ainsi parlait Zarathoustra (1885)
(traduction Georges-Arthur Goldschmidt)
Also sprach Zarathustra : Ein Buch für Alle und Keinen
Sortie : 1885. Essai, Philosophie, Poésie
livre de Friedrich Nietzsche
Iorveth a mis 8/10.
Annotation :
Fini le 26/01 : je n'ai rien compris et pourtant j'ai adoré. Avoir lu Le Gai Savoir avant m'a bien aidé, mais au fur et à mesure que le livre progresse il plonge toujours plus loin dans les métaphores, bien plus obscures que le début du livre. Mais ces métaphores dégagent une telle force qu'il m'a été possible d'y puiser même sans les comprendre. Je l'ai lu comme un livre religieux, en écoutant les préceptes comme s'ils étaient la Vérité même. Je pense que j'avais besoin de cette première lecture, mais je le relirai dans quelques années avec un commentaire et un regard plus critique.
La Grande Transformation (1944)
Aux origines politiques et économiques de notre temps
Sortie : 1983 (France). Essai, Politique & économie
livre de Karl Polanyi
Iorveth a mis 8/10.
Annotation :
Fini le 13/02 : livre fondateur pour la plupart des économistes hétérodoxes, Polanyi y mobilise les dernières découvertes historiques et anthropologiques de son temps pour rappeler que la sphère économique n'est qu'une des nombreuses sphères de la société et qu'elle n'a jamais, à part à quelques moments précis de l'Histoire, recouvert l'ensemble du champ social. Son analyse est d'autant plus pertinente aujourd'hui qu'on assiste semble-t-il depuis les années 1980 à un nouveau recouvrement de l'ensemble des champs sociaux par les relations marchandes. On comprend alors pourquoi Polanyi est considéré comme un des pionniers de la décroissance : réencastrer l'économie (comprendre : les relations marchandes) dans l'espace qui lui est dévolu est un premier pas nécessaire pour s'extraire des logiques de croissance qui constituent les principales logiques organisationnelles des sociétés occidentales depuis l'avènement du capitalisme.
Cette interprétation s'accompagne d'analyses détaillées sur l'Etat, la monnaie et le libre-échange, avec au coeur de l'ouvrage un développement sur les lois Speenhamland, ou, selon Polanyi, comment des mesures non-optimales économiquement sont pourtant essentielles pour maintenir la cohésion de la société à travers les transformations auxquelles elle est soumise. Un enseignement qui devrait être bien plus diffusé qu'il ne l'est aujourd'hui.
Moby Dick (1851)
(traduction Armel Guerne)
Moby-Dick; or, The Whale
Sortie : 21 mars 2011 (France). Roman
livre de Herman Melville
Iorveth a mis 8/10.
Annotation :
Fini le 06/03 : un livre mastodonte, à l'image de la bête qu'il dépeint. Il y a quelque chose de fascinant dans ce livre, qui touche au fait qu'Herman Melville écrit comme si le mythe de Moby Dick était un mythe connu et répandu d'une part, et comme l'attention du lecteur lui était acquise d'autre part. Il n'y a alors rien de surprenant à découvrir que le livre a été un échec commercial à sa sortie. Rien de surprenant non plus dans le statut culte attaché aujourd'hui à l'oeuvre. Je m'explique sur les deux points :
- Melville écrit comme s'il relatait un mythe existant : une petite partie de l'oeuvre est finalement consacrée à Moby Dick lui-même et à la poursuite de l'animal. L'essentiel se concentre plutôt sur des remises en contexte : le fonctionnement d'un bateau, les techniques de pêche à la baleine, les hiérarchies entre membres d'équipage, les connaissances de l'époque sur les baleines. Moby Dick fonctionne ainsi comme un récit mythologique totalement enchâssé dans son époque, où le monstre mythique est progressivement maîtrisé par l'Homme et sa technique. La chasse en elle-même n'a alors pas d'intérêt pas ou peu d'intérêt pour Melville, alors qu'elle en a beaucoup pour le lecteur puisqu'elle doit constituer l'apogée du livre ;
- Ce qui m'amène au deuxième point : Melville ne cesse d'évoluer, de circonvolutions en circonlocutions, autour de son objet, sans jamais l'aborder de front avant les 30 dernières pages du livre. Les chapitres narratifs sont des respirations au milieu de chapitre encyclopédiques que Melville se plaît à étendre, à enrichir, à développer jusqu'à plus soif. On se prend pourtant rapidement au jeu, bien aidé par sa prose virtuose (la version originale est semble-t-il à privilégier, même si Armel Guerne a réalisé un magnifique travail de traduction dans l'édition française la plus récente - celle de 2012), et on se surprend à apprécier de délayer avec lui le moment fatidique pour mieux partager des instants de vie de l'équipage et s'arrêter ensemble sur des aspects de la pêche à la baleine dont la connaissance est "essentielle" pour la compréhension de la suite du récit.
