Jeux Open World

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Surface de jeu assez grande, difficilement entièrement explorable au début (mais on peut le faire tout de même, ce qui procure une sensation d'accomplissement assez unique). Possibilité de grimper un peu partout pour profiter de la verticalité de Paris. Bref, très bon terrain de jeu.

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Grande surface de jeu, variée, plaisante à parcourir. Comme d'hab avec Rockstar, on nous donne accès à chaque zone l'une après l'autre en distillant lentement les nouvelles features du jeu. Très, très bon.

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Le premier Open World tel qu'on l'entend aujourd'hui (quand on met de côté les RPG).

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Retour à un environnement 100% urbain avec GTA IV. Plutôt grande, Liberty City propose beaucoup d'endroits à visiter, ce qui contribue à rendre la ville dense et agréable.

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Ville assez grande, aux quartiers bien définis (voire, un peu trop caricaturaux). Regorge de secrets et d'activités marrantes : belle victoire de Volition.

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La même que dans le 2, en plus petit, moins varié avec moins de secrets. Douche froide... c'est la pire faiblesse de cet épisode.

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Terrain de jeu qui donne l'impression d'être grand, vu qu'on prend rarement le temps de l'explorer en entier. Pour cause : même si L.A. est bien reproduite, on ne peut rien y faire, d'autant que le protagoniste est toujours au milieu d'une enquête. Un monde bien vide.

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Rockstar a su rendre un désert intéressant, en plus d'être vaste et varié. Chapeau bas, dommage que le jeu soit si chiant.

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L'une des plus grandes surfaces de jeu jamais créées. Panao regorge d'easter eggs, d'objets à trouver, de zones différentes, entièrement explorables autant verticalement qu'horizontalement. Incroyable. On peut regretter le manque d'interactions avec l'univers, mais ça n'est pas le propos du titre.

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À l'époque où le jeu est sorti, sa classification dans les jeux "open world" n'était pas forcément claire. Pourtant, avec trois villes assez vastes et bien construites, c'était déjà clairement le cas. Dommage que les interactions étaient aussi limitées.

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Trois villes moins vides que celles du premier épisode, avec des ambiances pourtant tout aussi travaillées. Un très bon boulot.

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Un grosse ville, avec toujours plus de choses à faire que dans les précédents épisodes. Dommage que Rome ait l'air si quelconque, mais globalement, difficile de reprocher quelque chose du côté du contenu.

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Istanbul, plus petite que Rome, a le mérite d'être bien plus agréable avec ses couleurs chamarrées. Toujours aussi de trucs à découvrir et à faire, donc un constat positif.

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Trois petites villes qui souffraient d'une architecture trop rudimentaire, exclusivement à base de routes qui s'entrecroisent. Heureusement, il y avait plus de lieux à visiter que dans la moyenne de l'époque.

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Même structure, malgré le fait que le villes soient un peu plus grandes et reliées par des voies aériennes. Quelques interactions non-violentes avec les passants en plus pour rendre le monde plus "vivant", mais globalement, un relativement mauvais open-world.

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Une relativement grande bourgade avec de nombreux secrets, des habitants aux activités bien définies (qui changent selon l'évolution du scénario) et pas mal de sous-quêtes souvent bêtes, mais généralement variées. Rajoutez à ça des features complètement surréalistes (essence, temps réel, possibilité d'épier les habitants par les fenêtres) et on obtient un des meilleurs open-worlds jamais sortis, en dépit d'un niveau technique catastrophique.

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Quand les développeurs ont commencé à bosser sur Arkham City, ils ne voulaient pas en faire un Open World. Ceci dit, en avançant, ils se sont rendus compte qu'insuffler de l'ampleur à Arkham City exigerait d'en faire un open-world (ça n'aurait eu aucun sens de limiter l'exploration du joueur). Il n'en reste pas moins qu'au-delà de l'ambiance incroyable de la "ville", la taille de la zone explorable est minuscule et les interactions (autant avec le décor qu'avec les personnages) sont li

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Morrowind a prouvé qu'avec un terrain de jeu à peine plus grand que celui de son successeur, il était possible de donner une impression de grandeur grâce à une "architecture" bien pensée : avec le centre de l'île difficile d'accès, avec ses reliefs compliqués, ses îlots lointains et dispersés, Morrowind donnait l'impression qu'aucun aventurier vidéoludique ne pourrait l'explorer complètement. Génial !

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Après la phase d'exploration "en nature" du jeu de base, Tribunal proposait une cité d'une taille respectable, bourrée de petits quêtes et de petits détails. Vivent les extensions urbaines pour les RPG !

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Une île sauvage, de taille moyenne. Un travail précurseur de l'excellent boulot fait sur Bordeciel.

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Un open-world vaste, mais scindé en trois parties bien trop clichées : au nord, de la neige, au milieu, des plaines et au sud, un désert. Reste que globalement, la promenade était agréable.

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La carte de bonne taille de Two Worlds était finalement son meilleur point, en dépit de son classicisme étrange (neige-plaine-désert... yay). Le jeu était bourré de lieux mystérieux que le joueur en mal d'exploration pouvait découvrir bien avant qu'il ne soit forcé d'y aller par la quête principale. Dommage que tous ces lieux aient été si mal exploités...

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Une bonne grosse douche froide. Le fast travel, le levelling, le rendu "plastique" et l'architecture de Tamriel ont fait du terrain de jeu d'Oblivion une sorte de bouillie qui laisse le joueur indifférent. Heureusement, les interactions avec l'environnement ont dépassé le niveau de Morrowind, ce qui permettait de compenser le manque d'intérêt de ces plaines d'un vert propret déprimant...

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Structure à la Morrowind avec le moteur d'Oblivion. Pas à se plaindre.

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Avec Skyrim, Bethesda m'a rassuré : les devs ont su créer une carte intéressante, variée tout en restant dans un thème bien précis (pas de "neige-plaine-désert"). Côté interactions avec l'environnement, c'est toujours aussi bon. Bref, Bordeciel, c'est une sacrée claque.

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Gransys n'est pas le plus gros atout de Dragon's Dogma. On nous évite le combo "neige-plaine-désert", mais si c'est pour nous sortir exclusivement de la plaine avec quelques variations discrètes, peut-être aurait-il mieux valu s'en tenir aux clichés. La carte est assez petite mais évolue deux-trois fois, l'absence de Fast Travel facile d'accès nous force à explorer à pied et lorsque la nuit tombe, l'ambiance est au rendez-vous. Un constat finalement relativement positif.

Annotation :

Une "carte ouverte" bourrée de plaines plates reliées par des couloirs. Plutôt insipide. D'autant qu'on nous gratifie du traditionnel cliché "neige-plaine-désert". Heureusement, il y a pas mal de quêtes, de trucs à découvrir et le niveau d'interaction avec l'environnement est plutôt bon.