En résumé : je m'attendais à un roman d'aventure dans la lignée d'un Alexandre Dumas, mais j'ai eu bien plus que ça. Un livre magnifiquement écrit, qui développe une complicité unique avec son lecteur en ne cessant jamais d'alterner entre les styles, les sujets et les rythmes narratifs, avant une apogée finale qui a réussi l'exploit de ne pas décevoir les attentes qu
La Confusion des sentiments (1927)
Verwirrung der Gefühle
Sortie : 1929 (France). Roman
livre de Stefan Zweig
Iorveth a mis 8/10.
Annotation :
Fini le 09/03 : du Stefan Zweig qui fait du Stefan Zweig, et c'est toujours aussi touchant. Les analyses psychologiques sont fines et mises au service d'une histoire touchante, qui fait la part belle à l'expression de passions dévorantes. Le style est d'une fluidité, d 'une force et d'une pertinence qu'on ne retrouve que rarement.
Les Faux-Monnayeurs (1925)
Sortie : 1925 (France). Roman
livre de André Gide
Iorveth a mis 8/10.
Annotation :
Fini le 03/04 : un livre difficile à appréhender, qui ne cesse de s'échapper à chaque fois qu'on pense le saisir. Les personnages sont attachants mais semblent tous creux à beaucoup d'égard. Les intrigues s'entrecroisent et s'enchaînent sans logique apparente : on passe de l'une à l'autre au gré de la volonté du narrateur. Beaucoup de thématiques y sont traitées, mais chaque fois comme brièvement, en les survolant.
Le livre est avant tout un exercice de style pour André Gide qui espère illustrer sa conception de la littérature, et qui le fait avec brio. De nombreux passages contiennent des réflexions brillantes sur la littérature, l'humanité et le monde et justifient à eux-seuls la lecture. Le roman en lui-même, illustre parfaitement ces réflexions, tant il se rapproche davantage de tranches de vie saisies dans l'instant plutôt que d'un véritable récit. Enfin une mention spéciale au narrateur qui se permet de briser allègrement le 4e mur de façon tout à fait inopinée avant de s'éclipser à nouveau et qui m'a offert quelques éclats de rire inattendus.
Du monde clos à l'univers infini (1957)
From the Closed World to the Infinite Universe
Sortie : 5 avril 1988 (France). Essai, Sciences
livre de Alexandre Koyré
Annotation :
Fini en avril 2022 : livre abrupt, pas toujours simple à comprendre pour quelqu'un qui n'est plus habitué aux ouvrages académiques, mais qui offre un formidable aperçu des transformations qui qui se sont opérées en deux siècles et qui ont bouleversé le rapport des occidentaux au monde, c'est-à-dire à l'espace, au temps et à Dieu. Très utile pour mieux comprendre la façon dont la science moderne a servi de fondations aux développements de la pensée contemporaine.
Mémoires d'Hadrien (1951)
Sortie : 1951 (France). Roman
livre de Marguerite Yourcenar
Iorveth a mis 8/10.
Annotation :
Fini en avril 2022 : Au-delà de l'exercice de style impressionnant, celui d'écrire les mémoires d'une personne d'un autre genre, d'un autre milieu, d'une autre époque et d'un autre lieu, Marguerite Yourcenar propose un regard unique sur une vie, plein de lucidité, un regard qui perçoit les continuités et les ruptures, qui fait émerger une cohérence a posteriori au sein d'une vie faite de nombreux coups du sort. Les réflexions qui s'en dégagent ont une portée universelle et alternent entre la poésie d'envolées lyriques et la beauté froide, brute qui nait des pensées d'un homme qui contemple sa vie à l'aube de sa mort. On y retrouve quelques éléments de la pensée stoïcienne et la volonté progressive de se détacher de ce qui ne dépend pas de nous.
Sur la route (1957)
On The Road
Sortie : 1960 (France). Roman
livre de Jack Kerouac
Iorveth a mis 6/10.
Annotation :
Fini le 21/05 : un livre épuisant. Le style est remarquable mais très rapidement lassant, les phrases sont courtes, répétitives, et on comprend vite comment l'auteur a pu écrire ce livre en deux semaines avec une écriture quasi automatique. Sous couvert de liberté infinie, les personnages se comportent souvent comme d'immondes ordures à l'égard de celles et ceux qu'ils côtoient, n'hésitant pas en rejeter certains pour les retrouver 6 mois plus tard quand le besoin s'en fera sentir, à fuir autant que possible leurs responsabilités etc. Il devient rapidement très désagréable de suivre leurs péripéties, même si celles-ci ont dans le même temps quelque chose d'absolument fascinant, d'autant plus qu'on y retrouve en creux beaucoup des idées qui se sont aujourd'hui diffusées à travers le néo-libéralisme. Il reste néanmoins quelques passages magnifiques qui surgissent dès que Kerouac prend le temps de se poser - c'est-à-dire trop peu souvent - pour contempler ce et celleux qui l'entoure.nt : l'introduction, les trajets en train, les clubs de jazz, etc.
L'Institution imaginaire de la société (1975)
Sortie : 1975 (France). Essai, Culture & société
livre de Cornelius Castoriadis
Iorveth a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Fini en juin 2022 : brillante analyse qui prend le contrepied d'à peu près tout ce qui s'était fait jusque là en termes de pensée révolutionnaire et tente de développer un cadre de compréhension du monde capable d'appréhender le mouvant, le fluide, indissociables de l'humanité, de la Nature et du monde, sans pour autant les immobiliser et les figer. La tentative est périlleuse, ne s'appuie pas toujours sur des fondations solides, mais elle a le mérite de proposer des concepts forts (magma de significations, social-historique, logique ensembliste-identitaire, etc.) qui ont servi de base à de nombreux penseurs hétérodoxes par la suite.
Le Portrait de Dorian Gray (1890)
The Picture of Dorian Gray
Sortie : 1891 (France). Roman, Philosophie
livre de Oscar Wilde
Iorveth a mis 7/10.
Annotation :
Fini en juin 2022 : petite déception, je ne sais pas exactement à quoi je m'attendais mais j'ai trouvé le livre assez peu subtil dans les critiques qu'il adresse. Les personnages et revirements sont à mon sens un peu trop caricaturaux, de même que les sentences parsemées par Oscar Wilde tout au long du texte.
Chasse royale I (2015)
Rois du monde, 2
Sortie : 15 mai 2015. Roman, Fantasy
livre de Jean-Philippe Jaworski
Iorveth a mis 7/10.
Annotation :
Fini en juin 2022 : Jaworski poursuit avec brio l'histoire entamée dans Même pas mort. Moins de morceaux de bravoure stylistiques pour ses héros, mais un monde qui s'étend et se densifie, ce qui donne très envie de lire la suite.
Les Frères Karamazov (1880)
(traduction André Markowicz)
Brat'ya Karamazovy
Sortie : 2002 (France). Roman
livre de Fiodor Dostoïevski
Iorveth a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Fini le 14/08/2022 : Livre somme - je n'en attendais pas moins - qui concentre une variété hallucinante de thèmes : roman policier, intrigues amoureuses croisées, roman psychologique, réflexion métaphysiques et religieuses à foison et roman historique par la précision de la description qui est faite de la société russe de l'époque. Comme souligné par de nombreuses critiques sur ce site, Dostoïevski a le mérite de ne jamais porter de jugement sur ce qu'il décrit. Il peint la nature humaine dans toute sa complexité, dans toute sa beauté, mais une beauté qui serait presque objective, qui s'imposerait à nous dès qu'on nous met sous les yeux la richesse et la profondeur qui peuvent traverser chacun des personnages. Ceux-ci sont nombreux et se voient tous accorder une attention particulière au cours du récit, avec une mention spéciale pour Kolia, gamin particulièrement touchant qui n'est introduit que dans la dernière des quatre parties qui composent le livre. Les personnages féminins sont malheureusement un peu moins bien traités, penchant plus souvent vers la caricature, et on sent de façon générale quelques pointes réactionnaires - et surtout antisémites - qui viennent gâcher ici et là le plaisir de la lecture.
Le message de l'oeuvre n'en reste pas moins universel, et on y trouve en creux toutes les images de l'humanité qui viendront nourrir les réflexions camusiennes sur l'absurde et la révolte.
Sur la télévision (1996)
suivi de l'Emprise du journalisme
Sortie : 1996 (France). Essai, Cinéma & télévision
livre de Pierre Bourdieu
Iorveth a mis 7/10.
Annotation :
Fini le 16/08/2022 : légère déception, les analyses sont pertinentes et étonnamment en avance sur leur temps - Bourdieu percevait déjà le poids qu'aurait la télévision américaine sur les médias français, et voyait à raison dans la télévision américaine de l'époque une projection à peine déformée de l'avenir du paysage médiatique français - mais ces analyses ont tant été reprises qu'elles ne sont finalement plus si exceptionnelles aujourd'hui. Reste que la conférence offre un condensé synthétique qui prend garde à éviter les contresens et les raccourcis pour offrir une véritable analyse et non un simple constat dénué d'intérêt.
L'Existentialisme est un humanisme (1946)
Sortie : 1996 (France). Essai, Philosophie
livre de Jean-Paul Sartre
Iorveth a mis 7/10.
Annotation :
Fini le 21/08/2022 : annotation à venir
Contes de la folie ordinaire (1972)
Erections, Ejaculations, Exhibitions and General Tales of Ordinary Madness
Sortie : 1977 (France). Recueil de nouvelles
livre de Charles Bukowski
Iorveth a mis 7/10.
Annotation :
Fini le 15/09 : annotation à venir
Condition de l'homme moderne (1958)
The Human Condition
Sortie : 1961 (France). Essai, Philosophie
livre de Hannah Arendt
Iorveth a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Fini le 18/09 : annotation à venir
Le Feu follet (1931)
suivi de Adieu à Gonzague
Sortie : 1931 (France). Roman
livre de Pierre Drieu la Rochelle
Iorveth a mis 6/10.
Annotation :
Fini le 23/09 : annotation à venir
Le Parti pris des choses (1942)
Sortie : 1942 (France). Poésie
livre de Francis Ponge
Annotation :
Fini le 25/09 : annotation à venir
La Pesanteur et la Grâce (1947)
Sortie : 2002 (France). Journal & carnet
livre de Simone Weil
Iorveth a mis 7/10.
Annotation :
Fini le 09/10 : annotation à venir
L'Insoutenable Légèreté de l'être (1984)
Nesnesitelná lehkost bytí
Sortie : 1984 (France). Roman, Philosophie
livre de Milan Kundera
Iorveth a mis 7/10.
Annotation :
Fini le 15/10 : annotation à venir
La Société du Spectacle (1967)
Sortie : 1967 (France). Aphorismes & pensées, Essai, Politique & économie
livre de Guy Debord
Iorveth a mis 3/10.
Annotation :
Fini le 19/10 : grosse déception même si je n'en attendais pas grand chose. Le livre, qui cherche à dévoiler les artifices de la société du spectacle, rate complètement son objectif en restant largement incompréhensible pour la plupart des lecteurs, non pour répondre aux besoins d'une densité qui ne peut faire l'économie d'une langue complexe, mais bien plus souvent par souci de la formule choc (une critique sur SC relève notamment l'usage abusif des phrases en miroir, qui deviennent rapidement insupportables au fil de la lecture). Mais cette complexité ne serait pas nécessairement un problème si elle n'était qu'un frein avant d'accéder à un contenu riche. Or, je vois deux problèmes majeurs à l'analyse de Debord :
1) sa thèse est irréfutable, c'est-à-dire que j'ai eu le sentiment qu'il parviendrait à rattacher tous les phénomènes, tous les évènements, même les plus contradictoires, à l'extension de la société du spectacle. Tout, avec la bonne interprétation, peut illustrer la séparation engendrée par le spectacle, le règne de la marchandise, etc.
2) Rien dans le livre - à part quelques retours expéditifs dans l'histoire, qui présentent une vision extrêmement linéaire et non sourcée des successions d'évènements historiques - ne prouve que sa thèse s'applique uniquement à l'époque contemporaine. Je ne trouve absolument pas convaincante sa démonstration selon laquelle ce serait le capitalisme/le productivisme qui aurait contribué au développement de la société du spectacle.
En résultent quelques idées intéressantes prises isolément mais dont la mise en système reste peu satisfaisante pour interpréter le monde qui nous entoure, surtout avec aussi peu de sources. Sans parler de la dimension "projet politique" du livre qui se résume à créer des Conseils ouvriers, dont j'ai encore du mal à comprendre comment ils s'organiseraient concrètement et ce qu'ils permettraient de résoudre.
On est à des années lumières de ce qu'a par exemple pu écrire Castoriadis, auteur de travaux bien plus denses et précis dans leur critique, qui gravitait pourtant dans les mêmes cercles de réflexion sans recevoir autant d'attention.
Cadavre exquis (2017)
Cadáver exquisito
Sortie : 21 août 2019 (France). Roman
livre de Agustina Bazterrica
Iorveth a mis 7/10.
Annotation :
Fini le 23/10 : annotation à venir
Pensées (1670)
Sortie : 1670 (France). Essai, Philosophie
livre de Blaise Pascal
Annotation :
Fini le 25/11 : annotation à venir
Le Livre de l'intranquillité
O Livro do desassossego por Bernardo Soares
Sortie : 1982 (France). Journal & carnet, Aphorismes & pensées
livre de Fernando Pessoa
Iorveth a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Fini le 29/12
Les Essais (1595)
Sortie : 1595 (France). Essai, Philosophie
livre de Michel de Montaigne
Annotation :
Retiré de la liste après avoir vu à quel point Pascal avait pioché allègrement dans les Essais : je ne me sentais pas l'envie de lire deux livres aussi similaires dans un temps aussi rapproché.